Amateur d’art Alias Caracalla 1946-1976. Suivi de Monsieur et Madame Dubuffet n'ont pas eu le fils qu'ils méritaient
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- Nombre de pages365
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.442 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-07-301516-7
- EAN9782073015167
- Date de parution25/01/2024
- CollectionTémoins
- ÉditeurGallimard
- PréfacierBénédicte Vergez-Chaignon
Résumé
Daniel Cordier a eu plusieurs vies. Alias Caracalla se poursuit donc après la guerre. L'ancien secrétaire de Jean Moulin se tourne vers l'art. Il commence une collection avec des oeuvres de De Staël ou Hartung, puis ouvre des galeries à Paris, New York et Francfort, où il expose Dubuffet, Rauschenberg et la fine fleur des surréalistes. Il voyage aussi et nous fait vivre deux séjours mouvementés dans l'Union soviétique des débuts de la déstalinisation. Sur un dernier coup d'éclat, il ferme sa galerie parisienne et se lance dans deux tours du monde pour écrire une histoire universelle de l'art avec Stéphane Hessel. Mû par un besoin d'engagement et d'action toujours aussi présent, il envisage de reprendre les armes pour défendre la République contre les factieux de l'Algérie française, et mêle expositions provocatrices et militantisme pour l'art contemporain jusqu'à se trouver enrôlé dans la création du Centre Beaubourg. Des pages inédites et illustrées de la vie de Daniel Cordier, fidèle à lui-même : combatif, passionné, sincère et drôle.
Daniel Cordier a eu plusieurs vies. Alias Caracalla se poursuit donc après la guerre. L'ancien secrétaire de Jean Moulin se tourne vers l'art. Il commence une collection avec des oeuvres de De Staël ou Hartung, puis ouvre des galeries à Paris, New York et Francfort, où il expose Dubuffet, Rauschenberg et la fine fleur des surréalistes. Il voyage aussi et nous fait vivre deux séjours mouvementés dans l'Union soviétique des débuts de la déstalinisation. Sur un dernier coup d'éclat, il ferme sa galerie parisienne et se lance dans deux tours du monde pour écrire une histoire universelle de l'art avec Stéphane Hessel. Mû par un besoin d'engagement et d'action toujours aussi présent, il envisage de reprendre les armes pour défendre la République contre les factieux de l'Algérie française, et mêle expositions provocatrices et militantisme pour l'art contemporain jusqu'à se trouver enrôlé dans la création du Centre Beaubourg. Des pages inédites et illustrées de la vie de Daniel Cordier, fidèle à lui-même : combatif, passionné, sincère et drôle.