La perte de l'évidence humaine. Phénoménologie de la relation en situations extrêmes

Par : Agata Zielinski
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages346
  • FormatPDF
  • ISBN979-10-370-1996-7
  • EAN9791037019967
  • Date de parution28/10/2022
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille6 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurHermann

Résumé

Que se passe-t-il en nous face à la perte de l'évidence humaine, lorsque les attributs classiques de la personne humaine font défaut ? Les situations de non-communication, d'absence de réciprocité interrogent la définition de l'humain : qu'est-ce que rester ou cesser d'être humain ? La question de l'appartenance commune à l'humanité passe par l'interrogation sur le semblable, jusqu'à mettre au jour un paradoxe qui nous semble être la clef de la relation en situations extrêmes : une ressemblance qui s'impose et indispose, causant un effroi que l'on cherche à fuir.
Cette ressemblance, qui s'expérimente sur le mode d'une inquiétante étrangeté, renvoie à une historicité humaine primordiale, celle de la détresse initiale. Mais qui est mon semblable ? Celui dont je reconnais la proximité, et dont je peux me décider à m'approcher. La relation, capacité à se tenir proche, réouvre un monde commun. La phénoménologie de la relation en situations extrêmes permet d'esquisser une éthique de la « prochaineté ».
Que se passe-t-il en nous face à la perte de l'évidence humaine, lorsque les attributs classiques de la personne humaine font défaut ? Les situations de non-communication, d'absence de réciprocité interrogent la définition de l'humain : qu'est-ce que rester ou cesser d'être humain ? La question de l'appartenance commune à l'humanité passe par l'interrogation sur le semblable, jusqu'à mettre au jour un paradoxe qui nous semble être la clef de la relation en situations extrêmes : une ressemblance qui s'impose et indispose, causant un effroi que l'on cherche à fuir.
Cette ressemblance, qui s'expérimente sur le mode d'une inquiétante étrangeté, renvoie à une historicité humaine primordiale, celle de la détresse initiale. Mais qui est mon semblable ? Celui dont je reconnais la proximité, et dont je peux me décider à m'approcher. La relation, capacité à se tenir proche, réouvre un monde commun. La phénoménologie de la relation en situations extrêmes permet d'esquisser une éthique de la « prochaineté ».