Le roman de l'esclavage de seconde génération dans la littérature d'aventures en Afrique. Les fictions anti-esclavagistes
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- Nombre de pages272
- FormatePub
- ISBN978-9956-459-19-3
- EAN9789956459193
- Date de parution05/06/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille503 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPygmies
- EditeurÉditions Pygmies
Résumé
Près de deux siècles après l'abolition définitive de l'escalvage, il peut paraître surprenant de voir surgir, dans les esprits, la problématique esclavagiste. Pour les contemporains, l'expérience de l'eclavage semble tellement lointaine qu'ils ont du mal à imaginer ce qu'elle a été. La preuve en est que la tragédie de la colonisation, qui lui est corrélée, et qui pourtant nous est proche, se dissipe de plus en plus dans les mémoires.
Les générations africaines actuelles, du moins celles qui ont moins de soixante ans, n'ont vécu ni la colonisation ni l'esclavage et, par conséquent, peuvent se représenter ces expériences historiques comme des faits de légende.
Leur évocation donne ainsi l'impression qu'on veut réveiller de vieux fantasmes. Dans cette optique, l'ouvrage que nous propose Jean Bernard Evoung Fouda sur le roman de l'esclavage peut apparaitre comme un réveil des consciences endormies et qui croyaient s'être débarrassées de leurs démons. Il nous remet en face d'une réalité que nous croyions lointaine, mais qui pourtant survit dans la gouvernance mondiale.
Cet ouvrage nous montre bien que, malgré la première et la deuxième abolitions, l'esclavage est resté vivace, tout au moins dans certains esprits, et a nourri une abondante littérature jusqu'au dix-neuvième et au vingtième siècle.
Leur évocation donne ainsi l'impression qu'on veut réveiller de vieux fantasmes. Dans cette optique, l'ouvrage que nous propose Jean Bernard Evoung Fouda sur le roman de l'esclavage peut apparaitre comme un réveil des consciences endormies et qui croyaient s'être débarrassées de leurs démons. Il nous remet en face d'une réalité que nous croyions lointaine, mais qui pourtant survit dans la gouvernance mondiale.
Cet ouvrage nous montre bien que, malgré la première et la deuxième abolitions, l'esclavage est resté vivace, tout au moins dans certains esprits, et a nourri une abondante littérature jusqu'au dix-neuvième et au vingtième siècle.
Près de deux siècles après l'abolition définitive de l'escalvage, il peut paraître surprenant de voir surgir, dans les esprits, la problématique esclavagiste. Pour les contemporains, l'expérience de l'eclavage semble tellement lointaine qu'ils ont du mal à imaginer ce qu'elle a été. La preuve en est que la tragédie de la colonisation, qui lui est corrélée, et qui pourtant nous est proche, se dissipe de plus en plus dans les mémoires.
Les générations africaines actuelles, du moins celles qui ont moins de soixante ans, n'ont vécu ni la colonisation ni l'esclavage et, par conséquent, peuvent se représenter ces expériences historiques comme des faits de légende.
Leur évocation donne ainsi l'impression qu'on veut réveiller de vieux fantasmes. Dans cette optique, l'ouvrage que nous propose Jean Bernard Evoung Fouda sur le roman de l'esclavage peut apparaitre comme un réveil des consciences endormies et qui croyaient s'être débarrassées de leurs démons. Il nous remet en face d'une réalité que nous croyions lointaine, mais qui pourtant survit dans la gouvernance mondiale.
Cet ouvrage nous montre bien que, malgré la première et la deuxième abolitions, l'esclavage est resté vivace, tout au moins dans certains esprits, et a nourri une abondante littérature jusqu'au dix-neuvième et au vingtième siècle.
Leur évocation donne ainsi l'impression qu'on veut réveiller de vieux fantasmes. Dans cette optique, l'ouvrage que nous propose Jean Bernard Evoung Fouda sur le roman de l'esclavage peut apparaitre comme un réveil des consciences endormies et qui croyaient s'être débarrassées de leurs démons. Il nous remet en face d'une réalité que nous croyions lointaine, mais qui pourtant survit dans la gouvernance mondiale.
Cet ouvrage nous montre bien que, malgré la première et la deuxième abolitions, l'esclavage est resté vivace, tout au moins dans certains esprits, et a nourri une abondante littérature jusqu'au dix-neuvième et au vingtième siècle.