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  • Nombre de pages288
  • FormatePub
  • ISBN2-234-06859-2
  • EAN9782234068599
  • Date de parution20/08/2003
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille269 Ko
  • ÉditeurStock

Résumé

Une jeune enfant est retrouvée morte, assassinée sur les berges engourdies par le gel d'un petit cours d'eau. Nous sommes en hiver 1917. C'est la Grande Guerre. La boucherie méthodique. On ne la voit jamais mais elle est là, comme un monstre caché. Que l'on tue des fillettes, ou que des hommes meurent par milliers, il n'est rien de plus tragiquement humain. Qui a tué Belle de Jour ? Le procureur, solitaire et glacé, le petit Breton déserteur, ou un maraudeur de passage ?Des années plus tard, le policier qui a mené l'enquête, raconte toutes ces vies interrompues : Belle de jour, Lysia l'institutrice, le médecin des pauvres mort de faim, le calvaire du petit Breton...
Il écrit avec maladresse, peur et respect. Lui aussi a son secret. Les âmes grises sont les personnages de ce roman, tout à la fois grands et méprisables. Des personnages d'une intensité douloureuse dans une société qui bascule, avec ses connivences de classe, ses lâchetés et ses hontes. La frontière entre le Bien et le Mal est au coeur de ce livre d'une tension dramatique qui saisit le lecteur dès les premières pages et ne faiblit jamais.
Jusqu'à la dernière ligne.
Une jeune enfant est retrouvée morte, assassinée sur les berges engourdies par le gel d'un petit cours d'eau. Nous sommes en hiver 1917. C'est la Grande Guerre. La boucherie méthodique. On ne la voit jamais mais elle est là, comme un monstre caché. Que l'on tue des fillettes, ou que des hommes meurent par milliers, il n'est rien de plus tragiquement humain. Qui a tué Belle de Jour ? Le procureur, solitaire et glacé, le petit Breton déserteur, ou un maraudeur de passage ?Des années plus tard, le policier qui a mené l'enquête, raconte toutes ces vies interrompues : Belle de jour, Lysia l'institutrice, le médecin des pauvres mort de faim, le calvaire du petit Breton...
Il écrit avec maladresse, peur et respect. Lui aussi a son secret. Les âmes grises sont les personnages de ce roman, tout à la fois grands et méprisables. Des personnages d'une intensité douloureuse dans une société qui bascule, avec ses connivences de classe, ses lâchetés et ses hontes. La frontière entre le Bien et le Mal est au coeur de ce livre d'une tension dramatique qui saisit le lecteur dès les premières pages et ne faiblit jamais.
Jusqu'à la dernière ligne.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Epoustouflant
L'histoire se passe durant la première guerre mondiale dans un village près de Verdun. Un meurtre est commis et les suspicions commencent. Une ambiance sombre et un très bon suspense.
L'histoire se passe durant la première guerre mondiale dans un village près de Verdun. Un meurtre est commis et les suspicions commencent. Une ambiance sombre et un très bon suspense.
  • Passionnant
  • Surprenant
  • Crispant

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.1/5
sur 47 notes dont 7 avis lecteurs
Les âmes grises
Voici un roman dont j'ai beaucoup entendu parlé il y a plusieurs années maintenant. Mais vous savez ce que c'est : on note un titre, un jour on l'achète, il prend la poussière avant que, mu par une envie subite, on le lise enfin. L'avantage de cette technique, c'est que les éloges des autres ne sont que de vagues réminiscences et qu'ainsi le lecteur n'est plus vraiment influencer. J'ai donc pu me faire mon propre avis, sans trop en attendre, et donner toute sa chance à ce roman. L'auteur, je le connaissais de nom, bien sûr. Mais c'est tout. Du coup, son écriture est d'autant plus frappante. Philippe Claudel utilise des mots simples mais justes pour décrire une ambiance de fin de siècle, voire de fin de monde et des êtres humains qui se débattent au milieu avec leurs sentiments. En prenant le parti d'un récit à la première personne, Claudel ajoute une touche de mystère. Son personnage narratif ne se découvre que petit à petit. On ne connait pas son nom, on devinera son âge, puis sa profession. L'Affaire, le meurtre de la petite Belle, dont il est question tout au long de ce roman, est bien plus un prétexte qu'une réelle question. En lisant le portrait de ce petit village où personne n'envisagerait de suspecter quelqu'un, le lecteur se rend compte que chacun est suspect, du procureur enfermé dans son Château, le maire pompeux, les autres notables, les militaires de passage en route vers le front... Au final, personne n'est ni bon ni mauvais, ni blanc ni noir, chacun porte en lui une part d'ombre, chacun est une âme grise. Du front, seuls les bruits des canons sont perceptibles. La majeure partie de la population, exemptée, tente de conserver le rythme de vie habituel, mais la guerre se rappelle à eux, par petites touches : le contingent de recrues envoyées au front, l’hôpital qui reçoit les blessés, l'instituteur qui perd la tête... Le drame qui se joue ne peut être mis de côté. De même, le narrateur a une parole hachée qui laisse transparaître un drame intime. Le lecteur devine une déchirure qui se dessine peu à peu et qui ne se révèlera qu'à la toute fin. Les sentiments sont comme tenus à distance mais d'autant plus présents dans la narration du coup. C'est fort et délicat. C'est sombre. C'est humain. Et ça me donne envie de découvrir un autre roman de Philippe Claudel. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2014/05/les-ames-grises-philippe-claudel.html
Voici un roman dont j'ai beaucoup entendu parlé il y a plusieurs années maintenant. Mais vous savez ce que c'est : on note un titre, un jour on l'achète, il prend la poussière avant que, mu par une envie subite, on le lise enfin. L'avantage de cette technique, c'est que les éloges des autres ne sont que de vagues réminiscences et qu'ainsi le lecteur n'est plus vraiment influencer. J'ai donc pu me faire mon propre avis, sans trop en attendre, et donner toute sa chance à ce roman. L'auteur, je le connaissais de nom, bien sûr. Mais c'est tout. Du coup, son écriture est d'autant plus frappante. Philippe Claudel utilise des mots simples mais justes pour décrire une ambiance de fin de siècle, voire de fin de monde et des êtres humains qui se débattent au milieu avec leurs sentiments. En prenant le parti d'un récit à la première personne, Claudel ajoute une touche de mystère. Son personnage narratif ne se découvre que petit à petit. On ne connait pas son nom, on devinera son âge, puis sa profession. L'Affaire, le meurtre de la petite Belle, dont il est question tout au long de ce roman, est bien plus un prétexte qu'une réelle question. En lisant le portrait de ce petit village où personne n'envisagerait de suspecter quelqu'un, le lecteur se rend compte que chacun est suspect, du procureur enfermé dans son Château, le maire pompeux, les autres notables, les militaires de passage en route vers le front... Au final, personne n'est ni bon ni mauvais, ni blanc ni noir, chacun porte en lui une part d'ombre, chacun est une âme grise. Du front, seuls les bruits des canons sont perceptibles. La majeure partie de la population, exemptée, tente de conserver le rythme de vie habituel, mais la guerre se rappelle à eux, par petites touches : le contingent de recrues envoyées au front, l’hôpital qui reçoit les blessés, l'instituteur qui perd la tête... Le drame qui se joue ne peut être mis de côté. De même, le narrateur a une parole hachée qui laisse transparaître un drame intime. Le lecteur devine une déchirure qui se dessine peu à peu et qui ne se révèlera qu'à la toute fin. Les sentiments sont comme tenus à distance mais d'autant plus présents dans la narration du coup. C'est fort et délicat. C'est sombre. C'est humain. Et ça me donne envie de découvrir un autre roman de Philippe Claudel. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2014/05/les-ames-grises-philippe-claudel.html
Oui mais...
Je m'attendais à mieux. C'est superbement bien écrit mais les descriptions de certains personnages sont parfois longues et inutiles. Je l'ai lu d'une traite mais je n'en ressors qu'avec peu d'émotions. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi. Je ne suis pas parvenue à vraiment rentrer dans l'histoire. La chute n'est pas mal. A lire quand même mais ce n'est pas le meilleur de Claudel.
Je m'attendais à mieux. C'est superbement bien écrit mais les descriptions de certains personnages sont parfois longues et inutiles. Je l'ai lu d'une traite mais je n'en ressors qu'avec peu d'émotions. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi. Je ne suis pas parvenue à vraiment rentrer dans l'histoire. La chute n'est pas mal. A lire quand même mais ce n'est pas le meilleur de Claudel.
  • Emouvant
  • XXe siècle
  • France
  • Vibrant
trop d'anecdotes
Bilan en quelques mots Les mots pour : un style émouvant, descriptions de la guerre. Les mots contre : intrigue, personnage principal. Au final L'écriture est superbe, crue, émouvante, perturbante de vérité, mais elle n'a pas su me transporter et l'histoire m'a paru décousue, avec trop de digressions, trop d'anecdotes, trop de petits riens. La fin est plus contenue, plus directe aussi, les pensées s'alignent et du coup le livre redevient agréable, à mon goût.
Bilan en quelques mots Les mots pour : un style émouvant, descriptions de la guerre. Les mots contre : intrigue, personnage principal. Au final L'écriture est superbe, crue, émouvante, perturbante de vérité, mais elle n'a pas su me transporter et l'histoire m'a paru décousue, avec trop de digressions, trop d'anecdotes, trop de petits riens. La fin est plus contenue, plus directe aussi, les pensées s'alignent et du coup le livre redevient agréable, à mon goût.
Philippe Claudel
Ecrivain et réalisateur, Philippe Claudel est né le 2 février 1962 en Meurthe-et-Moselle, région à laquelle il est très attaché et où il réside toujours. Agrégé de lettres modernes, il occupe un poste de maître de conférences à l'Université de Nancy. Il est l’'auteur d’'une dizaine de romans ; certains ont été traduits dans le monde entier et particulièrement appréciés du public, notamment « Les Ames grises ». Ce roman paru en 2003, a été élu meilleur livre de l’'année par le magazine Lire, il a reçu le Prix Renaudot la même année puis en 2004 Le Grand prix des lectrices du journal Elle, avant d’être adapté au cinéma en 2005. « Le rapport de Brodeck » paru en 2007 a reçu le Prix Goncourt des lycéens, mais aussi celui des libraires du Québec en 2008. Philippe Claudel est également l'auteur de nouvelles et d’'essais et a réalisé deux films : le premier « Il y a longtemps que je t'aime » a reçu en 2009 le César du meilleur premier film et a obtenu un grand succès en France et à l’'étranger.
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