Le Duel culturel des nations
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- Nombre de pages209
- FormatePub
- ISBN978-2-7646-4780-6
- EAN9782764647806
- Date de parution03/10/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille952 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Boréal
Résumé
Ce ne sont pas les études sur le nationalisme et la question nationale qui manquent au Québec. La crainte - légitime - des Québécois pour la survie de leur culture fait en sorte qu'ils ont plutôt tendance à ressasser obsessionnellement la question.
Emmanuel Lapierre réussit l'exploit de nous la faire voir sous un jour neuf.
Il commence par déboulonner un mythe tenace au sujet du nationalisme qui voudrait qu'il y en ait un « bon » et un « mauvais ».
Le premier, civique, hérité des Lumières, serait source de progrès et de prospérité, tandis que le second, ethnique, n'engendrerait que xénophobie, discordes et guerres. Le premier est habituellement associé aux pays anglo-saxons, tandis que le second l'est au reste du monde, dont le Québec. Pour ce faire, Emmanuel Lapierre fait appel à trois philosophes dont la pensée a formé notre conception du nationalisme : Hans Kohn, Hannah Arendt et Johann Gottfried Herder.
Il propose ensuite un nouveau concept, celui du duel culturel des nations. Selon lui, depuis trois cents ans, les puissances impérialistes ne se contentent pas de dominer économiquement et politiquement les plus faibles, elles dénigrent les langues et les cultures qu'elles rencontrent au point que la majorité des six mille cultures existantes sur terre auront probablement disparu d'ici la fin du siècle.
Pour décrire ce phénomène, ce ne sont pas des philosophes mais bien des littéraires qui entrent en scène, Alfred Kazin, An Antane Kapesh et Jean Bouthillette, en plus d'une équipe de hockey, Le Canadien de Montréal. Pour Emmanuel Lapierre, la volonté toute simple de connaître son identité nationale recèle un formidable potentiel d'émancipation. Son but, c'est de nous permettre de rêver à des nations vivant dans la paix et la solidarité.
À un monde délivré de la menace de disparaître.
Le premier, civique, hérité des Lumières, serait source de progrès et de prospérité, tandis que le second, ethnique, n'engendrerait que xénophobie, discordes et guerres. Le premier est habituellement associé aux pays anglo-saxons, tandis que le second l'est au reste du monde, dont le Québec. Pour ce faire, Emmanuel Lapierre fait appel à trois philosophes dont la pensée a formé notre conception du nationalisme : Hans Kohn, Hannah Arendt et Johann Gottfried Herder.
Il propose ensuite un nouveau concept, celui du duel culturel des nations. Selon lui, depuis trois cents ans, les puissances impérialistes ne se contentent pas de dominer économiquement et politiquement les plus faibles, elles dénigrent les langues et les cultures qu'elles rencontrent au point que la majorité des six mille cultures existantes sur terre auront probablement disparu d'ici la fin du siècle.
Pour décrire ce phénomène, ce ne sont pas des philosophes mais bien des littéraires qui entrent en scène, Alfred Kazin, An Antane Kapesh et Jean Bouthillette, en plus d'une équipe de hockey, Le Canadien de Montréal. Pour Emmanuel Lapierre, la volonté toute simple de connaître son identité nationale recèle un formidable potentiel d'émancipation. Son but, c'est de nous permettre de rêver à des nations vivant dans la paix et la solidarité.
À un monde délivré de la menace de disparaître.
Ce ne sont pas les études sur le nationalisme et la question nationale qui manquent au Québec. La crainte - légitime - des Québécois pour la survie de leur culture fait en sorte qu'ils ont plutôt tendance à ressasser obsessionnellement la question.
Emmanuel Lapierre réussit l'exploit de nous la faire voir sous un jour neuf.
Il commence par déboulonner un mythe tenace au sujet du nationalisme qui voudrait qu'il y en ait un « bon » et un « mauvais ».
Le premier, civique, hérité des Lumières, serait source de progrès et de prospérité, tandis que le second, ethnique, n'engendrerait que xénophobie, discordes et guerres. Le premier est habituellement associé aux pays anglo-saxons, tandis que le second l'est au reste du monde, dont le Québec. Pour ce faire, Emmanuel Lapierre fait appel à trois philosophes dont la pensée a formé notre conception du nationalisme : Hans Kohn, Hannah Arendt et Johann Gottfried Herder.
Il propose ensuite un nouveau concept, celui du duel culturel des nations. Selon lui, depuis trois cents ans, les puissances impérialistes ne se contentent pas de dominer économiquement et politiquement les plus faibles, elles dénigrent les langues et les cultures qu'elles rencontrent au point que la majorité des six mille cultures existantes sur terre auront probablement disparu d'ici la fin du siècle.
Pour décrire ce phénomène, ce ne sont pas des philosophes mais bien des littéraires qui entrent en scène, Alfred Kazin, An Antane Kapesh et Jean Bouthillette, en plus d'une équipe de hockey, Le Canadien de Montréal. Pour Emmanuel Lapierre, la volonté toute simple de connaître son identité nationale recèle un formidable potentiel d'émancipation. Son but, c'est de nous permettre de rêver à des nations vivant dans la paix et la solidarité.
À un monde délivré de la menace de disparaître.
Le premier, civique, hérité des Lumières, serait source de progrès et de prospérité, tandis que le second, ethnique, n'engendrerait que xénophobie, discordes et guerres. Le premier est habituellement associé aux pays anglo-saxons, tandis que le second l'est au reste du monde, dont le Québec. Pour ce faire, Emmanuel Lapierre fait appel à trois philosophes dont la pensée a formé notre conception du nationalisme : Hans Kohn, Hannah Arendt et Johann Gottfried Herder.
Il propose ensuite un nouveau concept, celui du duel culturel des nations. Selon lui, depuis trois cents ans, les puissances impérialistes ne se contentent pas de dominer économiquement et politiquement les plus faibles, elles dénigrent les langues et les cultures qu'elles rencontrent au point que la majorité des six mille cultures existantes sur terre auront probablement disparu d'ici la fin du siècle.
Pour décrire ce phénomène, ce ne sont pas des philosophes mais bien des littéraires qui entrent en scène, Alfred Kazin, An Antane Kapesh et Jean Bouthillette, en plus d'une équipe de hockey, Le Canadien de Montréal. Pour Emmanuel Lapierre, la volonté toute simple de connaître son identité nationale recèle un formidable potentiel d'émancipation. Son but, c'est de nous permettre de rêver à des nations vivant dans la paix et la solidarité.
À un monde délivré de la menace de disparaître.