Andrés Caicedo. Un météore dans les lettres colombiennes

Par : Anouck Linck
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  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7475-1456-0
  • EAN9782747514569
  • Date de parution01/10/2001
  • CollectionClassiques pour demain
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Andrés Caicedo, écrivain génial, traverse l'horizon littéraire de la Colombie comme un météore, y laisse son empreinte brûlante, puis se donne la mort à vingt-cinq ans. La vie de Caicedo est d'une intensité peu commune, à croire qu'il a dilaté le temps, dilaté chaque instant, pour assouvir sa soif furieuse de vivre et d'aimer, sa rage d'écrire. C'est avant tout un passionné, en réalité, il n'a que des passions. L'écriture est l'une d'entre elles : il écrit comme un fou, d'un seul élan, il ne fait aucun brouillon ; c'était une urgence qu'il sentait. Caicedo s'est insurgé contre son milieu sclérosé, contre une ville et des moeurs étouffantes, contre le mirage de la mode, contre tout ce qui, d'une manière ou d'une autre, est établi, conventionnel, tranquillement reconnu. Amoureux de l'adolescence, "anticonformiste sempiternel" (comme son double, Ricardito le Misérable), sa révolte accapare tout, tout le monde, car personne n'a eu le courage de vivre comme lui, de se donner entièrement, en aimant et en haïssant le monde avec démesure, excès et grandeur. Aujourd'hui, à travers les pages brûlantes qu'il nous a léguées, il nous communique un peu de sa passion, de son énergie, de son incroyable amour pour la vie. Sentirez-vous, lorsque vous lirez directement ses textes, la brûlure de l'adolescence, le vertige de la vitesse ? Je l'espère de tout coeur, mais vous préviens par avance : il est difficile, voire dangereux, de suivre le rythme !
Andrés Caicedo, écrivain génial, traverse l'horizon littéraire de la Colombie comme un météore, y laisse son empreinte brûlante, puis se donne la mort à vingt-cinq ans. La vie de Caicedo est d'une intensité peu commune, à croire qu'il a dilaté le temps, dilaté chaque instant, pour assouvir sa soif furieuse de vivre et d'aimer, sa rage d'écrire. C'est avant tout un passionné, en réalité, il n'a que des passions. L'écriture est l'une d'entre elles : il écrit comme un fou, d'un seul élan, il ne fait aucun brouillon ; c'était une urgence qu'il sentait. Caicedo s'est insurgé contre son milieu sclérosé, contre une ville et des moeurs étouffantes, contre le mirage de la mode, contre tout ce qui, d'une manière ou d'une autre, est établi, conventionnel, tranquillement reconnu. Amoureux de l'adolescence, "anticonformiste sempiternel" (comme son double, Ricardito le Misérable), sa révolte accapare tout, tout le monde, car personne n'a eu le courage de vivre comme lui, de se donner entièrement, en aimant et en haïssant le monde avec démesure, excès et grandeur. Aujourd'hui, à travers les pages brûlantes qu'il nous a léguées, il nous communique un peu de sa passion, de son énergie, de son incroyable amour pour la vie. Sentirez-vous, lorsque vous lirez directement ses textes, la brûlure de l'adolescence, le vertige de la vitesse ? Je l'espère de tout coeur, mais vous préviens par avance : il est difficile, voire dangereux, de suivre le rythme !