Monnaies, médailles et histoire en Lorraine

Par : Jean-Paul Poirot
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  • Nombre de pages414
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-44629-8
  • EAN9782296446298
  • Date de parution01/12/2010
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille21 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Cet ouvrage s'organise autour de la suite de médailles gravées par Ferdinand et Augustin de Saint-Urbain représentant les portraits des ducs et duchesses de la " Maison royale de Lorraine " en place durant sept siècles (1048-1737) et de son livre d'explications du Révérend Père Dom Augustin Calmet, abbé de Senones. Cette manifestation d'attachement de la population lorraine à ses souverains paraît en 1736, au moment de l'expulsion de la famille ducale, suite au règlement de la succession de Pologne opposant le royaume de France au Saint Empire romain germanique.
Dernière pièce lorraine en circulation, le " masson ", alors d'un pouvoir libératoire de 9 sous 6 deniers, est décrié le 21 juillet 1768 ; c'est un témoin émouvant de cette fin de l'indépendance lorraine : le 23 février 1766, à la mort du roi Stanislas Leszczynski, le duché est officiellement annexé et rejoint dans le giron français les " Trois Evêchés " (Metz, Toul et Verdun) occupés depuis 1552 et officiellement annexés depuis 1648.
La suite des portraits des ducs et duchesses gravés dans les années 1730 est utilisée comme fil conducteur d'une présentation des monnaies et médailles encore disponibles aujourd'hui dans le commerce, et susceptibles d'illustrer l'histoire de la région. Le propos est étendu aux périodes antérieures et aux périodes postérieures à celle des ducs héréditaires de la " Maison royale de Lorraine ", d'une part alors que le duché de Lorraine n'existait pas encore comme tel, son territoire étant celui des Leuques, puis une partie de la " Belgique première " romaine, puis de l'Austrasie, et d'autre part une fois le duché de Lorraine officiellement annexé, formant d'abord une généralité du royaume de France, puis, mêlé aux Trois Evêchés, un territoire découpé en quatre départements, récemment regroupés en région Lorraine.
Cette dernière partie concerne essentiellement les substituts monétaires émis lors des conflits armés des XIXe et XXe siècles.
Cet ouvrage s'organise autour de la suite de médailles gravées par Ferdinand et Augustin de Saint-Urbain représentant les portraits des ducs et duchesses de la " Maison royale de Lorraine " en place durant sept siècles (1048-1737) et de son livre d'explications du Révérend Père Dom Augustin Calmet, abbé de Senones. Cette manifestation d'attachement de la population lorraine à ses souverains paraît en 1736, au moment de l'expulsion de la famille ducale, suite au règlement de la succession de Pologne opposant le royaume de France au Saint Empire romain germanique.
Dernière pièce lorraine en circulation, le " masson ", alors d'un pouvoir libératoire de 9 sous 6 deniers, est décrié le 21 juillet 1768 ; c'est un témoin émouvant de cette fin de l'indépendance lorraine : le 23 février 1766, à la mort du roi Stanislas Leszczynski, le duché est officiellement annexé et rejoint dans le giron français les " Trois Evêchés " (Metz, Toul et Verdun) occupés depuis 1552 et officiellement annexés depuis 1648.
La suite des portraits des ducs et duchesses gravés dans les années 1730 est utilisée comme fil conducteur d'une présentation des monnaies et médailles encore disponibles aujourd'hui dans le commerce, et susceptibles d'illustrer l'histoire de la région. Le propos est étendu aux périodes antérieures et aux périodes postérieures à celle des ducs héréditaires de la " Maison royale de Lorraine ", d'une part alors que le duché de Lorraine n'existait pas encore comme tel, son territoire étant celui des Leuques, puis une partie de la " Belgique première " romaine, puis de l'Austrasie, et d'autre part une fois le duché de Lorraine officiellement annexé, formant d'abord une généralité du royaume de France, puis, mêlé aux Trois Evêchés, un territoire découpé en quatre départements, récemment regroupés en région Lorraine.
Cette dernière partie concerne essentiellement les substituts monétaires émis lors des conflits armés des XIXe et XXe siècles.