Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée
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- Nombre de pages288
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19613-1
- EAN9782296196131
- Date de parution01/04/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMohamed Sahnoun
Résumé
Depuis la fin de la bipolarisation du monde et le début de la seconde mondialisation, les migrations s'intensifient en suivant la logique de la première mondialisation. Ces mouvements prouvent que les motifs pour lesquels les individus émigrent n'ont pas beaucoup changé. Si jusqu'à la fin des années 60, ce sont les ressortissants des pays du Nord et les Asiatiques qui émigraient, le phénomène migratoire a changé au tournant des années 80 et, depuis le début de ce XXIe siècle, les migrations sont devenues un enjeu majeur.
C'est en trouvant de bonnes réponses aux causes qui sont à l'origine de l'immigration, comme le transfert des technologies, la libre-circulation du savoir (cerveaux), le codéveloppement, la coopération décentralisée et la création d'emplois décents dans les pays du tiers monde, qu'on arrivera à résoudre le problème, mais pas en sanctionnant ni en excluant les immigrés. Restés habitants des colonies jusqu'à la fin des années 60, les Africains au sud du Sahara se sont inscrits très tardivement dans la dynamique des migrations internationales qui ont commencé longtemps avant eux.
En se fondant sur le droit et sur l'éthique, n'est-il pas absurde de refuser à ceux-ci ce que ceux-là ont pratiqué pendant plusieurs décennies ?
C'est en trouvant de bonnes réponses aux causes qui sont à l'origine de l'immigration, comme le transfert des technologies, la libre-circulation du savoir (cerveaux), le codéveloppement, la coopération décentralisée et la création d'emplois décents dans les pays du tiers monde, qu'on arrivera à résoudre le problème, mais pas en sanctionnant ni en excluant les immigrés. Restés habitants des colonies jusqu'à la fin des années 60, les Africains au sud du Sahara se sont inscrits très tardivement dans la dynamique des migrations internationales qui ont commencé longtemps avant eux.
En se fondant sur le droit et sur l'éthique, n'est-il pas absurde de refuser à ceux-ci ce que ceux-là ont pratiqué pendant plusieurs décennies ?
Depuis la fin de la bipolarisation du monde et le début de la seconde mondialisation, les migrations s'intensifient en suivant la logique de la première mondialisation. Ces mouvements prouvent que les motifs pour lesquels les individus émigrent n'ont pas beaucoup changé. Si jusqu'à la fin des années 60, ce sont les ressortissants des pays du Nord et les Asiatiques qui émigraient, le phénomène migratoire a changé au tournant des années 80 et, depuis le début de ce XXIe siècle, les migrations sont devenues un enjeu majeur.
C'est en trouvant de bonnes réponses aux causes qui sont à l'origine de l'immigration, comme le transfert des technologies, la libre-circulation du savoir (cerveaux), le codéveloppement, la coopération décentralisée et la création d'emplois décents dans les pays du tiers monde, qu'on arrivera à résoudre le problème, mais pas en sanctionnant ni en excluant les immigrés. Restés habitants des colonies jusqu'à la fin des années 60, les Africains au sud du Sahara se sont inscrits très tardivement dans la dynamique des migrations internationales qui ont commencé longtemps avant eux.
En se fondant sur le droit et sur l'éthique, n'est-il pas absurde de refuser à ceux-ci ce que ceux-là ont pratiqué pendant plusieurs décennies ?
C'est en trouvant de bonnes réponses aux causes qui sont à l'origine de l'immigration, comme le transfert des technologies, la libre-circulation du savoir (cerveaux), le codéveloppement, la coopération décentralisée et la création d'emplois décents dans les pays du tiers monde, qu'on arrivera à résoudre le problème, mais pas en sanctionnant ni en excluant les immigrés. Restés habitants des colonies jusqu'à la fin des années 60, les Africains au sud du Sahara se sont inscrits très tardivement dans la dynamique des migrations internationales qui ont commencé longtemps avant eux.
En se fondant sur le droit et sur l'éthique, n'est-il pas absurde de refuser à ceux-ci ce que ceux-là ont pratiqué pendant plusieurs décennies ?