Le sublime chez Nietzsche

Par : Achim Geisenhansluke

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  • Nombre de pages176
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-40794-3
  • EAN9782296407947
  • Date de parution01/03/2000
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dans l'histoire du sublime, Nietzsche tient sans doute une place privilégiée. Il est l'unique représentant d'une double approche qui relie la théorie et la critique du sublime. En analysant cette double approche, ce livre retrace l'histoire du sublime d'Homère, Platon, Longin, Boileau, Burke et Kant jusqu'à Nietzsche pour trouver un accès à sa philosophie esthétique. Dans la mesure où le sublime représente dans la tradition de l'esthétique, le contrepoids du beau, il permet à la fois de déchiffrer le double langage de l'esthétique nietzschéenne, symbolisée par La dualité Apollon - Dionysos, et de démontrer les apories de toute esthétique qui ne veut résider que dans l'apparence du beau.
En esquissant d'abord la théorie du sublime dans la naissance de la tragédie et en passant ensuite à la critique du sublime dans le cas Wagner, ce livre propose aussi une nouvelle lecture du Zarathoustra comme signe d'une écriture du sublime qui cherche à réconcilier philosophie et poésie. Pour indiquer le développement de l'esthétique après Nietzsche, l'étude se termine par une discussion de la renaissance du sublime chez Benjamin, Adorno et Lyotard.
Sous le signe du sublime, la pensée de Nietzsche apparaît comme pierre fondatrice de l'esthétique de la modernité, en réaffirmant, contre les facilités et régressions de la théorie postmoderne, la nécessité d'une critique rigoureuse de l'histoire de l'esthétique.
Dans l'histoire du sublime, Nietzsche tient sans doute une place privilégiée. Il est l'unique représentant d'une double approche qui relie la théorie et la critique du sublime. En analysant cette double approche, ce livre retrace l'histoire du sublime d'Homère, Platon, Longin, Boileau, Burke et Kant jusqu'à Nietzsche pour trouver un accès à sa philosophie esthétique. Dans la mesure où le sublime représente dans la tradition de l'esthétique, le contrepoids du beau, il permet à la fois de déchiffrer le double langage de l'esthétique nietzschéenne, symbolisée par La dualité Apollon - Dionysos, et de démontrer les apories de toute esthétique qui ne veut résider que dans l'apparence du beau.
En esquissant d'abord la théorie du sublime dans la naissance de la tragédie et en passant ensuite à la critique du sublime dans le cas Wagner, ce livre propose aussi une nouvelle lecture du Zarathoustra comme signe d'une écriture du sublime qui cherche à réconcilier philosophie et poésie. Pour indiquer le développement de l'esthétique après Nietzsche, l'étude se termine par une discussion de la renaissance du sublime chez Benjamin, Adorno et Lyotard.
Sous le signe du sublime, la pensée de Nietzsche apparaît comme pierre fondatrice de l'esthétique de la modernité, en réaffirmant, contre les facilités et régressions de la théorie postmoderne, la nécessité d'une critique rigoureuse de l'histoire de l'esthétique.