Apaiser la mémoire. Conversation avec mon frère Jean

Par : Adélaïde Mukantabana
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 9 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages238
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.309 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-343-25399-2
  • EAN9782343253992
  • Date de parution22/02/2022
  • CollectionEcrire l'Afrique
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierBruce Clarke

Résumé

Tordre le cou à l'idée que le génocide des Tutsi du Rwanda fut le résultat d'un conflit tribal, d'une guerre de clans ; s'élever contre l'effroyable réduction de la victime au bourreau qui fut le fait du gouvernement français de l'époque, facilitant ainsi l'horreur génocidaire, c'est ce à quoi s'emploie à travers l'écriture, la rescapée de l'innommable, pour une deuxième fois. Nous rendre à une humanité, voilà la vertu de ce texte poignant.
Il va bien au-delà d'un témoignage, puisqu'Adélaide Mukantabana, avec un rare talent, arrive, dans une langue française très dense, nourrie de la subtilité et de la poésie de sa propre langue maternelle, le Kinyarwanda, à évoquer les siens. En ce "pays aux mille collines" revivent pour nous sa famille massacrée et surtout son frère chéri, Jean, celui qui sut toujours la guider, la protéger, aiguiser sa sensibilité et sa lucidité.
Recension d'Anne-Marie Lagarde
Tordre le cou à l'idée que le génocide des Tutsi du Rwanda fut le résultat d'un conflit tribal, d'une guerre de clans ; s'élever contre l'effroyable réduction de la victime au bourreau qui fut le fait du gouvernement français de l'époque, facilitant ainsi l'horreur génocidaire, c'est ce à quoi s'emploie à travers l'écriture, la rescapée de l'innommable, pour une deuxième fois. Nous rendre à une humanité, voilà la vertu de ce texte poignant.
Il va bien au-delà d'un témoignage, puisqu'Adélaide Mukantabana, avec un rare talent, arrive, dans une langue française très dense, nourrie de la subtilité et de la poésie de sa propre langue maternelle, le Kinyarwanda, à évoquer les siens. En ce "pays aux mille collines" revivent pour nous sa famille massacrée et surtout son frère chéri, Jean, celui qui sut toujours la guider, la protéger, aiguiser sa sensibilité et sa lucidité.
Recension d'Anne-Marie Lagarde