De Fay Drive à Karolle. 13 000 kilomètres de stop avec 90 dollars
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.19 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-342-05084-4
- EAN9782342050844
- Date de parution28/04/2016
- ÉditeurPublibook/Société écrivains
Résumé
Comment oublier ce premier voyage ? J'avais 20 ans. Un billet aller-retour New York à tarif étudiant m'avait permis, en guise de baptême de l'air, de passer sans transition de mon HLM familial aux enseignes lumineuses géantes de Times Square... Un choc énorme pour un ado longovicien qui ne s'en est jamais vraiment remis. En poche j'avais une fortune de 90 dollars, soit un demi-smic 1970, gagné en quinze jours de job de vacances, qui devait financer mon hébergement, ma subsistance et surtout mon transport vers le paradis californien des sprinters champions olympiques aux J.
O. de Mexico. Cinq semaines et 13 000 km d'auto-stop plus tard, j'étais de retour à Kennedy Airport, sans avoir dépensé la totalité de mon faible pécule. Les bras chargés de cadeaux, la tête pleine de souvenirs d'un ride, coast to coast, inouï, et pour toujours les Américains dans mon coeur". Au retour de son périple, l'auteur s'était confié au quotidien local "Le Républicain Lorrain". C'est la totalité de ces notes, non retouchées mais annotées de nouveaux commentaires, qu'il présente aujourd'hui dans ce témoignage nostalgique et haut en couleur.
Emblématique de l'Amérique des seventies, un road-trip riche de rencontres aussi imprévisibles qu'inoubliables.
O. de Mexico. Cinq semaines et 13 000 km d'auto-stop plus tard, j'étais de retour à Kennedy Airport, sans avoir dépensé la totalité de mon faible pécule. Les bras chargés de cadeaux, la tête pleine de souvenirs d'un ride, coast to coast, inouï, et pour toujours les Américains dans mon coeur". Au retour de son périple, l'auteur s'était confié au quotidien local "Le Républicain Lorrain". C'est la totalité de ces notes, non retouchées mais annotées de nouveaux commentaires, qu'il présente aujourd'hui dans ce témoignage nostalgique et haut en couleur.
Emblématique de l'Amérique des seventies, un road-trip riche de rencontres aussi imprévisibles qu'inoubliables.
Comment oublier ce premier voyage ? J'avais 20 ans. Un billet aller-retour New York à tarif étudiant m'avait permis, en guise de baptême de l'air, de passer sans transition de mon HLM familial aux enseignes lumineuses géantes de Times Square... Un choc énorme pour un ado longovicien qui ne s'en est jamais vraiment remis. En poche j'avais une fortune de 90 dollars, soit un demi-smic 1970, gagné en quinze jours de job de vacances, qui devait financer mon hébergement, ma subsistance et surtout mon transport vers le paradis californien des sprinters champions olympiques aux J.
O. de Mexico. Cinq semaines et 13 000 km d'auto-stop plus tard, j'étais de retour à Kennedy Airport, sans avoir dépensé la totalité de mon faible pécule. Les bras chargés de cadeaux, la tête pleine de souvenirs d'un ride, coast to coast, inouï, et pour toujours les Américains dans mon coeur". Au retour de son périple, l'auteur s'était confié au quotidien local "Le Républicain Lorrain". C'est la totalité de ces notes, non retouchées mais annotées de nouveaux commentaires, qu'il présente aujourd'hui dans ce témoignage nostalgique et haut en couleur.
Emblématique de l'Amérique des seventies, un road-trip riche de rencontres aussi imprévisibles qu'inoubliables.
O. de Mexico. Cinq semaines et 13 000 km d'auto-stop plus tard, j'étais de retour à Kennedy Airport, sans avoir dépensé la totalité de mon faible pécule. Les bras chargés de cadeaux, la tête pleine de souvenirs d'un ride, coast to coast, inouï, et pour toujours les Américains dans mon coeur". Au retour de son périple, l'auteur s'était confié au quotidien local "Le Républicain Lorrain". C'est la totalité de ces notes, non retouchées mais annotées de nouveaux commentaires, qu'il présente aujourd'hui dans ce témoignage nostalgique et haut en couleur.
Emblématique de l'Amérique des seventies, un road-trip riche de rencontres aussi imprévisibles qu'inoubliables.