La Tanzanie. Entre tradition et modernité
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- Nombre de pages84
- FormatePub
- ISBN2-348-03529-4
- EAN9782348035296
- Date de parution01/01/1996
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...
Résumé
L'Afrique constitue certainement l'armoire aux clichés les plus tenaces. De l'humanitaire à l'ethnologie, l'exotisme l'emporte toujours. La Tanzanie n'échappe pas à cette règle. Ayant choisi la voie socialiste dans les années 70, le pays est passé au multipartisme politique depuis 1993 et connaît la libéralisation de l'économie, le désengagement de l'État, avec en toile de fond des phénomènes de déculturation et d'assistanat pour les paysans.
Pourtant, le monde rural tanzanien, attaché aux valeurs de solidarité, est un monde en effervescence tranquille, qui bouge et discute. Au pied des monts Uluguru, Morogoro abrite l'université d'agriculture Sokoine. Deux cents enseignants et chercheurs et un millier d'étudiants, toutes spécialités confondues, s'imbibent de « sciences agricoles ». Depuis dix ans, la faculté d'agriculture a fait un pari silencieux.
Régulièrement chercheurs, enseignants et étudiants vont respirer l'air des montagnes. En retour, des paysans viennent dans les salles de conférence du campus. Chacun parle et écoute l'autre. Les photos de Frédérik Noy et les textes de Thierry Lassalle et Amon Mattee retracent dix années de rencontres entre paysans et chercheurs pour qu'advienne le futur.
Pourtant, le monde rural tanzanien, attaché aux valeurs de solidarité, est un monde en effervescence tranquille, qui bouge et discute. Au pied des monts Uluguru, Morogoro abrite l'université d'agriculture Sokoine. Deux cents enseignants et chercheurs et un millier d'étudiants, toutes spécialités confondues, s'imbibent de « sciences agricoles ». Depuis dix ans, la faculté d'agriculture a fait un pari silencieux.
Régulièrement chercheurs, enseignants et étudiants vont respirer l'air des montagnes. En retour, des paysans viennent dans les salles de conférence du campus. Chacun parle et écoute l'autre. Les photos de Frédérik Noy et les textes de Thierry Lassalle et Amon Mattee retracent dix années de rencontres entre paysans et chercheurs pour qu'advienne le futur.
L'Afrique constitue certainement l'armoire aux clichés les plus tenaces. De l'humanitaire à l'ethnologie, l'exotisme l'emporte toujours. La Tanzanie n'échappe pas à cette règle. Ayant choisi la voie socialiste dans les années 70, le pays est passé au multipartisme politique depuis 1993 et connaît la libéralisation de l'économie, le désengagement de l'État, avec en toile de fond des phénomènes de déculturation et d'assistanat pour les paysans.
Pourtant, le monde rural tanzanien, attaché aux valeurs de solidarité, est un monde en effervescence tranquille, qui bouge et discute. Au pied des monts Uluguru, Morogoro abrite l'université d'agriculture Sokoine. Deux cents enseignants et chercheurs et un millier d'étudiants, toutes spécialités confondues, s'imbibent de « sciences agricoles ». Depuis dix ans, la faculté d'agriculture a fait un pari silencieux.
Régulièrement chercheurs, enseignants et étudiants vont respirer l'air des montagnes. En retour, des paysans viennent dans les salles de conférence du campus. Chacun parle et écoute l'autre. Les photos de Frédérik Noy et les textes de Thierry Lassalle et Amon Mattee retracent dix années de rencontres entre paysans et chercheurs pour qu'advienne le futur.
Pourtant, le monde rural tanzanien, attaché aux valeurs de solidarité, est un monde en effervescence tranquille, qui bouge et discute. Au pied des monts Uluguru, Morogoro abrite l'université d'agriculture Sokoine. Deux cents enseignants et chercheurs et un millier d'étudiants, toutes spécialités confondues, s'imbibent de « sciences agricoles ». Depuis dix ans, la faculté d'agriculture a fait un pari silencieux.
Régulièrement chercheurs, enseignants et étudiants vont respirer l'air des montagnes. En retour, des paysans viennent dans les salles de conférence du campus. Chacun parle et écoute l'autre. Les photos de Frédérik Noy et les textes de Thierry Lassalle et Amon Mattee retracent dix années de rencontres entre paysans et chercheurs pour qu'advienne le futur.