Psychanalyse de la destructivité
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- Nombre de pages158
- FormatPDF
- ISBN978-2-84254-212-2
- EAN9782842542122
- Date de parution03/12/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurEDK
Résumé
Le clinicien ne peut que s'incliner devant la réalité contraignante de la destructivité. Intrapsychique ou intersubjective, s'exprimant somatiquement ou psychiquement, souvent énigmatique, elle questionne et fait théoriser nous laissant dans de nombreuses incertitudes. La névrose traumatique et son syndrome central : la compulsion de répétition. Les résistances dans les cures sans fin et l'observation d'un enfant qui joue en mettant en scène la disparition de sa mère constituent les hypothèses cliniques qui vont permettre à Freud d'introduire en 1920 le concept de pulsion de mort qu'il nomme d'emblée pulsion de destruction.
Tout au long de son travail, il insistera de plus en plus sur l'importance de cette pulsion. Ainsi écrit-il dans « Le malaise dans la culture » ; « Je ne peux pas comprendre comment nous avons pu négliger l'universalité de l'agression non érotique et de la destruction ». La pulsion de mort est alors définie comme une manifestation de la tendance à la réduction absolue des tensions, au retour vers l'état inorganique, vers la mort et rend compte de la compulsion de répétition dans la vie psychique qui se place « au-delà du principe de plaisir ».
Elle représente ce qu'il y a en nous de plus originaire, d'élémentaire et de pulsionnel. Elle pousse à la déliaison, à la séparation. Elle sera aussi considérée par Freud comme pulsion d'emprise et volonté de puissance. Partant de cette conceptualisation, des cliniciens, pour la plupart psychanalystes, s'interrogent sur la destructivité psychique. Serait-elle un représentant de la pulsion de mort, un signe de désintrication pulsionnelle , une marque de l'agressivité primaire ? Les auteurs de cet ouvrage (Dominique Arnoux, Maurizio Balsamo, Dominique Cupa, Bernard Golse, Sylvain Missonnier, Denys Ribas, Jean-François Saucier, Claude Smadja) proposent différentes réponses et en tirent les conséquences pour leur pratique.
Tout au long de son travail, il insistera de plus en plus sur l'importance de cette pulsion. Ainsi écrit-il dans « Le malaise dans la culture » ; « Je ne peux pas comprendre comment nous avons pu négliger l'universalité de l'agression non érotique et de la destruction ». La pulsion de mort est alors définie comme une manifestation de la tendance à la réduction absolue des tensions, au retour vers l'état inorganique, vers la mort et rend compte de la compulsion de répétition dans la vie psychique qui se place « au-delà du principe de plaisir ».
Elle représente ce qu'il y a en nous de plus originaire, d'élémentaire et de pulsionnel. Elle pousse à la déliaison, à la séparation. Elle sera aussi considérée par Freud comme pulsion d'emprise et volonté de puissance. Partant de cette conceptualisation, des cliniciens, pour la plupart psychanalystes, s'interrogent sur la destructivité psychique. Serait-elle un représentant de la pulsion de mort, un signe de désintrication pulsionnelle , une marque de l'agressivité primaire ? Les auteurs de cet ouvrage (Dominique Arnoux, Maurizio Balsamo, Dominique Cupa, Bernard Golse, Sylvain Missonnier, Denys Ribas, Jean-François Saucier, Claude Smadja) proposent différentes réponses et en tirent les conséquences pour leur pratique.
Le clinicien ne peut que s'incliner devant la réalité contraignante de la destructivité. Intrapsychique ou intersubjective, s'exprimant somatiquement ou psychiquement, souvent énigmatique, elle questionne et fait théoriser nous laissant dans de nombreuses incertitudes. La névrose traumatique et son syndrome central : la compulsion de répétition. Les résistances dans les cures sans fin et l'observation d'un enfant qui joue en mettant en scène la disparition de sa mère constituent les hypothèses cliniques qui vont permettre à Freud d'introduire en 1920 le concept de pulsion de mort qu'il nomme d'emblée pulsion de destruction.
Tout au long de son travail, il insistera de plus en plus sur l'importance de cette pulsion. Ainsi écrit-il dans « Le malaise dans la culture » ; « Je ne peux pas comprendre comment nous avons pu négliger l'universalité de l'agression non érotique et de la destruction ». La pulsion de mort est alors définie comme une manifestation de la tendance à la réduction absolue des tensions, au retour vers l'état inorganique, vers la mort et rend compte de la compulsion de répétition dans la vie psychique qui se place « au-delà du principe de plaisir ».
Elle représente ce qu'il y a en nous de plus originaire, d'élémentaire et de pulsionnel. Elle pousse à la déliaison, à la séparation. Elle sera aussi considérée par Freud comme pulsion d'emprise et volonté de puissance. Partant de cette conceptualisation, des cliniciens, pour la plupart psychanalystes, s'interrogent sur la destructivité psychique. Serait-elle un représentant de la pulsion de mort, un signe de désintrication pulsionnelle , une marque de l'agressivité primaire ? Les auteurs de cet ouvrage (Dominique Arnoux, Maurizio Balsamo, Dominique Cupa, Bernard Golse, Sylvain Missonnier, Denys Ribas, Jean-François Saucier, Claude Smadja) proposent différentes réponses et en tirent les conséquences pour leur pratique.
Tout au long de son travail, il insistera de plus en plus sur l'importance de cette pulsion. Ainsi écrit-il dans « Le malaise dans la culture » ; « Je ne peux pas comprendre comment nous avons pu négliger l'universalité de l'agression non érotique et de la destruction ». La pulsion de mort est alors définie comme une manifestation de la tendance à la réduction absolue des tensions, au retour vers l'état inorganique, vers la mort et rend compte de la compulsion de répétition dans la vie psychique qui se place « au-delà du principe de plaisir ».
Elle représente ce qu'il y a en nous de plus originaire, d'élémentaire et de pulsionnel. Elle pousse à la déliaison, à la séparation. Elle sera aussi considérée par Freud comme pulsion d'emprise et volonté de puissance. Partant de cette conceptualisation, des cliniciens, pour la plupart psychanalystes, s'interrogent sur la destructivité psychique. Serait-elle un représentant de la pulsion de mort, un signe de désintrication pulsionnelle , une marque de l'agressivité primaire ? Les auteurs de cet ouvrage (Dominique Arnoux, Maurizio Balsamo, Dominique Cupa, Bernard Golse, Sylvain Missonnier, Denys Ribas, Jean-François Saucier, Claude Smadja) proposent différentes réponses et en tirent les conséquences pour leur pratique.