A Damas sous les bombes. Journal d'une Française pendant la révolte syrienne (1924-1926)
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- Nombre de pages246
- PrésentationBroché
- Poids0.32 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-296-99171-2
- EAN9782296991712
- Date de parution27/09/2012
- CollectionComprendre le Moyen-Orient
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierFrançois Burgat
Résumé
Dans ce témoignage publié en 1926, longtemps "interdit à la vente dans les pays sous mandat", et jamais réédité, le témoignage courageux d'Alice Poulleau brille d'une remarquable fraîcheur. L'actualité de A Damas sous les bombes procède du télescopage troublant entre deux des printemps de l'histoire syrienne : en 1925, la France mandataire a réprimé au canon les aspirations d'une nation naissante tout en exploitant ses divisions confessionnelles.
En 2012, à leur tour, les fils des nationalistes syriens usent d'un identique cocktail mortifère : ils pilonnent leurs opposants à l'arme lourde ; et, comme en d'autres temps, ils s'emploient eux aussi à opposer entre elles les familles d'une nation endolorie pour mieux la contrôler.
En 2012, à leur tour, les fils des nationalistes syriens usent d'un identique cocktail mortifère : ils pilonnent leurs opposants à l'arme lourde ; et, comme en d'autres temps, ils s'emploient eux aussi à opposer entre elles les familles d'une nation endolorie pour mieux la contrôler.
Dans ce témoignage publié en 1926, longtemps "interdit à la vente dans les pays sous mandat", et jamais réédité, le témoignage courageux d'Alice Poulleau brille d'une remarquable fraîcheur. L'actualité de A Damas sous les bombes procède du télescopage troublant entre deux des printemps de l'histoire syrienne : en 1925, la France mandataire a réprimé au canon les aspirations d'une nation naissante tout en exploitant ses divisions confessionnelles.
En 2012, à leur tour, les fils des nationalistes syriens usent d'un identique cocktail mortifère : ils pilonnent leurs opposants à l'arme lourde ; et, comme en d'autres temps, ils s'emploient eux aussi à opposer entre elles les familles d'une nation endolorie pour mieux la contrôler.
En 2012, à leur tour, les fils des nationalistes syriens usent d'un identique cocktail mortifère : ils pilonnent leurs opposants à l'arme lourde ; et, comme en d'autres temps, ils s'emploient eux aussi à opposer entre elles les familles d'une nation endolorie pour mieux la contrôler.
