Technique et vie. Biopolitique et philosophie du bios dans la pensée de Michel Foucault
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- Nombre de pages210
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45265-7
- EAN9782296452657
- Date de parution01/02/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Comment - avec quelles utiles méthodologies - Foucault pense-t-il la naissance de la biopolitique ? La réponse à cette question est cherchée à partir du rapport avec Georges Canguilhem dont l'épistémologique et les travaux sur le concept de vie ont eu une influence indiscutable sur Foucault. A travers la reconstruction de la ligne bio-épistémologique, qui marque le parcours foucauldien, le noeud biopolitique est défait par l'articulation de la relation entre technique et vie.
Premièrement, entre le Denkart (la technique de pensée) archéologique et la vie comme indicateur épistémologique ; deuxièmement, entre le concept de technologie politique, pensée comme rapport à l'objet, et les analyses qui portent sur le gouvernement des vivants et sur le libéralisme ; troisièmement, entre la thérapeutique comme technique de soi, et l'idée d'une morphogénèse de la vie. Si la biopolitique est le moment dont " la vie comme objet politique " a été prise à la lettre et renversée contre le système qui était entraîné à la contrôler, l'interprétation de ce renversement porte, tout d'abord, sur les transformations dans la connaissance de la vie, sur le seuil de modernité biologique, et par conséquent sur leurs effets politiques.
Premièrement, entre le Denkart (la technique de pensée) archéologique et la vie comme indicateur épistémologique ; deuxièmement, entre le concept de technologie politique, pensée comme rapport à l'objet, et les analyses qui portent sur le gouvernement des vivants et sur le libéralisme ; troisièmement, entre la thérapeutique comme technique de soi, et l'idée d'une morphogénèse de la vie. Si la biopolitique est le moment dont " la vie comme objet politique " a été prise à la lettre et renversée contre le système qui était entraîné à la contrôler, l'interprétation de ce renversement porte, tout d'abord, sur les transformations dans la connaissance de la vie, sur le seuil de modernité biologique, et par conséquent sur leurs effets politiques.
Comment - avec quelles utiles méthodologies - Foucault pense-t-il la naissance de la biopolitique ? La réponse à cette question est cherchée à partir du rapport avec Georges Canguilhem dont l'épistémologique et les travaux sur le concept de vie ont eu une influence indiscutable sur Foucault. A travers la reconstruction de la ligne bio-épistémologique, qui marque le parcours foucauldien, le noeud biopolitique est défait par l'articulation de la relation entre technique et vie.
Premièrement, entre le Denkart (la technique de pensée) archéologique et la vie comme indicateur épistémologique ; deuxièmement, entre le concept de technologie politique, pensée comme rapport à l'objet, et les analyses qui portent sur le gouvernement des vivants et sur le libéralisme ; troisièmement, entre la thérapeutique comme technique de soi, et l'idée d'une morphogénèse de la vie. Si la biopolitique est le moment dont " la vie comme objet politique " a été prise à la lettre et renversée contre le système qui était entraîné à la contrôler, l'interprétation de ce renversement porte, tout d'abord, sur les transformations dans la connaissance de la vie, sur le seuil de modernité biologique, et par conséquent sur leurs effets politiques.
Premièrement, entre le Denkart (la technique de pensée) archéologique et la vie comme indicateur épistémologique ; deuxièmement, entre le concept de technologie politique, pensée comme rapport à l'objet, et les analyses qui portent sur le gouvernement des vivants et sur le libéralisme ; troisièmement, entre la thérapeutique comme technique de soi, et l'idée d'une morphogénèse de la vie. Si la biopolitique est le moment dont " la vie comme objet politique " a été prise à la lettre et renversée contre le système qui était entraîné à la contrôler, l'interprétation de ce renversement porte, tout d'abord, sur les transformations dans la connaissance de la vie, sur le seuil de modernité biologique, et par conséquent sur leurs effets politiques.
