Le Corps d'une reine. Histoire singulière d'Elisabeth de Valois 1546-1568

Par : Sylvène Edouard

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  • Nombre de pages278
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7535-6642-2
  • EAN9782753566422
  • Date de parution21/10/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Rennes

Résumé

Le corps de la reine est celui d'Élisabeth de Valois, fille d'Henri II et de Catherine de Médicis, qui fut princesse de France puis reine d'Espagne de 1559 jusqu'à sa mort en 1568. À partir de sources diverses et originales, Sylvène Édouard propose une biographie du corps de la reine pour démontrer qu'il fut un et politique. En soulignant l'importance du langage des signes corporels dans les cours de France et d'Espagne à la fin de la Renaissance, le sujet se déplace d'une cour à l'autre, où les cultures du corps furent différentes, au point de devenir des frontières symboliques entre ces « nations ».
Les signes éloquents du corps majestueux de la reine et son devoir d'enfanter un héritier révèlent aussi, de son baptême à sa mort, une pratique du don, celui de ces corps princiers qui furent éduqués pour se donner pleinement à leur dignité.
Le corps de la reine est celui d'Élisabeth de Valois, fille d'Henri II et de Catherine de Médicis, qui fut princesse de France puis reine d'Espagne de 1559 jusqu'à sa mort en 1568. À partir de sources diverses et originales, Sylvène Édouard propose une biographie du corps de la reine pour démontrer qu'il fut un et politique. En soulignant l'importance du langage des signes corporels dans les cours de France et d'Espagne à la fin de la Renaissance, le sujet se déplace d'une cour à l'autre, où les cultures du corps furent différentes, au point de devenir des frontières symboliques entre ces « nations ».
Les signes éloquents du corps majestueux de la reine et son devoir d'enfanter un héritier révèlent aussi, de son baptême à sa mort, une pratique du don, celui de ces corps princiers qui furent éduqués pour se donner pleinement à leur dignité.