Nature et poésie au Moyen Âge
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- Nombre de pages286
- FormatePub
- ISBN2-213-65615-0
- EAN9782213656151
- Date de parution19/04/2006
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille280 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
Le Moyen Âge est habité par une représentation de la nature inspirée de la mythologie et de la pensée antiques comme de la Genèse biblique et du dogme chrétien. La nature, ouvrière du Créateur, ordonne le chaos et lui impose sa loi. Cette représentation n'alimente pas seulement des spéculations abstraites, mais aussi une poésie luxuriante et saisissante, nourrie de l'émerveillement et de la peur qui habitent toute créature humaine face à la nature.
Nourrie aussi du désir, puisque la loi de la nature est celle de la génération. Au seuil de toute chanson d'amour, le poète célèbre le renouveau printanier. Mais cette nature, cette nature des choses, cette belle nature, cette nature poétique, comment en préciser les sens multiples, comment les confronter à notre idée de la nature et de la poésie ? Quel fil sinueux relie Boèce aux troubadours ou au Roman de la Rose ? Le printemps et le chant des oiseaux qui ravissent les poètes médiévaux sont-ils les mêmes que ceux des romantiques ?L'enquête de Michel Zink, aussi passionnante qu'éblouissante par son aisance et par son érudition, initie le lecteur d'aujourd'hui à un univers qu'il aurait pu croire à tout jamais fermé à sa compréhension.
Nourrie aussi du désir, puisque la loi de la nature est celle de la génération. Au seuil de toute chanson d'amour, le poète célèbre le renouveau printanier. Mais cette nature, cette nature des choses, cette belle nature, cette nature poétique, comment en préciser les sens multiples, comment les confronter à notre idée de la nature et de la poésie ? Quel fil sinueux relie Boèce aux troubadours ou au Roman de la Rose ? Le printemps et le chant des oiseaux qui ravissent les poètes médiévaux sont-ils les mêmes que ceux des romantiques ?L'enquête de Michel Zink, aussi passionnante qu'éblouissante par son aisance et par son érudition, initie le lecteur d'aujourd'hui à un univers qu'il aurait pu croire à tout jamais fermé à sa compréhension.
Le Moyen Âge est habité par une représentation de la nature inspirée de la mythologie et de la pensée antiques comme de la Genèse biblique et du dogme chrétien. La nature, ouvrière du Créateur, ordonne le chaos et lui impose sa loi. Cette représentation n'alimente pas seulement des spéculations abstraites, mais aussi une poésie luxuriante et saisissante, nourrie de l'émerveillement et de la peur qui habitent toute créature humaine face à la nature.
Nourrie aussi du désir, puisque la loi de la nature est celle de la génération. Au seuil de toute chanson d'amour, le poète célèbre le renouveau printanier. Mais cette nature, cette nature des choses, cette belle nature, cette nature poétique, comment en préciser les sens multiples, comment les confronter à notre idée de la nature et de la poésie ? Quel fil sinueux relie Boèce aux troubadours ou au Roman de la Rose ? Le printemps et le chant des oiseaux qui ravissent les poètes médiévaux sont-ils les mêmes que ceux des romantiques ?L'enquête de Michel Zink, aussi passionnante qu'éblouissante par son aisance et par son érudition, initie le lecteur d'aujourd'hui à un univers qu'il aurait pu croire à tout jamais fermé à sa compréhension.
Nourrie aussi du désir, puisque la loi de la nature est celle de la génération. Au seuil de toute chanson d'amour, le poète célèbre le renouveau printanier. Mais cette nature, cette nature des choses, cette belle nature, cette nature poétique, comment en préciser les sens multiples, comment les confronter à notre idée de la nature et de la poésie ? Quel fil sinueux relie Boèce aux troubadours ou au Roman de la Rose ? Le printemps et le chant des oiseaux qui ravissent les poètes médiévaux sont-ils les mêmes que ceux des romantiques ?L'enquête de Michel Zink, aussi passionnante qu'éblouissante par son aisance et par son érudition, initie le lecteur d'aujourd'hui à un univers qu'il aurait pu croire à tout jamais fermé à sa compréhension.