Qu'a jamais j'oublie

Par : Valentin Musso
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  • Nombre de pages312
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7578-9182-7
  • EAN9782757891827
  • Date de parution06/05/2022
  • CollectionPoints
  • ÉditeurPoints

Résumé

Nina Kircher, veuve d'un photographe mondialement célèbre, séjourne dans un hôtel de luxe dans le sud de la France. Son destin bascule lorsque, sortant de la piscine où elle vient de se baigner, elle s'engage dans les pas d'un homme jusqu'à son bungalow puis, sans raison apparente, le poignarde avec une violence inouïe, avant de s'enfermer dans un mutisme complet. Pour tenter de comprendre cet acte insensé, son fils Théo décide de mener sa propre enquête.
Jusqu'à découvrir des secrets inavouables...
Nina Kircher, veuve d'un photographe mondialement célèbre, séjourne dans un hôtel de luxe dans le sud de la France. Son destin bascule lorsque, sortant de la piscine où elle vient de se baigner, elle s'engage dans les pas d'un homme jusqu'à son bungalow puis, sans raison apparente, le poignarde avec une violence inouïe, avant de s'enfermer dans un mutisme complet. Pour tenter de comprendre cet acte insensé, son fils Théo décide de mener sa propre enquête.
Jusqu'à découvrir des secrets inavouables...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Pas mal.
L’oubli est parfois une destination. Et le silence, un des rares moyens de s’y rendre. À bien regarder Nina Kircher, belle femme, veuve d’un photographe de renom et mère de Théo, rien ne peut laisser croire que de sombres secrets l’empoisonnement depuis des décennies. Et pourtant. Le jour où, sans raison apparente, elle tue un inconnu lors d’un séjour à l’hôtel, Théo comprend que ce qu’il a toujours pris pour de la pudeur ou du chagrin dans le regard de sa mère pourrait être tout autre chose. Et pour lui venir en aide, il va devoir chercher de quoi il s’agit. Même si c’est contre son gré. Valentin Musso a un vrai don pour créer des intrigues féroces axées sur des faits de société. Qu’à Jamais J’oublie en est un bel exemple. En plus de l’enquête, ce roman nous parle d’un sujet peu connu et pourtant d’une gravité phénoménale : les internements administratifs. Si la France a assez tôt mis fin à ces enfermements barbares, il n’en a pas été de même pour la Suisse, où ils se sont prolongés jusqu’en 1981. Derrière sa façade neutre, sage et tranquille, ce pays a toléré que des dizaines de milliers de jeunes personnes soient claquemurées dans des institutions où, bien souvent, le pire leur arrivait... Ce nouveau thriller a donc le double bénéfice de nous distraire ET de nous informer. Sur la forme, l’intrigue se tient parfaitement, et l’auteur s’est suffisamment renseigné pour que l’immersion du lecteur soit complète. Le rythme est bon, l’alternance des temporalités apportant comme toujours un plus non négligeable. Pour les personnages, même s’ils sont bien évidemment bien travaillés, il m’a manqué un peu de profondeur pour certains d’entre eux, ou du moins une humanité un peu plus soulignée. Mais ça reste un jugement personnel et qui n’enlève en rien tout l’intérêt du sujet de ce roman. La fin est bien pensée, comme souvent chez Valentin Musso. Elle est peut-être, cette fois, un peu plus politiquement correcte que ce qu’il sait nous proposer parfois, mais le sujet est tellement fort que je pense que ce choix est plutôt judicieux. Encore une belle réussite pour le romancier. Cette lecture rencontrera certainement un grand succès !
L’oubli est parfois une destination. Et le silence, un des rares moyens de s’y rendre. À bien regarder Nina Kircher, belle femme, veuve d’un photographe de renom et mère de Théo, rien ne peut laisser croire que de sombres secrets l’empoisonnement depuis des décennies. Et pourtant. Le jour où, sans raison apparente, elle tue un inconnu lors d’un séjour à l’hôtel, Théo comprend que ce qu’il a toujours pris pour de la pudeur ou du chagrin dans le regard de sa mère pourrait être tout autre chose. Et pour lui venir en aide, il va devoir chercher de quoi il s’agit. Même si c’est contre son gré. Valentin Musso a un vrai don pour créer des intrigues féroces axées sur des faits de société. Qu’à Jamais J’oublie en est un bel exemple. En plus de l’enquête, ce roman nous parle d’un sujet peu connu et pourtant d’une gravité phénoménale : les internements administratifs. Si la France a assez tôt mis fin à ces enfermements barbares, il n’en a pas été de même pour la Suisse, où ils se sont prolongés jusqu’en 1981. Derrière sa façade neutre, sage et tranquille, ce pays a toléré que des dizaines de milliers de jeunes personnes soient claquemurées dans des institutions où, bien souvent, le pire leur arrivait... Ce nouveau thriller a donc le double bénéfice de nous distraire ET de nous informer. Sur la forme, l’intrigue se tient parfaitement, et l’auteur s’est suffisamment renseigné pour que l’immersion du lecteur soit complète. Le rythme est bon, l’alternance des temporalités apportant comme toujours un plus non négligeable. Pour les personnages, même s’ils sont bien évidemment bien travaillés, il m’a manqué un peu de profondeur pour certains d’entre eux, ou du moins une humanité un peu plus soulignée. Mais ça reste un jugement personnel et qui n’enlève en rien tout l’intérêt du sujet de ce roman. La fin est bien pensée, comme souvent chez Valentin Musso. Elle est peut-être, cette fois, un peu plus politiquement correcte que ce qu’il sait nous proposer parfois, mais le sujet est tellement fort que je pense que ce choix est plutôt judicieux. Encore une belle réussite pour le romancier. Cette lecture rencontrera certainement un grand succès !
Pas mal.
L’oubli est parfois une destination. Et le silence, un des rares moyens de s’y rendre. À bien regarder Nina Kircher, belle femme, veuve d’un photographe de renom et mère de Théo, rien ne peut laisser croire que de sombres secrets l’empoisonnement depuis des décennies. Et pourtant. Le jour où, sans raison apparente, elle tue un inconnu lors d’un séjour à l’hôtel, Théo comprend que ce qu’il a toujours pris pour de la pudeur ou du chagrin dans le regard de sa mère pourrait être tout autre chose. Et pour lui venir en aide, il va devoir chercher de quoi il s’agit. Même si c’est contre son gré. Valentin Musso a un vrai don pour créer des intrigues féroces axées sur des faits de société. Qu’à Jamais J’oublie en est un bel exemple. En plus de l’enquête, ce roman nous parle d’un sujet peu connu et pourtant d’une gravité phénoménale : les internements administratifs. Si la France a assez tôt mis fin à ces enfermements barbares, il n’en a pas été de même pour la Suisse, où ils se sont prolongés jusqu’en 1981. Derrière sa façade neutre, sage et tranquille, ce pays a toléré que des dizaines de milliers de jeunes personnes soient claquemurées dans des institutions où, bien souvent, le pire leur arrivait... Ce nouveau thriller a donc le double bénéfice de nous distraire ET de nous informer. Sur la forme, l’intrigue se tient parfaitement, et l’auteur s’est suffisamment renseigné pour que l’immersion du lecteur soit complète. Le rythme est bon, l’alternance des temporalités apportant comme toujours un plus non négligeable. Pour les personnages, même s’ils sont bien évidemment bien travaillés, il m’a manqué un peu de profondeur pour certains d’entre eux, ou du moins une humanité un peu plus soulignée. Mais ça reste un jugement personnel et qui n’enlève en rien tout l’intérêt du sujet de ce roman. La fin est bien pensée, comme souvent chez Valentin Musso. Elle est peut-être, cette fois, un peu plus politiquement correcte que ce qu’il sait nous proposer parfois, mais le sujet est tellement fort que je pense que ce choix est plutôt judicieux. Encore une belle réussite pour le romancier. Cette lecture rencontrera certainement un grand succès !
L’oubli est parfois une destination. Et le silence, un des rares moyens de s’y rendre. À bien regarder Nina Kircher, belle femme, veuve d’un photographe de renom et mère de Théo, rien ne peut laisser croire que de sombres secrets l’empoisonnement depuis des décennies. Et pourtant. Le jour où, sans raison apparente, elle tue un inconnu lors d’un séjour à l’hôtel, Théo comprend que ce qu’il a toujours pris pour de la pudeur ou du chagrin dans le regard de sa mère pourrait être tout autre chose. Et pour lui venir en aide, il va devoir chercher de quoi il s’agit. Même si c’est contre son gré. Valentin Musso a un vrai don pour créer des intrigues féroces axées sur des faits de société. Qu’à Jamais J’oublie en est un bel exemple. En plus de l’enquête, ce roman nous parle d’un sujet peu connu et pourtant d’une gravité phénoménale : les internements administratifs. Si la France a assez tôt mis fin à ces enfermements barbares, il n’en a pas été de même pour la Suisse, où ils se sont prolongés jusqu’en 1981. Derrière sa façade neutre, sage et tranquille, ce pays a toléré que des dizaines de milliers de jeunes personnes soient claquemurées dans des institutions où, bien souvent, le pire leur arrivait... Ce nouveau thriller a donc le double bénéfice de nous distraire ET de nous informer. Sur la forme, l’intrigue se tient parfaitement, et l’auteur s’est suffisamment renseigné pour que l’immersion du lecteur soit complète. Le rythme est bon, l’alternance des temporalités apportant comme toujours un plus non négligeable. Pour les personnages, même s’ils sont bien évidemment bien travaillés, il m’a manqué un peu de profondeur pour certains d’entre eux, ou du moins une humanité un peu plus soulignée. Mais ça reste un jugement personnel et qui n’enlève en rien tout l’intérêt du sujet de ce roman. La fin est bien pensée, comme souvent chez Valentin Musso. Elle est peut-être, cette fois, un peu plus politiquement correcte que ce qu’il sait nous proposer parfois, mais le sujet est tellement fort que je pense que ce choix est plutôt judicieux. Encore une belle réussite pour le romancier. Cette lecture rencontrera certainement un grand succès !
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