Les Oripaux des Ados. La nouvelle condition subjective des jeunes
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- Nombre de pages178
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45860-4
- EAN9782296458604
- Date de parution01/05/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Il y a toujours quelque chose de singulièrement subversif lorsqu'il s'agit de faire entendre la parole des enfants hors normes et hors la Loi ; c'est-à-dire celle de ces jeunes itinérants et de gangs de rue que l'on appelle des voyous. L'anthropologue québécoise Louise Tassé raconte ici pourquoi et comment leur posture subversive se loge bien au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de leur délinquance.
Ces enfants se sont bannis eux-mêmes au sens où ils ont refusé d'occuper quelle place que ce soit parce qu'on ne leur a donné aucun moyen de se référer à la place d'exception ou d'extériorité - à ce lieu du tiers -, qui leur donnerait accès à la symbolique de leur inscription dans leur lignée familiale et dans leur communauté d'appartenance. Les jeunes qui témoignent ici ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte du manque qu'on les oblige à accepter sans leur donner accès à l'idée de la négativité qui les constitue comme sujet.
En écho à cette parole des jeunes égarés dans le pas de place, des intervenants et des jeunes fréquentant des écoles secondaires et des Maisons de jeunes ont été invités à exprimer le malaise qu'ils ressentaient face à ceux que l'on appelle des voyous.
Ces enfants se sont bannis eux-mêmes au sens où ils ont refusé d'occuper quelle place que ce soit parce qu'on ne leur a donné aucun moyen de se référer à la place d'exception ou d'extériorité - à ce lieu du tiers -, qui leur donnerait accès à la symbolique de leur inscription dans leur lignée familiale et dans leur communauté d'appartenance. Les jeunes qui témoignent ici ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte du manque qu'on les oblige à accepter sans leur donner accès à l'idée de la négativité qui les constitue comme sujet.
En écho à cette parole des jeunes égarés dans le pas de place, des intervenants et des jeunes fréquentant des écoles secondaires et des Maisons de jeunes ont été invités à exprimer le malaise qu'ils ressentaient face à ceux que l'on appelle des voyous.
Il y a toujours quelque chose de singulièrement subversif lorsqu'il s'agit de faire entendre la parole des enfants hors normes et hors la Loi ; c'est-à-dire celle de ces jeunes itinérants et de gangs de rue que l'on appelle des voyous. L'anthropologue québécoise Louise Tassé raconte ici pourquoi et comment leur posture subversive se loge bien au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de leur délinquance.
Ces enfants se sont bannis eux-mêmes au sens où ils ont refusé d'occuper quelle place que ce soit parce qu'on ne leur a donné aucun moyen de se référer à la place d'exception ou d'extériorité - à ce lieu du tiers -, qui leur donnerait accès à la symbolique de leur inscription dans leur lignée familiale et dans leur communauté d'appartenance. Les jeunes qui témoignent ici ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte du manque qu'on les oblige à accepter sans leur donner accès à l'idée de la négativité qui les constitue comme sujet.
En écho à cette parole des jeunes égarés dans le pas de place, des intervenants et des jeunes fréquentant des écoles secondaires et des Maisons de jeunes ont été invités à exprimer le malaise qu'ils ressentaient face à ceux que l'on appelle des voyous.
Ces enfants se sont bannis eux-mêmes au sens où ils ont refusé d'occuper quelle place que ce soit parce qu'on ne leur a donné aucun moyen de se référer à la place d'exception ou d'extériorité - à ce lieu du tiers -, qui leur donnerait accès à la symbolique de leur inscription dans leur lignée familiale et dans leur communauté d'appartenance. Les jeunes qui témoignent ici ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte du manque qu'on les oblige à accepter sans leur donner accès à l'idée de la négativité qui les constitue comme sujet.
En écho à cette parole des jeunes égarés dans le pas de place, des intervenants et des jeunes fréquentant des écoles secondaires et des Maisons de jeunes ont été invités à exprimer le malaise qu'ils ressentaient face à ceux que l'on appelle des voyous.