Une illusion du réel. L'origine de la maladie, Tome 2
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- Nombre de pages122
- FormatMulti-format
- ISBN978-952-390-548-1
- EAN9789523905481
- Date de parution22/10/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurStylit
Résumé
La maladie est mystérieuse et fait peur à la grande majorité d'entre nous, je vous invite à la regarder sous un tout autre angle : celui de la compréhension.
Extrait
La maladie est très souvent mal comprise ou pas comprise du tout, elle procède d'un langage qui lui est propre, on pourrait dire que le verbe est au mental ce que la maladie est au corps. Le verbe appartient à notre humanité ; la maladie, elle, s'intéresse à notre partie animale : notre biologie.
La logique actuelle voudrait considérer que la maladie n'a pas de sens réel, elle ne serait que le fruit du hasard ou la faute à pas de chance.
Cette logique va également procéder du mythe des « méchants » microbes qui veulent nous anéantir, contre lesquels nous devrions nous défendre en permanence, car nous sommes évidemment purs et sans défaut, bref : les méchants contre les gentils, cette vision manichéenne et simpliste ne saurait être pertinente si l'on veut bien essayer de se donner la peine de regarder toute cette aventure d'un oil différent.
La maladie est mystérieuse et fait peur à la grande majorité d'entre nous, je vous invite à la regarder sous un tout autre angle : celui de la compréhension.
Extrait
La maladie est très souvent mal comprise ou pas comprise du tout, elle procède d'un langage qui lui est propre, on pourrait dire que le verbe est au mental ce que la maladie est au corps. Le verbe appartient à notre humanité ; la maladie, elle, s'intéresse à notre partie animale : notre biologie.
La logique actuelle voudrait considérer que la maladie n'a pas de sens réel, elle ne serait que le fruit du hasard ou la faute à pas de chance.
Cette logique va également procéder du mythe des « méchants » microbes qui veulent nous anéantir, contre lesquels nous devrions nous défendre en permanence, car nous sommes évidemment purs et sans défaut, bref : les méchants contre les gentils, cette vision manichéenne et simpliste ne saurait être pertinente si l'on veut bien essayer de se donner la peine de regarder toute cette aventure d'un oil différent.