La ville et le plat pays (XIIIe-XVIIIe siècles)

Par : Marie-Claude Marandet

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  • Nombre de pages436
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-35412-288-1
  • EAN9782354122881
  • Date de parution29/09/2017
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Perpig...

Résumé

Les relations entre ville et campagne sont aujourd'hui envisagées, le plus souvent, comme une domination de l'une par l'autre. Était-ce le cas au Moyen Âge et à l'Époque moderne alors que 80 % à 90 % de la population vivait à la campagne et en tirait ses revenus ? Les images que la ville donne alors d'elle-même et de son plat pays suggèrent une symbiose, des relations qui s'effectuent au profit de la ville, mais aussi de la campagne.
Si l'on utilise les sources écrites, peut-on conclure effectivement à une association des villes et de leurs campagnes dans une région économique intégrée ? Quels flux (d'hommes, de produits, de capitaux, de décisions) voit-on s'établir alors entre les deux ? Peut-on définir les territoires de la ville, ceux où elle exerce son influence, son attraction en matière économique et en matière démographique ? Ces aires se recoupent-elles ? La couronne nourricière est-elle la même que la zone d'appel de population, que la zone d'investissement ? Se confondent-elles avec la juridiction ? A-t-on création d'un nouveau paysage rural et périurbain lié aux besoins des citadins ? Cet ouvrage, publication d'un colloque tenu à l'Université de Perpignan Via Domitia, essaie de répondre à ces questions, à partir d'une vingtaine d'études de cas concernant pour l'essentiel l'espace méditerranéen.
Les relations entre ville et campagne sont aujourd'hui envisagées, le plus souvent, comme une domination de l'une par l'autre. Était-ce le cas au Moyen Âge et à l'Époque moderne alors que 80 % à 90 % de la population vivait à la campagne et en tirait ses revenus ? Les images que la ville donne alors d'elle-même et de son plat pays suggèrent une symbiose, des relations qui s'effectuent au profit de la ville, mais aussi de la campagne.
Si l'on utilise les sources écrites, peut-on conclure effectivement à une association des villes et de leurs campagnes dans une région économique intégrée ? Quels flux (d'hommes, de produits, de capitaux, de décisions) voit-on s'établir alors entre les deux ? Peut-on définir les territoires de la ville, ceux où elle exerce son influence, son attraction en matière économique et en matière démographique ? Ces aires se recoupent-elles ? La couronne nourricière est-elle la même que la zone d'appel de population, que la zone d'investissement ? Se confondent-elles avec la juridiction ? A-t-on création d'un nouveau paysage rural et périurbain lié aux besoins des citadins ? Cet ouvrage, publication d'un colloque tenu à l'Université de Perpignan Via Domitia, essaie de répondre à ces questions, à partir d'une vingtaine d'études de cas concernant pour l'essentiel l'espace méditerranéen.