Le sujet "archéologique" et boécien. Hommage institutionnel et amical à Alain de Libera
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- Nombre de pages380
- FormatPDF
- ISBN978-2-7637-3157-5
- EAN9782763731575
- Date de parution02/09/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPUL Diffusion
Résumé
Il y a d'abord un sujet unique concrétisé dans un homme d'exception, Alain de Libera, dont l'oeuvre abondante et novatrice est également exceptionnelle, bien au-delà du champ pourtant déjà si étendu - millénaire - de la philosophie médiévale ; il y a ensuite une institution, l'Université Laval (Québec), un sujet-support universitaire, qui a reconnu ces faits et en a témoigné par la remise d'un doctorat honoris causa, consolidant ainsi les liens d'amitié avec le sujet récipiendaire, au moment où, parallèlement, le philosophe médiéviste venait d'être nommé, au Collège de France, titulaire de la Chaire, recréée cinq décennies après le départ d'Etienne Gilson, d'Histoire de la philosophie médiévale ; il y a aussi le sujet, si cher à la modernité, dont une archéologie philosophique, de manière insigne, met au jour, en le dégageant, le socle curieusement inversé sur lequel il repose suite à un renversement séculaire (les pages ici offertes fournissant, sous la guise d'un condensé original aux accents de biographie intellectuelle, un « compagnon » à la lecture éclairée du grand cycle de l'Archéologie du sujet) ; il y a enfin « la théorie dite du sujet unique » reconnue et examinée par le récipiendaire dans l'exposé boécien sur les universaux où elle est d'abord énoncée, en attendant que l'on réfléchisse encore (avec J.
Carrier et C. Lafleur) sur cet unum subiectum, avec sa nécessaire neutralité - préfigurant (sans vouloir ainsi sacrifier « au mouvement rétrograde du vrai ») l'intuition husserlienne de l'essence pure (Wesensanschauung) - dans le Second commentaire sur l'Isagoge de Porphyre (en contraste avec le statut de paradigme « ontologique » de son équivalent, la simplex forma par ailleurs sommet cognitif, dans la Consolation de Philosophie), un sujet unique dont une interprétation nominaliste (inspirée à C.
Panaccio par Ockham et Buridan) admet la possibilité logico-grammaticale ou la bivalence ontologico-sémantique, la perspective ockhamiste, prioritairement développée ici, pouvant facilement se voir attribuer, pour une partie, un prodrome abélardien.
Carrier et C. Lafleur) sur cet unum subiectum, avec sa nécessaire neutralité - préfigurant (sans vouloir ainsi sacrifier « au mouvement rétrograde du vrai ») l'intuition husserlienne de l'essence pure (Wesensanschauung) - dans le Second commentaire sur l'Isagoge de Porphyre (en contraste avec le statut de paradigme « ontologique » de son équivalent, la simplex forma par ailleurs sommet cognitif, dans la Consolation de Philosophie), un sujet unique dont une interprétation nominaliste (inspirée à C.
Panaccio par Ockham et Buridan) admet la possibilité logico-grammaticale ou la bivalence ontologico-sémantique, la perspective ockhamiste, prioritairement développée ici, pouvant facilement se voir attribuer, pour une partie, un prodrome abélardien.
Il y a d'abord un sujet unique concrétisé dans un homme d'exception, Alain de Libera, dont l'oeuvre abondante et novatrice est également exceptionnelle, bien au-delà du champ pourtant déjà si étendu - millénaire - de la philosophie médiévale ; il y a ensuite une institution, l'Université Laval (Québec), un sujet-support universitaire, qui a reconnu ces faits et en a témoigné par la remise d'un doctorat honoris causa, consolidant ainsi les liens d'amitié avec le sujet récipiendaire, au moment où, parallèlement, le philosophe médiéviste venait d'être nommé, au Collège de France, titulaire de la Chaire, recréée cinq décennies après le départ d'Etienne Gilson, d'Histoire de la philosophie médiévale ; il y a aussi le sujet, si cher à la modernité, dont une archéologie philosophique, de manière insigne, met au jour, en le dégageant, le socle curieusement inversé sur lequel il repose suite à un renversement séculaire (les pages ici offertes fournissant, sous la guise d'un condensé original aux accents de biographie intellectuelle, un « compagnon » à la lecture éclairée du grand cycle de l'Archéologie du sujet) ; il y a enfin « la théorie dite du sujet unique » reconnue et examinée par le récipiendaire dans l'exposé boécien sur les universaux où elle est d'abord énoncée, en attendant que l'on réfléchisse encore (avec J.
Carrier et C. Lafleur) sur cet unum subiectum, avec sa nécessaire neutralité - préfigurant (sans vouloir ainsi sacrifier « au mouvement rétrograde du vrai ») l'intuition husserlienne de l'essence pure (Wesensanschauung) - dans le Second commentaire sur l'Isagoge de Porphyre (en contraste avec le statut de paradigme « ontologique » de son équivalent, la simplex forma par ailleurs sommet cognitif, dans la Consolation de Philosophie), un sujet unique dont une interprétation nominaliste (inspirée à C.
Panaccio par Ockham et Buridan) admet la possibilité logico-grammaticale ou la bivalence ontologico-sémantique, la perspective ockhamiste, prioritairement développée ici, pouvant facilement se voir attribuer, pour une partie, un prodrome abélardien.
Carrier et C. Lafleur) sur cet unum subiectum, avec sa nécessaire neutralité - préfigurant (sans vouloir ainsi sacrifier « au mouvement rétrograde du vrai ») l'intuition husserlienne de l'essence pure (Wesensanschauung) - dans le Second commentaire sur l'Isagoge de Porphyre (en contraste avec le statut de paradigme « ontologique » de son équivalent, la simplex forma par ailleurs sommet cognitif, dans la Consolation de Philosophie), un sujet unique dont une interprétation nominaliste (inspirée à C.
Panaccio par Ockham et Buridan) admet la possibilité logico-grammaticale ou la bivalence ontologico-sémantique, la perspective ockhamiste, prioritairement développée ici, pouvant facilement se voir attribuer, pour une partie, un prodrome abélardien.