L’influence romantique dans l’art académique de Fernand Cormon

Par : Frédéric-Gaël Theuriau

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 15 août et le 30 août
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera expédié 2 à 4 semaines après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages84
  • PrésentationBroché
  • Poids0.118 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-342-00462-5
  • EAN9782342004625
  • Date de parution01/05/2013
  • ÉditeurPublibook/Société écrivains

Résumé

Au XIXe siècle, les liens qui unissent la littérature et la peinture, bien qu'existants auparavant, se renforcent à trois niveaux : les inspirations communes, les techniques similaires, les visées comparables. Néanmoins une inversion se produit avec l'avènement de l'Impressionnisme : ce n'est plus le peintre qui puise dans la littérature mais le littéraire qui trouve son inspiration dans la peinture.
Avec Fernand Cormon, membre de l'Institut de France, puis président de l'Académie des Beaux-Arts, peintre officiel de la France entre 1868 et 1924, l'alliance entre ces deux arts est marquée par le courant romantique qui constitue la colonne vertébrale de ses compositions à travers des fonds littéraires, historiques, religieux, orientalistes, préhistoriques, monumentaux, décoratifs, narratifs et sociaux.
S'il s'oppose aux Impressionnistes, sa fonction l'y oblige, il fait preuve d'ouverture d'esprit en les défendant de manière dissimulée comme le témoignent l'histoire de sa vie et l'analyse critique de son oeuvre.
Au XIXe siècle, les liens qui unissent la littérature et la peinture, bien qu'existants auparavant, se renforcent à trois niveaux : les inspirations communes, les techniques similaires, les visées comparables. Néanmoins une inversion se produit avec l'avènement de l'Impressionnisme : ce n'est plus le peintre qui puise dans la littérature mais le littéraire qui trouve son inspiration dans la peinture.
Avec Fernand Cormon, membre de l'Institut de France, puis président de l'Académie des Beaux-Arts, peintre officiel de la France entre 1868 et 1924, l'alliance entre ces deux arts est marquée par le courant romantique qui constitue la colonne vertébrale de ses compositions à travers des fonds littéraires, historiques, religieux, orientalistes, préhistoriques, monumentaux, décoratifs, narratifs et sociaux.
S'il s'oppose aux Impressionnistes, sa fonction l'y oblige, il fait preuve d'ouverture d'esprit en les défendant de manière dissimulée comme le témoignent l'histoire de sa vie et l'analyse critique de son oeuvre.