Pension alimentaire

Par : Eric Neuhoff

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  • Nombre de pages144
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-38287-0
  • EAN9782226382870
  • Date de parution22/08/2007
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille448 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

« "Comment est-ce que tu peux divorcer ?" dit mon père au moment de l'addition. Nous avions déjeuné dans cette brasserie à l'angle de la rue du Bac et de la rue de Varenne où ils servaient un tartare au paprika assez unique. » « Neuhoff traite avec drôlerie des glissements de terrain, des chutes d'arbres dans la géographie sentimentale et sociale d'aujourd'hui. » Bernard Pivot, de l'académie Goncourt, JDD. « Neuhoff sait raconter dix ans de vie en deux lignes.
Du Claude Sautet bousculé par le Cassavetes de Husbands. Très drôle et très triste, très violent et très tendre. Comme nos vies. Une comédie de mours de grande classe. » Christian Authier, Le Figaro. « Un superbe roman. Un peu à la façon d'une longue nouvelle de Fitzgerald. » Gilles Martin-Chauffier, Paris-Match. « Une chronique des jours malheureux, où chaque phrase est un enchantement. Quel écrivain ! » Patrick Besson, Marianne. « Il faut se méfier de Neuhoff, comme il faut se méfier de Blondin ou de Giraudoux.
Ce sont des écrivains mezza voce, de la litote, du dépouillement. Il fait de la pudeur un style. Au lieu de dramatiser, il gomme. Au lieu de s'appesantir, il glisse. Art de l'ellipse, du dépouillement, de la rapidité : la classe, quoi ! » Jacques-Pierre Amette, Le Point. « Ce roman est ce que les Anglais appellent une comédie de manières. Quand on dit comédie, c'est par politesse. Une tristesse passe sur ce livre vif et rapide.
À lire d'office. » Charles Dantzig, Bibliobs.fr « Un cinglant roman de désamour, des pages d'une sobriété poignante. Comme si Neuhoff n'avait feint de s'emporter que pour mieux cacher ses larmes. » Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.
« "Comment est-ce que tu peux divorcer ?" dit mon père au moment de l'addition. Nous avions déjeuné dans cette brasserie à l'angle de la rue du Bac et de la rue de Varenne où ils servaient un tartare au paprika assez unique. » « Neuhoff traite avec drôlerie des glissements de terrain, des chutes d'arbres dans la géographie sentimentale et sociale d'aujourd'hui. » Bernard Pivot, de l'académie Goncourt, JDD. « Neuhoff sait raconter dix ans de vie en deux lignes.
Du Claude Sautet bousculé par le Cassavetes de Husbands. Très drôle et très triste, très violent et très tendre. Comme nos vies. Une comédie de mours de grande classe. » Christian Authier, Le Figaro. « Un superbe roman. Un peu à la façon d'une longue nouvelle de Fitzgerald. » Gilles Martin-Chauffier, Paris-Match. « Une chronique des jours malheureux, où chaque phrase est un enchantement. Quel écrivain ! » Patrick Besson, Marianne. « Il faut se méfier de Neuhoff, comme il faut se méfier de Blondin ou de Giraudoux.
Ce sont des écrivains mezza voce, de la litote, du dépouillement. Il fait de la pudeur un style. Au lieu de dramatiser, il gomme. Au lieu de s'appesantir, il glisse. Art de l'ellipse, du dépouillement, de la rapidité : la classe, quoi ! » Jacques-Pierre Amette, Le Point. « Ce roman est ce que les Anglais appellent une comédie de manières. Quand on dit comédie, c'est par politesse. Une tristesse passe sur ce livre vif et rapide.
À lire d'office. » Charles Dantzig, Bibliobs.fr « Un cinglant roman de désamour, des pages d'une sobriété poignante. Comme si Neuhoff n'avait feint de s'emporter que pour mieux cacher ses larmes. » Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.
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