Les internés du ghetto. Ethnographie des confrontations violentes dans une cité impopulaire
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages424
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25818-1
- EAN9782296258181
- Date de parution01/07/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierDidier Lapeyronnie
Résumé
Sans nier la réalité des phénomènes de décomposition sociale, politique et culturelle en oeuvre dans des zones urbaines périphériques en voie de ghettoïsation sociale et ethnique, ce livre rompt avec le traitement médiatique des quartiers populaires, oscillant sans cesse entre une description dramatisante des " banlieues " et de leurs habitants, sous l'emprise de " lois propres aux ghettos ", et une présentation " moralement correcte ", radicalement optimiste.
Grâce à la réalisation d'une enquête ethnographique et à la mobilisation d'une " sociologie des turbulences ", Manuel Boucher tente de comprendre la production et la régulation des phénomènes de violences dans une " cité ghetto " (la Cité des enfants perdus). Il analyse l'expérience sociale d'habitants qui font peur, notamment des jeunes considérés comme des " figures de désordre ". II nous montre comment ces jeunes développent des interactions frictionnelles, entretiennent des rapports paroxystiques et complexes avec des " forces de sécurisation " et des " pacificateurs indigènes ", c'est-à-dire, des acteurs institués et émergents d'encadrement des classes populaires.
En définitive, ce livre montre que les " internés du ghetto ", qu'ils soient " pacificateurs" ou " rebelles ", vivent tous de nouvelles épreuves de la domination mais réagissent et déploient également des stratégies individuelles et collectives pour sortir d'un processus de " réification réciproque "
Grâce à la réalisation d'une enquête ethnographique et à la mobilisation d'une " sociologie des turbulences ", Manuel Boucher tente de comprendre la production et la régulation des phénomènes de violences dans une " cité ghetto " (la Cité des enfants perdus). Il analyse l'expérience sociale d'habitants qui font peur, notamment des jeunes considérés comme des " figures de désordre ". II nous montre comment ces jeunes développent des interactions frictionnelles, entretiennent des rapports paroxystiques et complexes avec des " forces de sécurisation " et des " pacificateurs indigènes ", c'est-à-dire, des acteurs institués et émergents d'encadrement des classes populaires.
En définitive, ce livre montre que les " internés du ghetto ", qu'ils soient " pacificateurs" ou " rebelles ", vivent tous de nouvelles épreuves de la domination mais réagissent et déploient également des stratégies individuelles et collectives pour sortir d'un processus de " réification réciproque "
Sans nier la réalité des phénomènes de décomposition sociale, politique et culturelle en oeuvre dans des zones urbaines périphériques en voie de ghettoïsation sociale et ethnique, ce livre rompt avec le traitement médiatique des quartiers populaires, oscillant sans cesse entre une description dramatisante des " banlieues " et de leurs habitants, sous l'emprise de " lois propres aux ghettos ", et une présentation " moralement correcte ", radicalement optimiste.
Grâce à la réalisation d'une enquête ethnographique et à la mobilisation d'une " sociologie des turbulences ", Manuel Boucher tente de comprendre la production et la régulation des phénomènes de violences dans une " cité ghetto " (la Cité des enfants perdus). Il analyse l'expérience sociale d'habitants qui font peur, notamment des jeunes considérés comme des " figures de désordre ". II nous montre comment ces jeunes développent des interactions frictionnelles, entretiennent des rapports paroxystiques et complexes avec des " forces de sécurisation " et des " pacificateurs indigènes ", c'est-à-dire, des acteurs institués et émergents d'encadrement des classes populaires.
En définitive, ce livre montre que les " internés du ghetto ", qu'ils soient " pacificateurs" ou " rebelles ", vivent tous de nouvelles épreuves de la domination mais réagissent et déploient également des stratégies individuelles et collectives pour sortir d'un processus de " réification réciproque "
Grâce à la réalisation d'une enquête ethnographique et à la mobilisation d'une " sociologie des turbulences ", Manuel Boucher tente de comprendre la production et la régulation des phénomènes de violences dans une " cité ghetto " (la Cité des enfants perdus). Il analyse l'expérience sociale d'habitants qui font peur, notamment des jeunes considérés comme des " figures de désordre ". II nous montre comment ces jeunes développent des interactions frictionnelles, entretiennent des rapports paroxystiques et complexes avec des " forces de sécurisation " et des " pacificateurs indigènes ", c'est-à-dire, des acteurs institués et émergents d'encadrement des classes populaires.
En définitive, ce livre montre que les " internés du ghetto ", qu'ils soient " pacificateurs" ou " rebelles ", vivent tous de nouvelles épreuves de la domination mais réagissent et déploient également des stratégies individuelles et collectives pour sortir d'un processus de " réification réciproque "