Marine et éducation sous l'Ancien Régime

Par : Michel Vergé-Franceschi, Jean Meyer

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages496
  • FormatePub
  • ISBN2-271-10621-4
  • EAN9782271106216
  • Date de parution01/01/1991
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille150 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCNRS

Résumé

Instruits par leurs familles, les marins du XVIe siècle sont des aventuriers. Richelieu, Colbert puis Seignelay les acheminent vers un métier qui s'apprend et dont la formation est prise en charge par l'État. Le corps des officiers de vaisseau du Roi passe alors sensiblement du statut de « gros mariniers nourris dans l'eau de mer et la bouteille » (Richelieu), à celui de « chevaliers frisés ». Au XVIIIe siècle, les officiers « savants » prennent naissance dans les trois compagnies de gardes de la marine de Toulon, Brest et Rochefort.
Mais les malheurs de la guerre de Sept Ans font naître dans le royaume la contestation d'un système qui apprend les mathématiques aux marins mais semble leur avoir ôté l'ardeur combative qui assurait leurs succès aux Duquesne, Bart et Duguay-Trouin. De la guerre de Hollande à la mort de Suffren, Messieurs les gardes forment la pépinière du corps des officiers de la marine de guerre, tantôt indisciplinée et turbulente, tantôt studieuse et « savante », continuellement partagée entre le désir de combattre et l'obligation de s'instruire,
Instruits par leurs familles, les marins du XVIe siècle sont des aventuriers. Richelieu, Colbert puis Seignelay les acheminent vers un métier qui s'apprend et dont la formation est prise en charge par l'État. Le corps des officiers de vaisseau du Roi passe alors sensiblement du statut de « gros mariniers nourris dans l'eau de mer et la bouteille » (Richelieu), à celui de « chevaliers frisés ». Au XVIIIe siècle, les officiers « savants » prennent naissance dans les trois compagnies de gardes de la marine de Toulon, Brest et Rochefort.
Mais les malheurs de la guerre de Sept Ans font naître dans le royaume la contestation d'un système qui apprend les mathématiques aux marins mais semble leur avoir ôté l'ardeur combative qui assurait leurs succès aux Duquesne, Bart et Duguay-Trouin. De la guerre de Hollande à la mort de Suffren, Messieurs les gardes forment la pépinière du corps des officiers de la marine de guerre, tantôt indisciplinée et turbulente, tantôt studieuse et « savante », continuellement partagée entre le désir de combattre et l'obligation de s'instruire,
Les marins du Roi-Soleil
Michel Vergé-Franceschi, André Zysberg, Marie-Christine Varachaud
Grand Format
24,00 €
Les marins du Roi-Soleil
Michel Vergé-Franceschi, André Zysberg, Marie-Christine Varachaud
E-book
16,99 €