Mémoires du Maréchal Galliéni. La défense de Paris (25 août - 11 septembre 1914)
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-36878-196-8
- EAN9782368781968
- Date de parution21/09/2018
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLes Editions Blanche de Peuterey
Résumé
Nous sommes au commencement de la guerre 14-18. L'ordre de mobilisation générale a été donné en France début août, et trois semaines plus tard, les forces allemandes sont aux portes de Paris. Joffre est commandant en chef des forces françaises, et le Général Galliéni est nommé gouverneur militaire de Paris le 26 août 14. En toute logique, Galliéni était à la retraite depuis le mois d'avril.
Très rapidement, il constate que la défense de la capitale a été gravement négligée : rien n'est prêt pour faire face à un assaut ou un siège de la part des allemands.
Le gouvernement quitte la capitale. Commence alors pour Galliéni une véritable course-poursuite. Il avance à marche forcée, réclame des troupes, réorganise l'État Major, positionne les défenses, accélère la protection de la capitale. Car les troupes allemandes sont en train d'arriver, et Paris ne pourra pas soutenir un siège semblable à celui de 1870. C'est alors qu'il se rend compte que le général allemand met en place une stratégie classique : contourner l'armée française afin de l'éliminer définitivement.
Pour ce faire, il a négligé les faibles troupes en présence dans la capitale, et présente son arrière flanc sans défense. Galliéni décide de profiter de cette erreur, et contre l'avis général de replis ordonné par Joffre, il convainc le général en chef de changer de stratégie, puis réquisitionne des taxis pour transporter des troupes vers l'est de Paris. Les forces allemandes sont attaquées par l'arrière, et le général allemand doit modifier ses plans, abandonner sa tentative de contournement, pour se replier.
Pour la première fois depuis le début de la guerre, les allemands reculent. Les français et les anglais se préparent à ce qui sera la bataille de l'Ourcq, puis la bataille de la Marne. Nous avons là le récit du général Galliéni lui-même. Il raconte sans concession la situation telle qu'il l'a trouvée, et certains commentaires personnels de Galliéni nous font penser qu'il n'ignore pas les insuffisances gouvernementales, et mêmes parfois militaires.
Cette vision de la défense de Paris demanderait peut-être à être complétée par les mémoires de Joffre, par exemple, pour connaître son point de vue. On est néanmoins frappé par la détermination, le sens de l'organisation, les décisions, l'implication et le dévouement de Galliéni pendant ses quelques jours. Et comme le dira Clémenceau à la fin de la guerre, « Sans Galliéni, la victoire eût été impossible »
Le gouvernement quitte la capitale. Commence alors pour Galliéni une véritable course-poursuite. Il avance à marche forcée, réclame des troupes, réorganise l'État Major, positionne les défenses, accélère la protection de la capitale. Car les troupes allemandes sont en train d'arriver, et Paris ne pourra pas soutenir un siège semblable à celui de 1870. C'est alors qu'il se rend compte que le général allemand met en place une stratégie classique : contourner l'armée française afin de l'éliminer définitivement.
Pour ce faire, il a négligé les faibles troupes en présence dans la capitale, et présente son arrière flanc sans défense. Galliéni décide de profiter de cette erreur, et contre l'avis général de replis ordonné par Joffre, il convainc le général en chef de changer de stratégie, puis réquisitionne des taxis pour transporter des troupes vers l'est de Paris. Les forces allemandes sont attaquées par l'arrière, et le général allemand doit modifier ses plans, abandonner sa tentative de contournement, pour se replier.
Pour la première fois depuis le début de la guerre, les allemands reculent. Les français et les anglais se préparent à ce qui sera la bataille de l'Ourcq, puis la bataille de la Marne. Nous avons là le récit du général Galliéni lui-même. Il raconte sans concession la situation telle qu'il l'a trouvée, et certains commentaires personnels de Galliéni nous font penser qu'il n'ignore pas les insuffisances gouvernementales, et mêmes parfois militaires.
Cette vision de la défense de Paris demanderait peut-être à être complétée par les mémoires de Joffre, par exemple, pour connaître son point de vue. On est néanmoins frappé par la détermination, le sens de l'organisation, les décisions, l'implication et le dévouement de Galliéni pendant ses quelques jours. Et comme le dira Clémenceau à la fin de la guerre, « Sans Galliéni, la victoire eût été impossible »
Nous sommes au commencement de la guerre 14-18. L'ordre de mobilisation générale a été donné en France début août, et trois semaines plus tard, les forces allemandes sont aux portes de Paris. Joffre est commandant en chef des forces françaises, et le Général Galliéni est nommé gouverneur militaire de Paris le 26 août 14. En toute logique, Galliéni était à la retraite depuis le mois d'avril.
Très rapidement, il constate que la défense de la capitale a été gravement négligée : rien n'est prêt pour faire face à un assaut ou un siège de la part des allemands.
Le gouvernement quitte la capitale. Commence alors pour Galliéni une véritable course-poursuite. Il avance à marche forcée, réclame des troupes, réorganise l'État Major, positionne les défenses, accélère la protection de la capitale. Car les troupes allemandes sont en train d'arriver, et Paris ne pourra pas soutenir un siège semblable à celui de 1870. C'est alors qu'il se rend compte que le général allemand met en place une stratégie classique : contourner l'armée française afin de l'éliminer définitivement.
Pour ce faire, il a négligé les faibles troupes en présence dans la capitale, et présente son arrière flanc sans défense. Galliéni décide de profiter de cette erreur, et contre l'avis général de replis ordonné par Joffre, il convainc le général en chef de changer de stratégie, puis réquisitionne des taxis pour transporter des troupes vers l'est de Paris. Les forces allemandes sont attaquées par l'arrière, et le général allemand doit modifier ses plans, abandonner sa tentative de contournement, pour se replier.
Pour la première fois depuis le début de la guerre, les allemands reculent. Les français et les anglais se préparent à ce qui sera la bataille de l'Ourcq, puis la bataille de la Marne. Nous avons là le récit du général Galliéni lui-même. Il raconte sans concession la situation telle qu'il l'a trouvée, et certains commentaires personnels de Galliéni nous font penser qu'il n'ignore pas les insuffisances gouvernementales, et mêmes parfois militaires.
Cette vision de la défense de Paris demanderait peut-être à être complétée par les mémoires de Joffre, par exemple, pour connaître son point de vue. On est néanmoins frappé par la détermination, le sens de l'organisation, les décisions, l'implication et le dévouement de Galliéni pendant ses quelques jours. Et comme le dira Clémenceau à la fin de la guerre, « Sans Galliéni, la victoire eût été impossible »
Le gouvernement quitte la capitale. Commence alors pour Galliéni une véritable course-poursuite. Il avance à marche forcée, réclame des troupes, réorganise l'État Major, positionne les défenses, accélère la protection de la capitale. Car les troupes allemandes sont en train d'arriver, et Paris ne pourra pas soutenir un siège semblable à celui de 1870. C'est alors qu'il se rend compte que le général allemand met en place une stratégie classique : contourner l'armée française afin de l'éliminer définitivement.
Pour ce faire, il a négligé les faibles troupes en présence dans la capitale, et présente son arrière flanc sans défense. Galliéni décide de profiter de cette erreur, et contre l'avis général de replis ordonné par Joffre, il convainc le général en chef de changer de stratégie, puis réquisitionne des taxis pour transporter des troupes vers l'est de Paris. Les forces allemandes sont attaquées par l'arrière, et le général allemand doit modifier ses plans, abandonner sa tentative de contournement, pour se replier.
Pour la première fois depuis le début de la guerre, les allemands reculent. Les français et les anglais se préparent à ce qui sera la bataille de l'Ourcq, puis la bataille de la Marne. Nous avons là le récit du général Galliéni lui-même. Il raconte sans concession la situation telle qu'il l'a trouvée, et certains commentaires personnels de Galliéni nous font penser qu'il n'ignore pas les insuffisances gouvernementales, et mêmes parfois militaires.
Cette vision de la défense de Paris demanderait peut-être à être complétée par les mémoires de Joffre, par exemple, pour connaître son point de vue. On est néanmoins frappé par la détermination, le sens de l'organisation, les décisions, l'implication et le dévouement de Galliéni pendant ses quelques jours. Et comme le dira Clémenceau à la fin de la guerre, « Sans Galliéni, la victoire eût été impossible »