Le christianisme occidental au Moyen Âge. IVe-XVe siècle
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- Nombre de pages400
- FormatePub
- ISBN2-200-25525-X
- EAN9782200255251
- Date de parution01/03/2004
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille538 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Religion de salut, le christianisme enseigne un monothéisme exclusif de toute autre croyance et engage ses fidèles à vivre selon la morale la plus rigoureuse. L'attente d'un bonheur céleste et de la fin des temps les détourne largement du monde. Par tous ces traits, les chrétiens sont étrangers à la civilisation gréco-romaine. En dépit d'un rejet par les élites et de dures persécutions, le christianisme s'impose jusqu'à devenir la religion officielle de l'Empire romain, puis de tous les royaumes qui se succèdent au moyen Âge en Europe occidentale.
L'Église devient un acteur essentiel de la vie sociale. Elle contribue à aménager les sociétés en s'impliquant fortement dans l'exercice de l'autorité. Elle adopte le savoir antique et l'utilise pour élaborer ses propres conceptions. Elle bâtit et développe un art en empruntant à celui de tous les peuples. Cette naturalisation sociale et culturelle s'accomplit au prix d'une difficile adaptation, trop bien réussie peut-être.
Or les Écritures, qui renvoient en permanence à l'idéal religieux primitif, inspirent une remise en cause fréquente de cet ordre. L'exercice du pouvoir, la hiérarchie sociale, les comportements humains, les modes de raisonnement sont successivement concernés. Réformer sans cesse induit un dynamisme qui se dément rarement. C'est cette histoire longue et complexe que le présent ouvrage retrace dans toute sa diversité.
Jacques Paul est professeur à l'université de Provence Aix-Marseille I. Il est l'auteur chez Armand Colin de Histoire intellectuelle de l'Occident médiéval et de Culture et vie intellectuelle dans l'Occident médiéval. Le salut. L'Écriture sainte. L'Église. Le christianisme latin à la fin de l'Empire romain. Les chrétiens et l'Empire. Les chrétiens et les religions païennes. Du héros au saint. Les chrétiens et la culture antique.
Ordre du monde et salut chrétien (500-1050). La christianisation des peuples barbares. L'expérience insulaire. Christianisme et Empire carolingien. L'Église entre l'Empire et la féodalité. La liberté de l'Église et l'évangélisme (1050-1280). Principes et idéologie des réformateurs. Le sacerdoce et l'empire. Ascétisme et évangélisme. La vie religieuse des laïcs. Vie intellectuelle et essor artistique.
La conscience chrétienne et le monde. L'affranchissement des États. Crises dans l'Église. L'essor de la vie spirituelle. L'encadrement des fidèles et la pastorale. De la pensée spéculative à l'humanisme.
L'Église devient un acteur essentiel de la vie sociale. Elle contribue à aménager les sociétés en s'impliquant fortement dans l'exercice de l'autorité. Elle adopte le savoir antique et l'utilise pour élaborer ses propres conceptions. Elle bâtit et développe un art en empruntant à celui de tous les peuples. Cette naturalisation sociale et culturelle s'accomplit au prix d'une difficile adaptation, trop bien réussie peut-être.
Or les Écritures, qui renvoient en permanence à l'idéal religieux primitif, inspirent une remise en cause fréquente de cet ordre. L'exercice du pouvoir, la hiérarchie sociale, les comportements humains, les modes de raisonnement sont successivement concernés. Réformer sans cesse induit un dynamisme qui se dément rarement. C'est cette histoire longue et complexe que le présent ouvrage retrace dans toute sa diversité.
Jacques Paul est professeur à l'université de Provence Aix-Marseille I. Il est l'auteur chez Armand Colin de Histoire intellectuelle de l'Occident médiéval et de Culture et vie intellectuelle dans l'Occident médiéval. Le salut. L'Écriture sainte. L'Église. Le christianisme latin à la fin de l'Empire romain. Les chrétiens et l'Empire. Les chrétiens et les religions païennes. Du héros au saint. Les chrétiens et la culture antique.
Ordre du monde et salut chrétien (500-1050). La christianisation des peuples barbares. L'expérience insulaire. Christianisme et Empire carolingien. L'Église entre l'Empire et la féodalité. La liberté de l'Église et l'évangélisme (1050-1280). Principes et idéologie des réformateurs. Le sacerdoce et l'empire. Ascétisme et évangélisme. La vie religieuse des laïcs. Vie intellectuelle et essor artistique.
La conscience chrétienne et le monde. L'affranchissement des États. Crises dans l'Église. L'essor de la vie spirituelle. L'encadrement des fidèles et la pastorale. De la pensée spéculative à l'humanisme.
Religion de salut, le christianisme enseigne un monothéisme exclusif de toute autre croyance et engage ses fidèles à vivre selon la morale la plus rigoureuse. L'attente d'un bonheur céleste et de la fin des temps les détourne largement du monde. Par tous ces traits, les chrétiens sont étrangers à la civilisation gréco-romaine. En dépit d'un rejet par les élites et de dures persécutions, le christianisme s'impose jusqu'à devenir la religion officielle de l'Empire romain, puis de tous les royaumes qui se succèdent au moyen Âge en Europe occidentale.
L'Église devient un acteur essentiel de la vie sociale. Elle contribue à aménager les sociétés en s'impliquant fortement dans l'exercice de l'autorité. Elle adopte le savoir antique et l'utilise pour élaborer ses propres conceptions. Elle bâtit et développe un art en empruntant à celui de tous les peuples. Cette naturalisation sociale et culturelle s'accomplit au prix d'une difficile adaptation, trop bien réussie peut-être.
Or les Écritures, qui renvoient en permanence à l'idéal religieux primitif, inspirent une remise en cause fréquente de cet ordre. L'exercice du pouvoir, la hiérarchie sociale, les comportements humains, les modes de raisonnement sont successivement concernés. Réformer sans cesse induit un dynamisme qui se dément rarement. C'est cette histoire longue et complexe que le présent ouvrage retrace dans toute sa diversité.
Jacques Paul est professeur à l'université de Provence Aix-Marseille I. Il est l'auteur chez Armand Colin de Histoire intellectuelle de l'Occident médiéval et de Culture et vie intellectuelle dans l'Occident médiéval. Le salut. L'Écriture sainte. L'Église. Le christianisme latin à la fin de l'Empire romain. Les chrétiens et l'Empire. Les chrétiens et les religions païennes. Du héros au saint. Les chrétiens et la culture antique.
Ordre du monde et salut chrétien (500-1050). La christianisation des peuples barbares. L'expérience insulaire. Christianisme et Empire carolingien. L'Église entre l'Empire et la féodalité. La liberté de l'Église et l'évangélisme (1050-1280). Principes et idéologie des réformateurs. Le sacerdoce et l'empire. Ascétisme et évangélisme. La vie religieuse des laïcs. Vie intellectuelle et essor artistique.
La conscience chrétienne et le monde. L'affranchissement des États. Crises dans l'Église. L'essor de la vie spirituelle. L'encadrement des fidèles et la pastorale. De la pensée spéculative à l'humanisme.
L'Église devient un acteur essentiel de la vie sociale. Elle contribue à aménager les sociétés en s'impliquant fortement dans l'exercice de l'autorité. Elle adopte le savoir antique et l'utilise pour élaborer ses propres conceptions. Elle bâtit et développe un art en empruntant à celui de tous les peuples. Cette naturalisation sociale et culturelle s'accomplit au prix d'une difficile adaptation, trop bien réussie peut-être.
Or les Écritures, qui renvoient en permanence à l'idéal religieux primitif, inspirent une remise en cause fréquente de cet ordre. L'exercice du pouvoir, la hiérarchie sociale, les comportements humains, les modes de raisonnement sont successivement concernés. Réformer sans cesse induit un dynamisme qui se dément rarement. C'est cette histoire longue et complexe que le présent ouvrage retrace dans toute sa diversité.
Jacques Paul est professeur à l'université de Provence Aix-Marseille I. Il est l'auteur chez Armand Colin de Histoire intellectuelle de l'Occident médiéval et de Culture et vie intellectuelle dans l'Occident médiéval. Le salut. L'Écriture sainte. L'Église. Le christianisme latin à la fin de l'Empire romain. Les chrétiens et l'Empire. Les chrétiens et les religions païennes. Du héros au saint. Les chrétiens et la culture antique.
Ordre du monde et salut chrétien (500-1050). La christianisation des peuples barbares. L'expérience insulaire. Christianisme et Empire carolingien. L'Église entre l'Empire et la féodalité. La liberté de l'Église et l'évangélisme (1050-1280). Principes et idéologie des réformateurs. Le sacerdoce et l'empire. Ascétisme et évangélisme. La vie religieuse des laïcs. Vie intellectuelle et essor artistique.
La conscience chrétienne et le monde. L'affranchissement des États. Crises dans l'Église. L'essor de la vie spirituelle. L'encadrement des fidèles et la pastorale. De la pensée spéculative à l'humanisme.