Le soleil dans la peau. L'homme et le soleil : un lien amoureux, un lien dangereux
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- Nombre de pages139
- FormatePub
- ISBN978-2-221-13134-3
- EAN9782221131343
- Date de parution29/03/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille258 Ko
- ÉditeurRobert Laffont
Résumé
Depuis les premiers pas de l’homme, le soleil fait partie intégrante de sa vie et même de sa survie. Mais cette relation vitale est aussi risquée, comme en témoigne l’augmentation exponentielle des cancers de la peau. De fait, malgré les messages d’alerte concernant sa santé, l’homme a bien des difficultés à se passer de cette relation qui lui procure également bien-être et plaisirs. Sans oublier les apparentes contradictions des discours médicaux qui préviennent des risques de maladie et tout à la fois vantent les qualités anticancéreuses de la vitamine D induite par le soleil.
Comment se faire plaisir sans mettre sa vie en danger ? Comment bénéficier des effets positifs et éviter les effets négatifs du soleil ? Quelles stratégies préventives devons-nous privilégier pour conserver notre capital solaire ? Quels sont les différents paramètres à envisager pour déterminer pour soi le meilleur comportement solaire et reconsidérer sa propre consommation ?
Ce livre pluridisciplinaire est né de la nécessité de proposer une nouvelle voie pédagogique pour inciter chacun à adopter un comportement solaire responsable et minimiser les risques sanitaires inhérents aux expositions solaires inadaptées.
Il vous propose autour de cet organe méconnu qu’est la peau, reflet de nos origines, de notre affect, de notre bonheur, de nos tourments, de notre essence même, un voyage dans quatre dimensions : l’astrophysique qui s’interroge sur les mutations de notre carte d’identité chimique depuis les premiers temps de notre univers ; l’anthropologie, qui nous permet de comprendre comment l’Homme a coexisté au tout début avec le soleil, et comment dans son exil en Europe, il a dû s’adapter à la raréfaction des rayons ultraviolets nécessaires à la bonne marche de son métabolisme, et en conserve une véritable «faim» de lumière, au point que l’exposition solaire devient une véritable prescription ; la dermatologie nécessaire pour établir les paramètres qui vous identifient en tant que candidat à risque ou non (âge, phototype, antécédents cancérologiques cutanés familiaux et personnels, profession, nombre de grains de beauté, comportement solaire…) ; l’addictologie car le bronzage devient pathologique quand il est poursuivi et répété malgré la connaissance de l’augmentation de problèmes sociaux, psychologiques et physiques induits par cette pratique. Parler des risques de vieillissement de la peau ou de mélanome à des adolescents donne aussi peu de résultats que le discours antitabac.
Il s’agit d’intervenir dès le début de l’adolescence en identifiant les pratiques à risque et en appliquant des stratégies de prévention mieux adaptées aux populations les plus jeunes. C’est à une nouvelle charte sanitaire qu’en appellent les auteurs : l’écologie médicale comportementale.
Il vous propose autour de cet organe méconnu qu’est la peau, reflet de nos origines, de notre affect, de notre bonheur, de nos tourments, de notre essence même, un voyage dans quatre dimensions : l’astrophysique qui s’interroge sur les mutations de notre carte d’identité chimique depuis les premiers temps de notre univers ; l’anthropologie, qui nous permet de comprendre comment l’Homme a coexisté au tout début avec le soleil, et comment dans son exil en Europe, il a dû s’adapter à la raréfaction des rayons ultraviolets nécessaires à la bonne marche de son métabolisme, et en conserve une véritable «faim» de lumière, au point que l’exposition solaire devient une véritable prescription ; la dermatologie nécessaire pour établir les paramètres qui vous identifient en tant que candidat à risque ou non (âge, phototype, antécédents cancérologiques cutanés familiaux et personnels, profession, nombre de grains de beauté, comportement solaire…) ; l’addictologie car le bronzage devient pathologique quand il est poursuivi et répété malgré la connaissance de l’augmentation de problèmes sociaux, psychologiques et physiques induits par cette pratique. Parler des risques de vieillissement de la peau ou de mélanome à des adolescents donne aussi peu de résultats que le discours antitabac.
Il s’agit d’intervenir dès le début de l’adolescence en identifiant les pratiques à risque et en appliquant des stratégies de prévention mieux adaptées aux populations les plus jeunes. C’est à une nouvelle charte sanitaire qu’en appellent les auteurs : l’écologie médicale comportementale.
Depuis les premiers pas de l’homme, le soleil fait partie intégrante de sa vie et même de sa survie. Mais cette relation vitale est aussi risquée, comme en témoigne l’augmentation exponentielle des cancers de la peau. De fait, malgré les messages d’alerte concernant sa santé, l’homme a bien des difficultés à se passer de cette relation qui lui procure également bien-être et plaisirs. Sans oublier les apparentes contradictions des discours médicaux qui préviennent des risques de maladie et tout à la fois vantent les qualités anticancéreuses de la vitamine D induite par le soleil.
Comment se faire plaisir sans mettre sa vie en danger ? Comment bénéficier des effets positifs et éviter les effets négatifs du soleil ? Quelles stratégies préventives devons-nous privilégier pour conserver notre capital solaire ? Quels sont les différents paramètres à envisager pour déterminer pour soi le meilleur comportement solaire et reconsidérer sa propre consommation ?
Ce livre pluridisciplinaire est né de la nécessité de proposer une nouvelle voie pédagogique pour inciter chacun à adopter un comportement solaire responsable et minimiser les risques sanitaires inhérents aux expositions solaires inadaptées.
Il vous propose autour de cet organe méconnu qu’est la peau, reflet de nos origines, de notre affect, de notre bonheur, de nos tourments, de notre essence même, un voyage dans quatre dimensions : l’astrophysique qui s’interroge sur les mutations de notre carte d’identité chimique depuis les premiers temps de notre univers ; l’anthropologie, qui nous permet de comprendre comment l’Homme a coexisté au tout début avec le soleil, et comment dans son exil en Europe, il a dû s’adapter à la raréfaction des rayons ultraviolets nécessaires à la bonne marche de son métabolisme, et en conserve une véritable «faim» de lumière, au point que l’exposition solaire devient une véritable prescription ; la dermatologie nécessaire pour établir les paramètres qui vous identifient en tant que candidat à risque ou non (âge, phototype, antécédents cancérologiques cutanés familiaux et personnels, profession, nombre de grains de beauté, comportement solaire…) ; l’addictologie car le bronzage devient pathologique quand il est poursuivi et répété malgré la connaissance de l’augmentation de problèmes sociaux, psychologiques et physiques induits par cette pratique. Parler des risques de vieillissement de la peau ou de mélanome à des adolescents donne aussi peu de résultats que le discours antitabac.
Il s’agit d’intervenir dès le début de l’adolescence en identifiant les pratiques à risque et en appliquant des stratégies de prévention mieux adaptées aux populations les plus jeunes. C’est à une nouvelle charte sanitaire qu’en appellent les auteurs : l’écologie médicale comportementale.
Il vous propose autour de cet organe méconnu qu’est la peau, reflet de nos origines, de notre affect, de notre bonheur, de nos tourments, de notre essence même, un voyage dans quatre dimensions : l’astrophysique qui s’interroge sur les mutations de notre carte d’identité chimique depuis les premiers temps de notre univers ; l’anthropologie, qui nous permet de comprendre comment l’Homme a coexisté au tout début avec le soleil, et comment dans son exil en Europe, il a dû s’adapter à la raréfaction des rayons ultraviolets nécessaires à la bonne marche de son métabolisme, et en conserve une véritable «faim» de lumière, au point que l’exposition solaire devient une véritable prescription ; la dermatologie nécessaire pour établir les paramètres qui vous identifient en tant que candidat à risque ou non (âge, phototype, antécédents cancérologiques cutanés familiaux et personnels, profession, nombre de grains de beauté, comportement solaire…) ; l’addictologie car le bronzage devient pathologique quand il est poursuivi et répété malgré la connaissance de l’augmentation de problèmes sociaux, psychologiques et physiques induits par cette pratique. Parler des risques de vieillissement de la peau ou de mélanome à des adolescents donne aussi peu de résultats que le discours antitabac.
Il s’agit d’intervenir dès le début de l’adolescence en identifiant les pratiques à risque et en appliquant des stratégies de prévention mieux adaptées aux populations les plus jeunes. C’est à une nouvelle charte sanitaire qu’en appellent les auteurs : l’écologie médicale comportementale.