NIETZSCHE ET SCHOPENHAUER.. Encore et toujours la prédestination

Par : Marie-José Pernin Segissement

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages512
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-38055-7
  • EAN9782296380554
  • Date de parution01/01/1999
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille19 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dante, au Paradis, demande à son élue : " Pourquoi tu fus toi seule prédestinée ? ". En guise de réponse, il n'aura qu'un cri résonnant comme le tonnerre qui le dissuadera de questionner plus avant... Nietzsche et Schopenhauer, eux, n'auront pas peur de cette question qui met en jeu indissociablement leur identité singulière et leur statut de philosophe. Le premier, au péril de sa raison, gère l'héritage de la mort de Dieu, en assumant la disparition du Père.
Nous devons à l'un et à l'autre la considération de la valeur de la singularité, valeur ineffable, accessible seulement à l'amour électif, divin ou humain. Le classement des hommes en genres, espèces, races, n'en est que la caricature ; l'individualisme contemporain en est sans doute la décomposition.
Dante, au Paradis, demande à son élue : " Pourquoi tu fus toi seule prédestinée ? ". En guise de réponse, il n'aura qu'un cri résonnant comme le tonnerre qui le dissuadera de questionner plus avant... Nietzsche et Schopenhauer, eux, n'auront pas peur de cette question qui met en jeu indissociablement leur identité singulière et leur statut de philosophe. Le premier, au péril de sa raison, gère l'héritage de la mort de Dieu, en assumant la disparition du Père.
Nous devons à l'un et à l'autre la considération de la valeur de la singularité, valeur ineffable, accessible seulement à l'amour électif, divin ou humain. Le classement des hommes en genres, espèces, races, n'en est que la caricature ; l'individualisme contemporain en est sans doute la décomposition.