Oeuvres choisies. Volume 3, L'intelligence
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- Nombre de pages118
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23521-2
- EAN9782296235212
- Date de parution01/05/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierSerge Nicolas
Résumé
Le thème de l'intelligence fut traité par William James (1842-1910) au tout début de sa carrière de philosophe et de psychologue. En effet, il publie en 1878 un article dont l'objectif est de s'interroger sur la caractéristique intellectuelle de l'homme et de la comparer à celle des animaux. Pourquoi l'homme est plus intelligent que les animaux ? Simplement parce que la pensée animale procède par de simples associations.
Ils sont les esclaves de la routine, de la représentation brute et sèche. Il ne peut y avoir chez eux d'imagination inventive. Lorsque, douze ans plus tard, il reprend cette question dans son magistral ouvrage de psychologie (1890), James souligne la difficulté qu'il y a à tracer une ligne de démarcation bien nette entre les simples associations et les véritables raisonnements. La grande différence qui existe entre l'association et le raisonnement, c'est que seul ce dernier est productif.
Le mécanisme qui joue dans le raisonnement, c'est un mécanisme d'analyse et d'abstraction. La théorie du raisonnement est peut-être la plus achevée de toutes celles que W. James a exposées. Ce texte sur le raisonnement reste central pour la distinction entre l'intelligence de l'homme et de l'animal. L'ouvrage rassemble pour la première fois la traduction française de l'article original de James sur l'intelligence et le chapitre sur le raisonnement des " Principles of Psychology " (1890).
Ils sont les esclaves de la routine, de la représentation brute et sèche. Il ne peut y avoir chez eux d'imagination inventive. Lorsque, douze ans plus tard, il reprend cette question dans son magistral ouvrage de psychologie (1890), James souligne la difficulté qu'il y a à tracer une ligne de démarcation bien nette entre les simples associations et les véritables raisonnements. La grande différence qui existe entre l'association et le raisonnement, c'est que seul ce dernier est productif.
Le mécanisme qui joue dans le raisonnement, c'est un mécanisme d'analyse et d'abstraction. La théorie du raisonnement est peut-être la plus achevée de toutes celles que W. James a exposées. Ce texte sur le raisonnement reste central pour la distinction entre l'intelligence de l'homme et de l'animal. L'ouvrage rassemble pour la première fois la traduction française de l'article original de James sur l'intelligence et le chapitre sur le raisonnement des " Principles of Psychology " (1890).
Le thème de l'intelligence fut traité par William James (1842-1910) au tout début de sa carrière de philosophe et de psychologue. En effet, il publie en 1878 un article dont l'objectif est de s'interroger sur la caractéristique intellectuelle de l'homme et de la comparer à celle des animaux. Pourquoi l'homme est plus intelligent que les animaux ? Simplement parce que la pensée animale procède par de simples associations.
Ils sont les esclaves de la routine, de la représentation brute et sèche. Il ne peut y avoir chez eux d'imagination inventive. Lorsque, douze ans plus tard, il reprend cette question dans son magistral ouvrage de psychologie (1890), James souligne la difficulté qu'il y a à tracer une ligne de démarcation bien nette entre les simples associations et les véritables raisonnements. La grande différence qui existe entre l'association et le raisonnement, c'est que seul ce dernier est productif.
Le mécanisme qui joue dans le raisonnement, c'est un mécanisme d'analyse et d'abstraction. La théorie du raisonnement est peut-être la plus achevée de toutes celles que W. James a exposées. Ce texte sur le raisonnement reste central pour la distinction entre l'intelligence de l'homme et de l'animal. L'ouvrage rassemble pour la première fois la traduction française de l'article original de James sur l'intelligence et le chapitre sur le raisonnement des " Principles of Psychology " (1890).
Ils sont les esclaves de la routine, de la représentation brute et sèche. Il ne peut y avoir chez eux d'imagination inventive. Lorsque, douze ans plus tard, il reprend cette question dans son magistral ouvrage de psychologie (1890), James souligne la difficulté qu'il y a à tracer une ligne de démarcation bien nette entre les simples associations et les véritables raisonnements. La grande différence qui existe entre l'association et le raisonnement, c'est que seul ce dernier est productif.
Le mécanisme qui joue dans le raisonnement, c'est un mécanisme d'analyse et d'abstraction. La théorie du raisonnement est peut-être la plus achevée de toutes celles que W. James a exposées. Ce texte sur le raisonnement reste central pour la distinction entre l'intelligence de l'homme et de l'animal. L'ouvrage rassemble pour la première fois la traduction française de l'article original de James sur l'intelligence et le chapitre sur le raisonnement des " Principles of Psychology " (1890).