Un Declin. Chartes Au Xviiieme Siecle

Par : Benoît Garnot

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  • Nombre de pages293
  • FormatePub
  • ISBN2-402-03794-6
  • EAN9782402037945
  • Date de parution01/01/1991
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (CTHS...

Résumé

Chartres connaît au XVIIIe siècle un profond déclin : la population baisse, les activités textiles s'effondrent. La cohésion sociale, qui se faisait au XVIIe siècle autour du chapitre cathédrale, se remodèle contre lui, derrière la bourgeoisie des hommes de loi et des officiers. Les mentalités et les genres de vie changent profondément. Chartres passe à côté de l'expansion qui caractérise alors la plupart des autres cités du royaume, pour devenir une ville de petits rentiers et d'artisans, au rayonnement limité, vivant du travail de ses campagnes.
Il faudra attendre la deuxième moitié du XXe siècle pour que la capitale du pays chartrain sorte enfin de son long engourdissement. De la « ville sainte », de la cité des chanoines et des rentiers, de la basse ville artisanale, des vignerons des faubourgs, il ne reste plus, pour se souvenir aujourd'hui, que les noms de certaines rues et de quelques quartiers, et, évidemment, indifférente aux bouleversements sociaux et économiques comme au temps qui passe, la cathédrale.
Version considérablement allégée et remaniée d'une thèse de doctorat d'État rendue ainsi accessible aux non-spécialistes, cet ouvrage fait revivre avec finesse, chaleur et rigueur scientifique, un passé aujourd'hui révolu.
Chartres connaît au XVIIIe siècle un profond déclin : la population baisse, les activités textiles s'effondrent. La cohésion sociale, qui se faisait au XVIIe siècle autour du chapitre cathédrale, se remodèle contre lui, derrière la bourgeoisie des hommes de loi et des officiers. Les mentalités et les genres de vie changent profondément. Chartres passe à côté de l'expansion qui caractérise alors la plupart des autres cités du royaume, pour devenir une ville de petits rentiers et d'artisans, au rayonnement limité, vivant du travail de ses campagnes.
Il faudra attendre la deuxième moitié du XXe siècle pour que la capitale du pays chartrain sorte enfin de son long engourdissement. De la « ville sainte », de la cité des chanoines et des rentiers, de la basse ville artisanale, des vignerons des faubourgs, il ne reste plus, pour se souvenir aujourd'hui, que les noms de certaines rues et de quelques quartiers, et, évidemment, indifférente aux bouleversements sociaux et économiques comme au temps qui passe, la cathédrale.
Version considérablement allégée et remaniée d'une thèse de doctorat d'État rendue ainsi accessible aux non-spécialistes, cet ouvrage fait revivre avec finesse, chaleur et rigueur scientifique, un passé aujourd'hui révolu.