Bou-Saada. Caravansérails, pillards du désert et désastre urbain
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- Nombre de pages130
- PrésentationBroché
- Poids0.197 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-312-13645-5
- EAN9782312136455
- Date de parution22/08/2023
- ÉditeurDU NET
Résumé
C'est l'histoire d'une médina-oasis, aux portes du désert algérien. Bou-Saada. La bien nommée Cité du Bonheur, et les multiples changements sociétaux qu'elle a connus, depuis qu'elle n'était, entre le 11eme et le 12eme siècles, qu'une simple oasis verdoyante offrant le gite et le couvert aux caravaniers sur leur route vers l'Afrique noire, ou vers les pays du Maghreb central, et, au-delà, l'Orient et ses mystères.
Une cache également pour les pillards du désert. Vers 1920, le cinéma pénètre dans la médina, qui devient entre les années 1940 et 1970 la Hollywood algérienne. Cecile B. De Mile, entre autres réalisateurs renommés, y avait tourné les extérieurs du péplum Samson et Dalila. Auparavant, elle était une halte obligatoire pour les peintres, dont certains ne sont jamais repartis. Comme Naceredine né Etienne Dinet.
Aurélie Picard et Charles de Foucault y avaient séjourné. Voici Bou-Saada, qui a accueilli les Andalous après la chute de Grenade.
Une cache également pour les pillards du désert. Vers 1920, le cinéma pénètre dans la médina, qui devient entre les années 1940 et 1970 la Hollywood algérienne. Cecile B. De Mile, entre autres réalisateurs renommés, y avait tourné les extérieurs du péplum Samson et Dalila. Auparavant, elle était une halte obligatoire pour les peintres, dont certains ne sont jamais repartis. Comme Naceredine né Etienne Dinet.
Aurélie Picard et Charles de Foucault y avaient séjourné. Voici Bou-Saada, qui a accueilli les Andalous après la chute de Grenade.
C'est l'histoire d'une médina-oasis, aux portes du désert algérien. Bou-Saada. La bien nommée Cité du Bonheur, et les multiples changements sociétaux qu'elle a connus, depuis qu'elle n'était, entre le 11eme et le 12eme siècles, qu'une simple oasis verdoyante offrant le gite et le couvert aux caravaniers sur leur route vers l'Afrique noire, ou vers les pays du Maghreb central, et, au-delà, l'Orient et ses mystères.
Une cache également pour les pillards du désert. Vers 1920, le cinéma pénètre dans la médina, qui devient entre les années 1940 et 1970 la Hollywood algérienne. Cecile B. De Mile, entre autres réalisateurs renommés, y avait tourné les extérieurs du péplum Samson et Dalila. Auparavant, elle était une halte obligatoire pour les peintres, dont certains ne sont jamais repartis. Comme Naceredine né Etienne Dinet.
Aurélie Picard et Charles de Foucault y avaient séjourné. Voici Bou-Saada, qui a accueilli les Andalous après la chute de Grenade.
Une cache également pour les pillards du désert. Vers 1920, le cinéma pénètre dans la médina, qui devient entre les années 1940 et 1970 la Hollywood algérienne. Cecile B. De Mile, entre autres réalisateurs renommés, y avait tourné les extérieurs du péplum Samson et Dalila. Auparavant, elle était une halte obligatoire pour les peintres, dont certains ne sont jamais repartis. Comme Naceredine né Etienne Dinet.
Aurélie Picard et Charles de Foucault y avaient séjourné. Voici Bou-Saada, qui a accueilli les Andalous après la chute de Grenade.