Le corps, la famille et l'Etat. Hommage à André Burguière
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- Nombre de pages346
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-6769-6
- EAN9782753567696
- Date de parution27/06/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
- PréfacierJacques Le Goff
Résumé
Pour André Burguière, « les idées politiques ne flottent pas au-dessus des corps ». C'est dans cette ligne que s'est construit ce volume d'hommage à l'historien. Suivant une démarche qui est celle de l'École des Annales, André Burguière a exploré les diverses dimensions du double lien, de parenté et national, sur qui se fonde la cohésion des sociétés d'Ancien Régime, peut-être aussi celle des sociétés contemporaines.
La parenté apparaît alors comme une situation héritée ou comme un choix volontaire, et ses formes répondent à des constructions de l'esprit et à des élans affectifs autant qu'à des contraintes et des conjonctures. Les multiples facettes du mariage ou de la famille ici analysées témoignent de la faculté d'adaptation des communautés humaines. Les connivences entre l'imaginaire de la parenté et celui de la nation peuvent alors être interrogées à partir des pratiques de la citoyenneté et de la société politique, C'est donc une réflexion sur les corps physiques et les groupements familiaux, les contraintes qui pèsent sur eux et les conduites qui tentent de conjurer leurs diktats ou leurs menaces ; sur le genre, catégorie nouvelle apte à penser l'ordre social et ses partages ; sur le lien social, l'État, les pouvoirs, qui anime cet essai collectif en fidélité aux travaux d'André Burguière.
La parenté apparaît alors comme une situation héritée ou comme un choix volontaire, et ses formes répondent à des constructions de l'esprit et à des élans affectifs autant qu'à des contraintes et des conjonctures. Les multiples facettes du mariage ou de la famille ici analysées témoignent de la faculté d'adaptation des communautés humaines. Les connivences entre l'imaginaire de la parenté et celui de la nation peuvent alors être interrogées à partir des pratiques de la citoyenneté et de la société politique, C'est donc une réflexion sur les corps physiques et les groupements familiaux, les contraintes qui pèsent sur eux et les conduites qui tentent de conjurer leurs diktats ou leurs menaces ; sur le genre, catégorie nouvelle apte à penser l'ordre social et ses partages ; sur le lien social, l'État, les pouvoirs, qui anime cet essai collectif en fidélité aux travaux d'André Burguière.
Pour André Burguière, « les idées politiques ne flottent pas au-dessus des corps ». C'est dans cette ligne que s'est construit ce volume d'hommage à l'historien. Suivant une démarche qui est celle de l'École des Annales, André Burguière a exploré les diverses dimensions du double lien, de parenté et national, sur qui se fonde la cohésion des sociétés d'Ancien Régime, peut-être aussi celle des sociétés contemporaines.
La parenté apparaît alors comme une situation héritée ou comme un choix volontaire, et ses formes répondent à des constructions de l'esprit et à des élans affectifs autant qu'à des contraintes et des conjonctures. Les multiples facettes du mariage ou de la famille ici analysées témoignent de la faculté d'adaptation des communautés humaines. Les connivences entre l'imaginaire de la parenté et celui de la nation peuvent alors être interrogées à partir des pratiques de la citoyenneté et de la société politique, C'est donc une réflexion sur les corps physiques et les groupements familiaux, les contraintes qui pèsent sur eux et les conduites qui tentent de conjurer leurs diktats ou leurs menaces ; sur le genre, catégorie nouvelle apte à penser l'ordre social et ses partages ; sur le lien social, l'État, les pouvoirs, qui anime cet essai collectif en fidélité aux travaux d'André Burguière.
La parenté apparaît alors comme une situation héritée ou comme un choix volontaire, et ses formes répondent à des constructions de l'esprit et à des élans affectifs autant qu'à des contraintes et des conjonctures. Les multiples facettes du mariage ou de la famille ici analysées témoignent de la faculté d'adaptation des communautés humaines. Les connivences entre l'imaginaire de la parenté et celui de la nation peuvent alors être interrogées à partir des pratiques de la citoyenneté et de la société politique, C'est donc une réflexion sur les corps physiques et les groupements familiaux, les contraintes qui pèsent sur eux et les conduites qui tentent de conjurer leurs diktats ou leurs menaces ; sur le genre, catégorie nouvelle apte à penser l'ordre social et ses partages ; sur le lien social, l'État, les pouvoirs, qui anime cet essai collectif en fidélité aux travaux d'André Burguière.