Le courant de "l'esthétique publicitaire" dans le cinéma français des années 80 : la modernité en crise

Par : Marie-Thérèse Journot

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  • Nombre de pages200
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-38267-3
  • EAN9782296382671
  • Date de parution01/01/2005
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille7 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

A l'origine de cet ouvrage s'est posée la question de la validité du concept d' " esthétique publicitaire " employé par la critique des années 80 pour les films de Jean-Jacques Beineix, Luc Besson, Léos Carax et quelques autres réalisateurs, de Diva à Nikita en passant par Mauvais sang. Si les polémiques autour de la publicité ont perdu de leur acuité en deux décennies, il reste les films, dont certains ont été plébiscités par le public - 37° le matin, Subway, Le grand bleu -, et leurs caractéristiques esthétiques, qui les apparentent bien à un courant.
On se propose d'étudier ici la relation entre un mouvement cinématographique qui paraît assez novateur pour déranger et une critique qui se vit comme dépositaire de l'héritage de la modernité, dans une société en mutation. A travers les relations des films à des mouvements littéraires, cinématographiques et picturaux et leur communication caractérisée par le souci de lisibilité se met en place la figure d'un cinéma postmoderne, rejeté par la critique à cause, à la fois, de sa prétention à se situer dans le champ de l'art, et de la représentation idéologiquement incorrecte qu'il donne d'un espace social en plein bouleversement.
A l'origine de cet ouvrage s'est posée la question de la validité du concept d' " esthétique publicitaire " employé par la critique des années 80 pour les films de Jean-Jacques Beineix, Luc Besson, Léos Carax et quelques autres réalisateurs, de Diva à Nikita en passant par Mauvais sang. Si les polémiques autour de la publicité ont perdu de leur acuité en deux décennies, il reste les films, dont certains ont été plébiscités par le public - 37° le matin, Subway, Le grand bleu -, et leurs caractéristiques esthétiques, qui les apparentent bien à un courant.
On se propose d'étudier ici la relation entre un mouvement cinématographique qui paraît assez novateur pour déranger et une critique qui se vit comme dépositaire de l'héritage de la modernité, dans une société en mutation. A travers les relations des films à des mouvements littéraires, cinématographiques et picturaux et leur communication caractérisée par le souci de lisibilité se met en place la figure d'un cinéma postmoderne, rejeté par la critique à cause, à la fois, de sa prétention à se situer dans le champ de l'art, et de la représentation idéologiquement incorrecte qu'il donne d'un espace social en plein bouleversement.
Le vocabulaire du cinéma
Marie-Thérèse Journot
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