Pour ne pas vivre seul(e). Figures et déguisements de la solitude

Par : Michèle Declerck

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  • Nombre de pages182
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-19006-1
  • EAN9782296190061
  • Date de parution01/02/2008
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le sentiment de solitude qui caractérise notre temps et les mille et un détours inventés pour y pallier recouvrent plusieurs paradoxes : paradoxe d'une société qui se recommande du " tout communication ", qui ne cesse d'inventer des instruments à communiquer et qui génère des individus de plus en plus isolés, et de plus en plus souffrants de leur solitude. Paradoxe d'un monde qui se prétend individualiste et qui multiplie les dépendances, qu'il s'agisse de dépendances matérielles comme la drogue, le médicament, l'aliment, de dépendances affectives, voire de ces nouvelles dépendances engendrées par les technologies modernes : Internet, les jeux vidéo, la fuite dans le virtuel...
Paradoxe de cette incapacité à vivre seul alors même que le couple ou le groupe se révèle " invivable ". Comment avons-nous pu oublier que la solitude, loin d'être une maladie, se présente comme la condition même de notre liberté et de notre créativité, voire de notre " bonne distance " avec les autres ? " Alone, but not lonely " comme l'exprimait Ellen Mac Arthur, la navigatrice solitaire.
Le sentiment de solitude qui caractérise notre temps et les mille et un détours inventés pour y pallier recouvrent plusieurs paradoxes : paradoxe d'une société qui se recommande du " tout communication ", qui ne cesse d'inventer des instruments à communiquer et qui génère des individus de plus en plus isolés, et de plus en plus souffrants de leur solitude. Paradoxe d'un monde qui se prétend individualiste et qui multiplie les dépendances, qu'il s'agisse de dépendances matérielles comme la drogue, le médicament, l'aliment, de dépendances affectives, voire de ces nouvelles dépendances engendrées par les technologies modernes : Internet, les jeux vidéo, la fuite dans le virtuel...
Paradoxe de cette incapacité à vivre seul alors même que le couple ou le groupe se révèle " invivable ". Comment avons-nous pu oublier que la solitude, loin d'être une maladie, se présente comme la condition même de notre liberté et de notre créativité, voire de notre " bonne distance " avec les autres ? " Alone, but not lonely " comme l'exprimait Ellen Mac Arthur, la navigatrice solitaire.
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