Toulouse 19 mars 2012. L'attentat de l'école Ozar Hatorah par ceux qui l'ont vécu
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- Nombre de pages208
- FormatePub
- ISBN978-2-226-47270-0
- EAN9782226472700
- Date de parution17/03/2022
- Protection num.Adobe DRM
- Taille757 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Toulouse, le 19 mars 2012, collège Ozar Hatorah, à l'heure où les élèves arrivent en cours. Un motard casqué fait irruption dans la cour et sème la mort, tuant à bout portant un enseignant, Jonathan Sandler, et trois jeunes enfants : Arié (5 ans) et Gabriel Sandler (3 ans) et Myriam Monsonégo (9 ans), la fille du directeur. Ce crime a initié la série d'attentats islamistes qui ont endeuillé le pays de 2012 à 2015.
Son traitement médiatique s'est focalisé sur la personnalité et la famille du tueur, Mohamed Merah. Les victimes ont certes suscité la compassion, mais on n'a peut-être pas pris la pleine mesure de l'inhumanité que représente cet événement - pour la première fois en France depuis l'Occupation on a tué de sang-froid des juifs uniquement parce qu'ils sont juifs. Jonathan Chétrit qui, en tant qu'élève interne présent sur place, a vécu les meurtres au plus près, a collecté les témoignages minute par minute de toutes les personnes présentes.
Il nous fait entrer dans la réalité brutale de ces instants fatidiques, et de ce qui a suivi pour les survivants : la ruée des journalistes, le deuil impossible, mais aussi la solidarité, la volonté de se battre, jusqu'au procès des complices. Un récit brut, violent par sa sobriété même, qui n'a pas d'équivalent.
Son traitement médiatique s'est focalisé sur la personnalité et la famille du tueur, Mohamed Merah. Les victimes ont certes suscité la compassion, mais on n'a peut-être pas pris la pleine mesure de l'inhumanité que représente cet événement - pour la première fois en France depuis l'Occupation on a tué de sang-froid des juifs uniquement parce qu'ils sont juifs. Jonathan Chétrit qui, en tant qu'élève interne présent sur place, a vécu les meurtres au plus près, a collecté les témoignages minute par minute de toutes les personnes présentes.
Il nous fait entrer dans la réalité brutale de ces instants fatidiques, et de ce qui a suivi pour les survivants : la ruée des journalistes, le deuil impossible, mais aussi la solidarité, la volonté de se battre, jusqu'au procès des complices. Un récit brut, violent par sa sobriété même, qui n'a pas d'équivalent.
Toulouse, le 19 mars 2012, collège Ozar Hatorah, à l'heure où les élèves arrivent en cours. Un motard casqué fait irruption dans la cour et sème la mort, tuant à bout portant un enseignant, Jonathan Sandler, et trois jeunes enfants : Arié (5 ans) et Gabriel Sandler (3 ans) et Myriam Monsonégo (9 ans), la fille du directeur. Ce crime a initié la série d'attentats islamistes qui ont endeuillé le pays de 2012 à 2015.
Son traitement médiatique s'est focalisé sur la personnalité et la famille du tueur, Mohamed Merah. Les victimes ont certes suscité la compassion, mais on n'a peut-être pas pris la pleine mesure de l'inhumanité que représente cet événement - pour la première fois en France depuis l'Occupation on a tué de sang-froid des juifs uniquement parce qu'ils sont juifs. Jonathan Chétrit qui, en tant qu'élève interne présent sur place, a vécu les meurtres au plus près, a collecté les témoignages minute par minute de toutes les personnes présentes.
Il nous fait entrer dans la réalité brutale de ces instants fatidiques, et de ce qui a suivi pour les survivants : la ruée des journalistes, le deuil impossible, mais aussi la solidarité, la volonté de se battre, jusqu'au procès des complices. Un récit brut, violent par sa sobriété même, qui n'a pas d'équivalent.
Son traitement médiatique s'est focalisé sur la personnalité et la famille du tueur, Mohamed Merah. Les victimes ont certes suscité la compassion, mais on n'a peut-être pas pris la pleine mesure de l'inhumanité que représente cet événement - pour la première fois en France depuis l'Occupation on a tué de sang-froid des juifs uniquement parce qu'ils sont juifs. Jonathan Chétrit qui, en tant qu'élève interne présent sur place, a vécu les meurtres au plus près, a collecté les témoignages minute par minute de toutes les personnes présentes.
Il nous fait entrer dans la réalité brutale de ces instants fatidiques, et de ce qui a suivi pour les survivants : la ruée des journalistes, le deuil impossible, mais aussi la solidarité, la volonté de se battre, jusqu'au procès des complices. Un récit brut, violent par sa sobriété même, qui n'a pas d'équivalent.