Les dimensions émotionnelles du politique. Chemins de traverse avec Philippe Braud
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- Nombre de pages360
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-6262-2
- EAN9782753562622
- Date de parution17/06/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
Philippe Braud a marqué de son empreinte intellectuelle plusieurs générations d'étudiants dans les amphithéâtres rennais, de la Sorbonne ou plus récemment de l'Institut d'études politiques de Paris. Dans les cursus de droit, comme dans ceux de science politique, sa pédagogie décomplexée et son approche originale de la discipline ont bousculé les savoirs acquis et ouvert l'auditoire sur une face longtemps tue de la politique.
L'État, les partis, le vote, les phénomènes contestataires, les identités collectives sont toujours abordés bien sûr, mais au prisme de l'étude du symbolique comme levier pour parvenir à une sociologie des émotions cherchant systématiquement à dévoiler les ressorts invisibles, masqués ou ignorés, de l'exercice et de l'appréhension de la chose publique. Tel est en effet le credo de cet intellectuel iconoclaste, non maître à penser mais révélateur des impensés, non technicien mais savant curieux, plus intellectuel « touche à tout » que spécialiste austère : le politique est avec lui appréhendé par des chemins de traverse avec les outils du sociologue et non la boussole du psychologue.
Ce ne sont pas les âmes qui sont sondées mais les interactions et les logiques de situation, avec leur part de projections, d'ambitions et d'attentes affectives. Les articles réunis dans cet ouvrage, sous la plume d'anciens doctorants ou de compagnons intellectuels de Braud, cherchent tous à rendre un hommage parfois critique à celui qui, avec quelques autres, a cherché avant l'heure à légitimer dans le champ scientifique l'étude des contraintes affectuelles de la vie publique.
L'État, les partis, le vote, les phénomènes contestataires, les identités collectives sont toujours abordés bien sûr, mais au prisme de l'étude du symbolique comme levier pour parvenir à une sociologie des émotions cherchant systématiquement à dévoiler les ressorts invisibles, masqués ou ignorés, de l'exercice et de l'appréhension de la chose publique. Tel est en effet le credo de cet intellectuel iconoclaste, non maître à penser mais révélateur des impensés, non technicien mais savant curieux, plus intellectuel « touche à tout » que spécialiste austère : le politique est avec lui appréhendé par des chemins de traverse avec les outils du sociologue et non la boussole du psychologue.
Ce ne sont pas les âmes qui sont sondées mais les interactions et les logiques de situation, avec leur part de projections, d'ambitions et d'attentes affectives. Les articles réunis dans cet ouvrage, sous la plume d'anciens doctorants ou de compagnons intellectuels de Braud, cherchent tous à rendre un hommage parfois critique à celui qui, avec quelques autres, a cherché avant l'heure à légitimer dans le champ scientifique l'étude des contraintes affectuelles de la vie publique.
Philippe Braud a marqué de son empreinte intellectuelle plusieurs générations d'étudiants dans les amphithéâtres rennais, de la Sorbonne ou plus récemment de l'Institut d'études politiques de Paris. Dans les cursus de droit, comme dans ceux de science politique, sa pédagogie décomplexée et son approche originale de la discipline ont bousculé les savoirs acquis et ouvert l'auditoire sur une face longtemps tue de la politique.
L'État, les partis, le vote, les phénomènes contestataires, les identités collectives sont toujours abordés bien sûr, mais au prisme de l'étude du symbolique comme levier pour parvenir à une sociologie des émotions cherchant systématiquement à dévoiler les ressorts invisibles, masqués ou ignorés, de l'exercice et de l'appréhension de la chose publique. Tel est en effet le credo de cet intellectuel iconoclaste, non maître à penser mais révélateur des impensés, non technicien mais savant curieux, plus intellectuel « touche à tout » que spécialiste austère : le politique est avec lui appréhendé par des chemins de traverse avec les outils du sociologue et non la boussole du psychologue.
Ce ne sont pas les âmes qui sont sondées mais les interactions et les logiques de situation, avec leur part de projections, d'ambitions et d'attentes affectives. Les articles réunis dans cet ouvrage, sous la plume d'anciens doctorants ou de compagnons intellectuels de Braud, cherchent tous à rendre un hommage parfois critique à celui qui, avec quelques autres, a cherché avant l'heure à légitimer dans le champ scientifique l'étude des contraintes affectuelles de la vie publique.
L'État, les partis, le vote, les phénomènes contestataires, les identités collectives sont toujours abordés bien sûr, mais au prisme de l'étude du symbolique comme levier pour parvenir à une sociologie des émotions cherchant systématiquement à dévoiler les ressorts invisibles, masqués ou ignorés, de l'exercice et de l'appréhension de la chose publique. Tel est en effet le credo de cet intellectuel iconoclaste, non maître à penser mais révélateur des impensés, non technicien mais savant curieux, plus intellectuel « touche à tout » que spécialiste austère : le politique est avec lui appréhendé par des chemins de traverse avec les outils du sociologue et non la boussole du psychologue.
Ce ne sont pas les âmes qui sont sondées mais les interactions et les logiques de situation, avec leur part de projections, d'ambitions et d'attentes affectives. Les articles réunis dans cet ouvrage, sous la plume d'anciens doctorants ou de compagnons intellectuels de Braud, cherchent tous à rendre un hommage parfois critique à celui qui, avec quelques autres, a cherché avant l'heure à légitimer dans le champ scientifique l'étude des contraintes affectuelles de la vie publique.