Trois femmes. Mme du Deffand, Mme Roland, Mme Vigée Le Brun

Par : Cécile Berly
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  • Nombre de pages188
  • FormatePub
  • ISBN978-2-37933-223-4
  • EAN9782379332234
  • Date de parution04/03/2020
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille768 Ko
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurPassés Composés

Résumé

Le XVIIIe est le siècle de la lettre. Jamais on est allé aussi loin dans la pratique épistolaire, dans l'écriture de soi, dans le besoin de dire et de se raconter. Ce sont avant tout les femmes qui se distinguent, dans l'écriture, même si elles ne prétendent au statut d'écrivain, de femmes de lettres. À lire Madame du Deffand, Madame Roland et Madame Vigée Le Brun, on comprend bien vite qu'il n'en est rien.
Quoi qu'elles en disent ou écrivent. Par la lettre, elles contournent, sans en avoir probablement conscience, les obstacles sociétaux, moraux et littéraires. Madame du Deffand (1696-1780), l'une des salonnières françaises les plus réputées, écrit pour fuir son ennui, véritable maladie de l'âme. Baignée de culture aristocratique, mondaine, lettrée, Madame du Deffand incarne la société d'Ancien Régime dans ce qu'elle a de plus frivole, de plus mélancolique aussi.
Madame Roland (1754-1793) écrit, quant à elle, le sentiment puis la politique. Nourrie de philosophie, elle est une idéaliste en tout : en amitié, en amour et même en politique. Madame Vigée Le Brun (1755-1842), enfin, écrit pour rassembler ses Souvenirs, pour les « fabriquer ». Elle écrit pour peindre autrement, avec énergie, douceur, ayant le sens quasi inné de la composition et le goût de gommer, d'atténuer les défauts.
Le XVIIIe est le siècle de la lettre. Jamais on est allé aussi loin dans la pratique épistolaire, dans l'écriture de soi, dans le besoin de dire et de se raconter. Ce sont avant tout les femmes qui se distinguent, dans l'écriture, même si elles ne prétendent au statut d'écrivain, de femmes de lettres. À lire Madame du Deffand, Madame Roland et Madame Vigée Le Brun, on comprend bien vite qu'il n'en est rien.
Quoi qu'elles en disent ou écrivent. Par la lettre, elles contournent, sans en avoir probablement conscience, les obstacles sociétaux, moraux et littéraires. Madame du Deffand (1696-1780), l'une des salonnières françaises les plus réputées, écrit pour fuir son ennui, véritable maladie de l'âme. Baignée de culture aristocratique, mondaine, lettrée, Madame du Deffand incarne la société d'Ancien Régime dans ce qu'elle a de plus frivole, de plus mélancolique aussi.
Madame Roland (1754-1793) écrit, quant à elle, le sentiment puis la politique. Nourrie de philosophie, elle est une idéaliste en tout : en amitié, en amour et même en politique. Madame Vigée Le Brun (1755-1842), enfin, écrit pour rassembler ses Souvenirs, pour les « fabriquer ». Elle écrit pour peindre autrement, avec énergie, douceur, ayant le sens quasi inné de la composition et le goût de gommer, d'atténuer les défauts.
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