Manman D'lo et autres contes des Antilles. Edition bilingue français - créole
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- Nombre de pages110
- FormatPDF
- ISBN2-296-35819-5
- EAN9782296358195
- Date de parution01/02/1998
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurJeunesse l'Harmattan
- IllustrateurAnne-Sophie Fiévet
Résumé
" Voilà ce qui arriva une fois à mon grand-père. La Manman d'lo le laissa approcher, assise sur une vague de dix mètres. Quand elle passa juste au-dessous de l'étoile la plus brillante, grand-père vit qu'elle était belle comme la lune. La Manman d'lo lui souriait de ses dents éclatantes. Ses longs cheveux ondulaient autant, sinon plus, que les vagues mouvantes qui viennent mourir sur la plage. Elle semblait avoir la peau brune des capresses d'ici.
"... Le conte antillais appartient au patrimoine universel. Il s'apparente à une terre tenue dans l'indivision par la volonté des ancêtres. Il ne s'agit pas de le morceler en mille petites poussières. Il revient à tous et à chacun d'y planter un arbre, rajoutant du même coup quelque chose à l'humanité.
"... Le conte antillais appartient au patrimoine universel. Il s'apparente à une terre tenue dans l'indivision par la volonté des ancêtres. Il ne s'agit pas de le morceler en mille petites poussières. Il revient à tous et à chacun d'y planter un arbre, rajoutant du même coup quelque chose à l'humanité.
" Voilà ce qui arriva une fois à mon grand-père. La Manman d'lo le laissa approcher, assise sur une vague de dix mètres. Quand elle passa juste au-dessous de l'étoile la plus brillante, grand-père vit qu'elle était belle comme la lune. La Manman d'lo lui souriait de ses dents éclatantes. Ses longs cheveux ondulaient autant, sinon plus, que les vagues mouvantes qui viennent mourir sur la plage. Elle semblait avoir la peau brune des capresses d'ici.
"... Le conte antillais appartient au patrimoine universel. Il s'apparente à une terre tenue dans l'indivision par la volonté des ancêtres. Il ne s'agit pas de le morceler en mille petites poussières. Il revient à tous et à chacun d'y planter un arbre, rajoutant du même coup quelque chose à l'humanité.
"... Le conte antillais appartient au patrimoine universel. Il s'apparente à une terre tenue dans l'indivision par la volonté des ancêtres. Il ne s'agit pas de le morceler en mille petites poussières. Il revient à tous et à chacun d'y planter un arbre, rajoutant du même coup quelque chose à l'humanité.






