Relations. No. 797, Juillet-Août 2018. S’ouvrir à la culture sourde
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- Nombre de pages46
- FormatPDF
- ISBN978-2-924346-37-2
- EAN9782924346372
- Date de parution12/07/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurCentre justice et foi
Résumé
Pour son numéro de juillet-août, la revue Relations vous invite à découvrir la culture sourde. Car les personnes sourdes sont porteuses d'une identité culturelle qui leur est propre et la condition sourde n'a pas à être vécue comme un handicap. Cette culture prend racine dans une histoire commune et dans la langue des signes, capable d'autant d'expressivité, de nuances et de poésie que toute autre langue parlée - comme en font foi les riches formes d'expression artistique sourdes.
À des lieues d'une approche technomédicale les considérant comme des êtres «?à réparer?», les personnes sourdes assument leur condition et réclament des changements dans nos façons de faire société qui, trop souvent, sont inadaptées à leur réalité, les tenant à l'écart. Également au sommaire, un débat sur l'armement de la police, la question de la rémunération des mères porteuses et le second texte primé du concours «?Jeunes voix engagées?» par Pacifique Kambale Tsongo.
À des lieues d'une approche technomédicale les considérant comme des êtres «?à réparer?», les personnes sourdes assument leur condition et réclament des changements dans nos façons de faire société qui, trop souvent, sont inadaptées à leur réalité, les tenant à l'écart. Également au sommaire, un débat sur l'armement de la police, la question de la rémunération des mères porteuses et le second texte primé du concours «?Jeunes voix engagées?» par Pacifique Kambale Tsongo.
Pour son numéro de juillet-août, la revue Relations vous invite à découvrir la culture sourde. Car les personnes sourdes sont porteuses d'une identité culturelle qui leur est propre et la condition sourde n'a pas à être vécue comme un handicap. Cette culture prend racine dans une histoire commune et dans la langue des signes, capable d'autant d'expressivité, de nuances et de poésie que toute autre langue parlée - comme en font foi les riches formes d'expression artistique sourdes.
À des lieues d'une approche technomédicale les considérant comme des êtres «?à réparer?», les personnes sourdes assument leur condition et réclament des changements dans nos façons de faire société qui, trop souvent, sont inadaptées à leur réalité, les tenant à l'écart. Également au sommaire, un débat sur l'armement de la police, la question de la rémunération des mères porteuses et le second texte primé du concours «?Jeunes voix engagées?» par Pacifique Kambale Tsongo.
À des lieues d'une approche technomédicale les considérant comme des êtres «?à réparer?», les personnes sourdes assument leur condition et réclament des changements dans nos façons de faire société qui, trop souvent, sont inadaptées à leur réalité, les tenant à l'écart. Également au sommaire, un débat sur l'armement de la police, la question de la rémunération des mères porteuses et le second texte primé du concours «?Jeunes voix engagées?» par Pacifique Kambale Tsongo.
