Prix Pulitzer Littérature
Coup de coeur
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages272
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-44978-8
  • EAN9782226449788
  • Date de parution19/08/2020
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurCharles Recoursé

Résumé

Le roman qui a inspiré le film de RaMell Ross, nommé aux Oscars. Prix Pulitzer 2020 Palmarès Les 100 livres de l'année 2020 - Lire-Magazine Littéraire; Palmarès Les 30 livres de l'année 2020 -  Le Point; Palmarès 2020 - Les Inrocks; Palmarès Les 30 meilleurs livres de 2020 - Le Monde Dans la Floride ségrégationniste des années 1960, le jeune Elwood Curtis prend très à cour le message de paix de Martin Luther King.
Prêt à intégrer l'université pour y faire de brillantes études, il voit s'évanouir ses rêves d'avenir lorsque, à la suite d'une erreur judiciaire, on l'envoie à la Nickel Academy, une maison de correction qui s'engage à faire des délinquants des « hommes honnêtes et honorables ». Sauf qu'il s'agit en réalité d'un endroit cauchemardesque, où les pensionnaires sont soumis aux pires sévices. Elwood trouve toutefois un allié précieux en la personne de Turner, avec qui il se lie d'amitié.
Mais l'idéalisme de l'un et le scepticisme de l'autre auront des conséquences déchirantes. Couronné en 2017 par le prix Pulitzer pour Underdground Railroad puis en 2020 pour Nickel Boys, Colson Whitehead s'inscrit dans la lignée des rares romanciers distingués à deux reprises par cette prestigieuse récompense, à l'instar de William Faulkner et John Updike. S'inspirant de faits réels, il continue d'explorer l'inguérissable blessure raciale de l'Amérique et donne avec ce nouveau roman saisissant une sépulture littéraire à des centaines d'innocents, victimes de l'injustice du fait de leur couleur de peau. « Le roman de Colson Whitehead est une lecture nécessaire.
Il détaille la façon dont les lois raciales ont anéanti des existences et montre que leurs effets se font sentir encore aujourd'hui. » Barack Obama
Le roman qui a inspiré le film de RaMell Ross, nommé aux Oscars. Prix Pulitzer 2020 Palmarès Les 100 livres de l'année 2020 - Lire-Magazine Littéraire; Palmarès Les 30 livres de l'année 2020 -  Le Point; Palmarès 2020 - Les Inrocks; Palmarès Les 30 meilleurs livres de 2020 - Le Monde Dans la Floride ségrégationniste des années 1960, le jeune Elwood Curtis prend très à cour le message de paix de Martin Luther King.
Prêt à intégrer l'université pour y faire de brillantes études, il voit s'évanouir ses rêves d'avenir lorsque, à la suite d'une erreur judiciaire, on l'envoie à la Nickel Academy, une maison de correction qui s'engage à faire des délinquants des « hommes honnêtes et honorables ». Sauf qu'il s'agit en réalité d'un endroit cauchemardesque, où les pensionnaires sont soumis aux pires sévices. Elwood trouve toutefois un allié précieux en la personne de Turner, avec qui il se lie d'amitié.
Mais l'idéalisme de l'un et le scepticisme de l'autre auront des conséquences déchirantes. Couronné en 2017 par le prix Pulitzer pour Underdground Railroad puis en 2020 pour Nickel Boys, Colson Whitehead s'inscrit dans la lignée des rares romanciers distingués à deux reprises par cette prestigieuse récompense, à l'instar de William Faulkner et John Updike. S'inspirant de faits réels, il continue d'explorer l'inguérissable blessure raciale de l'Amérique et donne avec ce nouveau roman saisissant une sépulture littéraire à des centaines d'innocents, victimes de l'injustice du fait de leur couleur de peau. « Le roman de Colson Whitehead est une lecture nécessaire.
Il détaille la façon dont les lois raciales ont anéanti des existences et montre que leurs effets se font sentir encore aujourd'hui. » Barack Obama

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

14 Coups de cœur
de nos libraires
Camille - 1Furet du Nord Reims
5/5
American society's morals through literature
A well deserved second Pulitzer prize for Colson Whitehead delivering with The Nickel Boys, a moving novel about segregation in the sixties. The author's writing gives depth to the book and the way the subject is treated is impeccable. A must-read !
A well deserved second Pulitzer prize for Colson Whitehead delivering with The Nickel Boys, a moving novel about segregation in the sixties. The author's writing gives depth to the book and the way the subject is treated is impeccable. A must-read !
Camille - 1Furet du Nord Reims
5/5
Les mœurs de la société américaine à travers la littérature
Un deuxième prix Pulitzer amplement mérité par Colson Whitehead qui nous livre un roman bouleversant et brut de vérité.
Un deuxième prix Pulitzer amplement mérité par Colson Whitehead qui nous livre un roman bouleversant et brut de vérité.
LouisonFuret du Nord Arcueil
5/5
Bouleversant !
Un récit glaçant, qui nous fait froid dans le dos ! Avec sa plus belle plume Colson Whitehead nous invite au cœur des établissements disciplinaires du XXe siècle. Une fiction qui nous donne un aperçu de la cruauté humaine et des inégalités de droits qui persistent dans les mœurs. Une description fine qui doit refléter la réalité de ces lieux où la douleur et la brutalité règnent en maître ! Tout simplement bouleversant !
Un récit glaçant, qui nous fait froid dans le dos ! Avec sa plus belle plume Colson Whitehead nous invite au cœur des établissements disciplinaires du XXe siècle. Une fiction qui nous donne un aperçu de la cruauté humaine et des inégalités de droits qui persistent dans les mœurs. Une description fine qui doit refléter la réalité de ces lieux où la douleur et la brutalité règnent en maître ! Tout simplement bouleversant !
  • racisme
  • ségrégation
  • pullitzer

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 5 notes dont 3 avis lecteurs
A nos enfants
Ce type d'oeuvre sur les sévices subies par les enfants dans des structures officielles mettent en lumière les actes ignobles de leurs bourreaux mais aussi les manques ou égarements dans la prise en charge des enfants dans nos sociétés. C'est aussi la parole des dominés, des faibles qui est mise en avant alors qu'elle a pu et peut encore être niée. Sur cette thématique, on peut évoquer des oeuvres comme les films Sleepers ou The Magdalene sisters, le récit graphique "Payer la terre" de Joe SACCO sur les populations autochtones du Canada. Ce dernier récit rejoint la question raciale traité par Colson Whitehead et cette somme de destins brisés, cette somme de destins "privés du simple plaisir d'être ordinaires" Au delà des situations les plus dures et les plus cruelles, la question de la prise en charge des enfants en difficultés sociales est bien d'une continuelle importance. Colson Whitehead aborde tout cela sans faire dans le roman noir ni dans le roman à sensation, en reprenant des mots de résistance et de paix de Martin Luther King et en les interrogeant. Il ne donne pas forcément dans le détail des violences subies et sait les évoquer sans en rajouter. Mais Nickel Boys n'a, à mon goût, pas la force de Underground Railroad. C'est un bon livre, bien écrit, nécessaire mais moins flamboyant.
Ce type d'oeuvre sur les sévices subies par les enfants dans des structures officielles mettent en lumière les actes ignobles de leurs bourreaux mais aussi les manques ou égarements dans la prise en charge des enfants dans nos sociétés. C'est aussi la parole des dominés, des faibles qui est mise en avant alors qu'elle a pu et peut encore être niée. Sur cette thématique, on peut évoquer des oeuvres comme les films Sleepers ou The Magdalene sisters, le récit graphique "Payer la terre" de Joe SACCO sur les populations autochtones du Canada. Ce dernier récit rejoint la question raciale traité par Colson Whitehead et cette somme de destins brisés, cette somme de destins "privés du simple plaisir d'être ordinaires" Au delà des situations les plus dures et les plus cruelles, la question de la prise en charge des enfants en difficultés sociales est bien d'une continuelle importance. Colson Whitehead aborde tout cela sans faire dans le roman noir ni dans le roman à sensation, en reprenant des mots de résistance et de paix de Martin Luther King et en les interrogeant. Il ne donne pas forcément dans le détail des violences subies et sait les évoquer sans en rajouter. Mais Nickel Boys n'a, à mon goût, pas la force de Underground Railroad. C'est un bon livre, bien écrit, nécessaire mais moins flamboyant.
Un coup de massue littéraire
Dans les années soixante, en pleine Amérique ségrégationniste, une erreur judiciaire vient stopper net les projets d’études universitaires du jeune Elwood Curtis, en l’envoyant dans une maison de redressement pour mineurs, la Nickel Academy. Derrière la respectable façade de cet établissement de Floride, ont lieu de tels sévices qu’ils ne cessent d’étendre le cimetière proche, tandis qu’une corruption généralisée s’élargit à la population alentour, ravie de profiter d’une main d’oeuvre gratuite et du détournement des vivres censés alimenter les enfants. Le sort des jeunes Noirs y est le pire de tous… L’auteur s’est inspiré de la véritable Dozier School for Boys, en Floride, qui, pendant ses 111 ans de fonctionnement, malgré les inspections régulières, et jusqu’à sa fermeture en 2011 seulement, usa sur ses pensionnaires des châtiments corporels, du viol, de la torture et du meurtre pur et simple. La majorité des garçons s’y retrouvaient « pour des infractions sans gravité – des délits vagues, inexplicables. Certains étaient orphelins, pupilles d’un Etat qui n’avait pas d’autre endroit où les caser ». L’arbitraire touchait particulièrement les Noirs. A l’époque de ce récit, ne suffisait-il pas de rester sur le même trottoir qu’un Blanc pour se retrouver condamné au motif de « contact présomptueux » ? Avec une lucidité calme, le texte raconte les vies noires américaines à jamais brisées, le terrible joug d’une soumission intégrée au fil des générations comme la seule stratégie de survie, et le dérisoire des croyances au changement cruellement mises en perspective au travers d’extraits des optimistes discours de Martin Luther King. Le magistral twist final plaide pour la nécessité d’abandonner toute illusion et d’oser dire non, trouvant d’ailleurs un très sonore écho dans les récentes explosions de colère aux Etats-Unis. Ce roman qui vaut à Colson Whitehead son second prix Pulitzer, à l’instar d’un Faulkner ou d’un Updike, est un terrible coup de massue littéraire, une lecture essentielle pour comprendre l’effroyable héritage qui continue à meurtrir toute l’Amérique. Coup de coeur.
Dans les années soixante, en pleine Amérique ségrégationniste, une erreur judiciaire vient stopper net les projets d’études universitaires du jeune Elwood Curtis, en l’envoyant dans une maison de redressement pour mineurs, la Nickel Academy. Derrière la respectable façade de cet établissement de Floride, ont lieu de tels sévices qu’ils ne cessent d’étendre le cimetière proche, tandis qu’une corruption généralisée s’élargit à la population alentour, ravie de profiter d’une main d’oeuvre gratuite et du détournement des vivres censés alimenter les enfants. Le sort des jeunes Noirs y est le pire de tous… L’auteur s’est inspiré de la véritable Dozier School for Boys, en Floride, qui, pendant ses 111 ans de fonctionnement, malgré les inspections régulières, et jusqu’à sa fermeture en 2011 seulement, usa sur ses pensionnaires des châtiments corporels, du viol, de la torture et du meurtre pur et simple. La majorité des garçons s’y retrouvaient « pour des infractions sans gravité – des délits vagues, inexplicables. Certains étaient orphelins, pupilles d’un Etat qui n’avait pas d’autre endroit où les caser ». L’arbitraire touchait particulièrement les Noirs. A l’époque de ce récit, ne suffisait-il pas de rester sur le même trottoir qu’un Blanc pour se retrouver condamné au motif de « contact présomptueux » ? Avec une lucidité calme, le texte raconte les vies noires américaines à jamais brisées, le terrible joug d’une soumission intégrée au fil des générations comme la seule stratégie de survie, et le dérisoire des croyances au changement cruellement mises en perspective au travers d’extraits des optimistes discours de Martin Luther King. Le magistral twist final plaide pour la nécessité d’abandonner toute illusion et d’oser dire non, trouvant d’ailleurs un très sonore écho dans les récentes explosions de colère aux Etats-Unis. Ce roman qui vaut à Colson Whitehead son second prix Pulitzer, à l’instar d’un Faulkner ou d’un Updike, est un terrible coup de massue littéraire, une lecture essentielle pour comprendre l’effroyable héritage qui continue à meurtrir toute l’Amérique. Coup de coeur.
Déchirant
Ce roman bouleverse, noue les gorges. Si les deux premiers tiers se rapprochent d'un roman d'apprentissage victorien auquel une dimension raciale déchirante se serait ajoutée, la dernière partie achève de choquer et de faire monter les larmes - parce que Colson Whitehead accomplit son devoir de mémoire – ou plutôt de révélation, sans pathos ni violence excessive (plus d'infos : https://pamolico.wordpress.com/2020/08/25/nickel-boys-colson-whitehead/)
Ce roman bouleverse, noue les gorges. Si les deux premiers tiers se rapprochent d'un roman d'apprentissage victorien auquel une dimension raciale déchirante se serait ajoutée, la dernière partie achève de choquer et de faire monter les larmes - parce que Colson Whitehead accomplit son devoir de mémoire – ou plutôt de révélation, sans pathos ni violence excessive (plus d'infos : https://pamolico.wordpress.com/2020/08/25/nickel-boys-colson-whitehead/)
  • Amérique
  • amitié
  • racisme
  • prison
  • Floride
  • ségrégation
Harlem Shuffle
4/5
3/5
Colson Whitehead
Poche
9,40 €
Harlem Shuffle
4/5
3/5
Colson Whitehead
E-book
5,49 €
La règle du crime
Colson Whitehead
E-book
15,99 €
Nickel Boys
5/5
4.2/5
Colson Whitehead
Poche
8,40 €
Underground Railroad
5/5
4.3/5
Colson Whitehead
E-book
9,49 €
Harlem shuffle
4/5
3/5
Colson Whitehead
Grand Format
22,90 €
Crook Manifesto
Colson Whitehead
E-book
10,99 €
Crook Manifesto
Colson Whitehead
Grand Format
15,40 €
The Nickel Boys
Colson Whitehead
E-book
6,49 €
The Nickel Boys
5/5
Colson Whitehead
Poche
15,40 €
Harlem Shuffle
Colson Whitehead
Grand Format
14,80 €
L'Intuitionniste
3.3/5
Colson Whitehead
E-book
15,99 €
The Underground Railroad
Colson Whitehead
E-book
8,99 €
L'Intuitionniste
3.3/5
Colson Whitehead
Grand Format
22,90 €