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  • Nombre de pages528
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-23659-3
  • EAN9782226236593
  • Date de parution06/06/2014
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

8 octobre 1908 : Adolf Hitler recalé. Que se serait-il passé si l'Ecole des beaux-arts de Vienne en avait décidé autrement ? Que serait-il arrivé si, cette minute-là, le jury avait accepté et non refusé Adolf Hitler, flatté puis épanoui ses ambitions d'artiste ? Cette minute-là aurait changé le cours d'une vie, celle du jeune, timide et passionné Adolf Hitler, mais elle aurait aussi changé le cours du monde...
8 octobre 1908 : Adolf Hitler recalé. Que se serait-il passé si l'Ecole des beaux-arts de Vienne en avait décidé autrement ? Que serait-il arrivé si, cette minute-là, le jury avait accepté et non refusé Adolf Hitler, flatté puis épanoui ses ambitions d'artiste ? Cette minute-là aurait changé le cours d'une vie, celle du jeune, timide et passionné Adolf Hitler, mais elle aurait aussi changé le cours du monde...

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

4 Coups de cœur
de nos libraires
Marion G. - 8Furet du Nord Plaisir
5/5
La minute qui a tout changé
Il suffit parfois d'une minute pour changer le cours du monde et c'est en 1908, lorsque l'académie des beaux arts de Vienne a prononcé la phrase "Adolf Hitler: recalé" que tout s'est joué pour Adolf H. Au sein d'un double scénario biographique, l'auteur nous entraîne à la découverte des deux faces d'un même personnage et de deux parcours de vie radicalement opposés. D'un côté, le personnage historique tel que nous le connaissons à la tête d'un mouvement nationaliste et de l'autre, un homme passionné et timide qui part à la découverte des arts et des sentiments amoureux. Avec des si on pourrait refaire le monde. Avec des si, on peut se laisser entraîner par la plume étourdissante d'Éric Emmanuel Schmidt. A lire sans tarder!
Il suffit parfois d'une minute pour changer le cours du monde et c'est en 1908, lorsque l'académie des beaux arts de Vienne a prononcé la phrase "Adolf Hitler: recalé" que tout s'est joué pour Adolf H. Au sein d'un double scénario biographique, l'auteur nous entraîne à la découverte des deux faces d'un même personnage et de deux parcours de vie radicalement opposés. D'un côté, le personnage historique tel que nous le connaissons à la tête d'un mouvement nationaliste et de l'autre, un homme passionné et timide qui part à la découverte des arts et des sentiments amoureux. Avec des si on pourrait refaire le monde. Avec des si, on peut se laisser entraîner par la plume étourdissante d'Éric Emmanuel Schmidt. A lire sans tarder!
.Furet du Nord Villeneuve d'Ascq
4/5
LA PART DE L'AUTRE
Que serait devenu Hitler s’il avait été admis à l’école des Beaux-Arts de Vienne ? Cela aurait influencé le cours de sa vie, mais aussi celui du monde.
Que serait devenu Hitler s’il avait été admis à l’école des Beaux-Arts de Vienne ? Cela aurait influencé le cours de sa vie, mais aussi celui du monde.
VirginiaFuret du Nord Coquelles
4/5
LA PART DE L'AUTRE
"Avec des si on referait le monde" Avec un "si", E.E.Schmitt change le cours de l'histoire. En chacun de nous, n'y a-t-il pas une part de l'autre?
"Avec des si on referait le monde" Avec un "si", E.E.Schmitt change le cours de l'histoire. En chacun de nous, n'y a-t-il pas une part de l'autre?
juliepetitponeyFuret du Nord Lille
4/5
Et si ...
Et si Hitler avait réussi son concours d'entrée à l'école des Beaux-Arts ? C'est sur cette probabilité historique qu'Eric Emmanuel SCHMITT base ce livre fascinant où la réalité se mélange à la fiction de manière si époustouflante qu'on reste accroché au roman jusqu'à la dernière page. Un régal
Et si Hitler avait réussi son concours d'entrée à l'école des Beaux-Arts ? C'est sur cette probabilité historique qu'Eric Emmanuel SCHMITT base ce livre fascinant où la réalité se mélange à la fiction de manière si époustouflante qu'on reste accroché au roman jusqu'à la dernière page. Un régal

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 144 notes dont 20 avis lecteurs
Adolf H.
Grosse prise de risque pour l'auteur et véritable coup de cœur à l'arrivée ! Eric-Emmanuel Schmitt a décidé de prendre Hitler comme sujet de son roman. Comme il l'explique dans son journal, contre l'avis de certains de ses proches, il a voulu comprendre le dictateur. Comme il le dit : "Comprendre n'est pas justifier". La construction du roman participe à sa réussite. L'auteur raconte en parallèle la vie d'Hitler, le vrai, celui qui rate le concours d'entrée à l'Ecole des Beaux-Arts et qui se suicidera dans son bunker et la vie d'Adolf H. qui est accepté à l'Ecole des Beaux-Arts, qui vivra tant bien que mal de sa peinture. Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est que l'auteur ne considère pas que le hasard seul a créé un tel monstre. Tout est une question de choix. Hitler ne perçoit pas le refus des Beaux-Arts comme il le devrait. Au lieu de réaliser ses lacunes et son absence de talent, il y voit la bêtise et le mauvais goût de ses professeurs. Adolf H. a conscience du travail à effectuer. Hitler a un problème avec les femmes qu'il ne réglera jamais. Longtemps vierge, il déteste son corps et celui des autres. Les femmes qui l'aimeront se suicideront ou tenteront de se suicides. Adolf H. a également un problème avec les femmes et la nudité mais se fera soigner. L'auteur invente alors une scène improbable entre Hitler et Freud. Alors que nous sommes évidemment horrifiés par la naissance d'Hitler, homme sans charme, sans charisme, et à qui seul la haine, et en particulier l'antisémitisme, donnera l'éloquence. Mais Adolf F. nous ressemble, ressent des émotions que nous connaissons, à tel point que l'on oublie qu'il est Hitler, lui aussi. Ce sont les personnages de femmes en particulier qui rendent Adolf F. si humain. Le personnage Onze Heure Trente est charmant, touchant, attachant. Dans son journal, l'auteur nous fait comprendre qu'elle est inspirée d'une femme qu'il a aimée et ça se ressent ! L'auteur ne s'attarde pas sur l'antisémitisme ou les camps de la mort. Pourtant, les faits historiques sont là et le contexte est justement rapporté. Autre originalité du roman, l'auteur a voulu imaginer le monde sans Hitler, en particulier l'Allemagne sans Hitler. En effet, dans le monde d' Adolf H., pas de dictature, pas de déportation. Il imagine alors une Allemagne surpuissante, un Allemand marchant pour la première fois sur la Lune ! En résumé un excellent roman, construit avec beaucoup d’intelligence, et avec une écriture très agréable. J’avais déjà pu apprécier le style de l’auteur dans Oscar et la dame en rose, je suis désormais totalement conquise ! « Il n’y a aucun arbitraire mais un principe philosophique et une visée éthique : j’élabore un double portrait antagoniste. Adolf H. cherche à se comprendre tandis que le véritable Hitler s’ignore. Adolf H. reconnait en lui l’existence de problèmes tandis qu’Hitler les enterre. Adolf H. guérit et s’ouvre aux autres tandis qu’Hitler s’enfonce dans sa névrose en se coupant de tous rapports humains. Adolf H. affronte la réalité tandis qu’Hitler la nie dès qu’elle contrarie ses désirs. Adolf F. apprend l’humilité tandis qu’Hitler devient le Führer, un dieu vivant. Adolf H. s’ouvre au monde ; Hitler le détruit pour le refaire » Journal de La part de l’autre publié en postface
Grosse prise de risque pour l'auteur et véritable coup de cœur à l'arrivée ! Eric-Emmanuel Schmitt a décidé de prendre Hitler comme sujet de son roman. Comme il l'explique dans son journal, contre l'avis de certains de ses proches, il a voulu comprendre le dictateur. Comme il le dit : "Comprendre n'est pas justifier". La construction du roman participe à sa réussite. L'auteur raconte en parallèle la vie d'Hitler, le vrai, celui qui rate le concours d'entrée à l'Ecole des Beaux-Arts et qui se suicidera dans son bunker et la vie d'Adolf H. qui est accepté à l'Ecole des Beaux-Arts, qui vivra tant bien que mal de sa peinture. Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est que l'auteur ne considère pas que le hasard seul a créé un tel monstre. Tout est une question de choix. Hitler ne perçoit pas le refus des Beaux-Arts comme il le devrait. Au lieu de réaliser ses lacunes et son absence de talent, il y voit la bêtise et le mauvais goût de ses professeurs. Adolf H. a conscience du travail à effectuer. Hitler a un problème avec les femmes qu'il ne réglera jamais. Longtemps vierge, il déteste son corps et celui des autres. Les femmes qui l'aimeront se suicideront ou tenteront de se suicides. Adolf H. a également un problème avec les femmes et la nudité mais se fera soigner. L'auteur invente alors une scène improbable entre Hitler et Freud. Alors que nous sommes évidemment horrifiés par la naissance d'Hitler, homme sans charme, sans charisme, et à qui seul la haine, et en particulier l'antisémitisme, donnera l'éloquence. Mais Adolf F. nous ressemble, ressent des émotions que nous connaissons, à tel point que l'on oublie qu'il est Hitler, lui aussi. Ce sont les personnages de femmes en particulier qui rendent Adolf F. si humain. Le personnage Onze Heure Trente est charmant, touchant, attachant. Dans son journal, l'auteur nous fait comprendre qu'elle est inspirée d'une femme qu'il a aimée et ça se ressent ! L'auteur ne s'attarde pas sur l'antisémitisme ou les camps de la mort. Pourtant, les faits historiques sont là et le contexte est justement rapporté. Autre originalité du roman, l'auteur a voulu imaginer le monde sans Hitler, en particulier l'Allemagne sans Hitler. En effet, dans le monde d' Adolf H., pas de dictature, pas de déportation. Il imagine alors une Allemagne surpuissante, un Allemand marchant pour la première fois sur la Lune ! En résumé un excellent roman, construit avec beaucoup d’intelligence, et avec une écriture très agréable. J’avais déjà pu apprécier le style de l’auteur dans Oscar et la dame en rose, je suis désormais totalement conquise ! « Il n’y a aucun arbitraire mais un principe philosophique et une visée éthique : j’élabore un double portrait antagoniste. Adolf H. cherche à se comprendre tandis que le véritable Hitler s’ignore. Adolf H. reconnait en lui l’existence de problèmes tandis qu’Hitler les enterre. Adolf H. guérit et s’ouvre aux autres tandis qu’Hitler s’enfonce dans sa névrose en se coupant de tous rapports humains. Adolf H. affronte la réalité tandis qu’Hitler la nie dès qu’elle contrarie ses désirs. Adolf F. apprend l’humilité tandis qu’Hitler devient le Führer, un dieu vivant. Adolf H. s’ouvre au monde ; Hitler le détruit pour le refaire » Journal de La part de l’autre publié en postface
Challenge réussi !
J'étais vraiment curieuse de savoir comment EE Schmitt allait gérer ce thème si lourd. Il l'a fait, il a réussi. Ce livre est parfois dur à lire émotionnellement parlant car il met des mots sur une personnalité que tout le monde connaît, mais qu'on ne connaît pas forcément aussi "intimement" ... Cette mise en parallèle des 2 personnages est une excellente idée pour bien comprendre la progression de chaque personnage. Les descriptions des personnages, des événements sont captivantes. Le journal d'écriture est quant à lui très utile. Il le fut en tout cas pour moi quand à un moment j'étouffais un peu dans les passages sur Hitler. J'ai compris le pourquoi de cet exercice. Je conseille vivement la lecture de ce roman pour que personne n'oublie jamais ce qu'un être humain, aussi insignifiant soit-il au départ, est capable de faire. Mais aussi pour se dire qu'en fonction de nos choix, tout peut finalement être différent ...
J'étais vraiment curieuse de savoir comment EE Schmitt allait gérer ce thème si lourd. Il l'a fait, il a réussi. Ce livre est parfois dur à lire émotionnellement parlant car il met des mots sur une personnalité que tout le monde connaît, mais qu'on ne connaît pas forcément aussi "intimement" ... Cette mise en parallèle des 2 personnages est une excellente idée pour bien comprendre la progression de chaque personnage. Les descriptions des personnages, des événements sont captivantes. Le journal d'écriture est quant à lui très utile. Il le fut en tout cas pour moi quand à un moment j'étouffais un peu dans les passages sur Hitler. J'ai compris le pourquoi de cet exercice. Je conseille vivement la lecture de ce roman pour que personne n'oublie jamais ce qu'un être humain, aussi insignifiant soit-il au départ, est capable de faire. Mais aussi pour se dire qu'en fonction de nos choix, tout peut finalement être différent ...
  • Indispensable
  • Terrifiant
  • XXe siècle
  • France
  • Allemagne - Autriche
  • Surprenant
  • Adolf H
Osé !
Il fallait le faire : imaginer cet homme sous un autre angle et au fil des pages, lui brosser un double "humain". J'ai adoré cette façon d'aborder la question du choix, de l'opportunité à saisir pour que la vie (ici la sienne et celle de l'humanité) prenne un sens nouveau, différent. Choix auquel nous sommes constamment confrontés, tous, même si nous ne sommes pas tous de grands psychopathes devant rencontrer Freud pour guérir nos blessures profondes et prendre de bonnes décisions... Quoi que. Merci EES !
Il fallait le faire : imaginer cet homme sous un autre angle et au fil des pages, lui brosser un double "humain". J'ai adoré cette façon d'aborder la question du choix, de l'opportunité à saisir pour que la vie (ici la sienne et celle de l'humanité) prenne un sens nouveau, différent. Choix auquel nous sommes constamment confrontés, tous, même si nous ne sommes pas tous de grands psychopathes devant rencontrer Freud pour guérir nos blessures profondes et prendre de bonnes décisions... Quoi que. Merci EES !
  • Inattendu
Un livre osé
En entamant ce livre, j'ai eu la surprise de découvrir deux histoires en parallèle : une où Hitler échoue, et une autre où il réussi. J'ai trouvé cela vraiment original. Je vous avoue que je me suis identifiée au début à Hitler. Cela peut sembler monstrueux mais en finissant ce livre j'ai compris que cela ne l'était pas. En effet, au début Hitler est un être humain avec ses défauts et ses qualités - comme vous et moi, même si cela fait vraiment peur. "La part de l'autre" a une dimension historique. En effet on en apprend beaucoup sur l'enfance, la vie d'Hitler, et sur la 1ère et 2ème guerre mondiale. Ce livre est long, je dirais parfois même trop long, mais l'auteur a voulu retranscrire la vie d'Hitler du moment ou il échoue/réussi jusqu'au moment où il meurt ; alors qui pourrait lui en vouloir ? Mais j'ai tout de même eu du mal à être prise dans l'histoire... il faut s'accrocher ! Lors de ma lecture, je me suis demandée dans quelle voie Eric-Emmanuel Schmitt allait nous mener, allait-il nous montrer que c'était l'échec d'Hitler qui l'avait fait basculé du mauvais côté ? Que avec ou sans échec on ne peut pas changer sa nature profonde ? ou que quoi qu'il arrive, un autre qu'Hitler aurait pris sa place ? Pour le découvrir, je vous invite à lire ce livre ! Ce livre est vraiment déstabilisant. On s'attache vite à l'Adolf Hitler qui réussi, à l'homme qu'il aurait pu être. Cette histoire romancé m'a plus, mais certains passages m'ont laissé sceptique, je n'y croyais pas vraiment. Je me suis en tout cas très attachée à Onze heure trente, qui sors vraiment du lot ! Mais c'est pourtant l'histoire du vrai Hitler qui passionne le plus dans ce livre. En effet, on comprend comment en croyant faire le bien, en se croyant supérieur, Hitler a pu devenir ce qu'il est devenu. Dans ce livre l'auteur essaie de comprendre Hitler (comprendre et non justifier, il le stipule). Mais je dois vous avouer que ce livre m'a fait ressentir toutefois un certain malaise, en effet qui peut vraiment savoir les pensées d'Hitler ? Mais je vous avoue que sans "le journal", ou Eric-Emmanuel Schmitt nous explique pourquoi il a écrit ce livre,je n'aurais pas pu apprécier "La part de l'autre" à sa juste valeur. En effet, il veut nous fait comprendre quelque chose de dérangeant mais de nécessaire : on a tous une part d'Adolf Hitler en nous. On se sent alors terriblement humain. Pour conclure, je ne peux que féliciter Eric-Emmanuel Schmitt qui s'est bien débrouillé avec un sujet aussi dangereux qu'est Hitler.
En entamant ce livre, j'ai eu la surprise de découvrir deux histoires en parallèle : une où Hitler échoue, et une autre où il réussi. J'ai trouvé cela vraiment original. Je vous avoue que je me suis identifiée au début à Hitler. Cela peut sembler monstrueux mais en finissant ce livre j'ai compris que cela ne l'était pas. En effet, au début Hitler est un être humain avec ses défauts et ses qualités - comme vous et moi, même si cela fait vraiment peur. "La part de l'autre" a une dimension historique. En effet on en apprend beaucoup sur l'enfance, la vie d'Hitler, et sur la 1ère et 2ème guerre mondiale. Ce livre est long, je dirais parfois même trop long, mais l'auteur a voulu retranscrire la vie d'Hitler du moment ou il échoue/réussi jusqu'au moment où il meurt ; alors qui pourrait lui en vouloir ? Mais j'ai tout de même eu du mal à être prise dans l'histoire... il faut s'accrocher ! Lors de ma lecture, je me suis demandée dans quelle voie Eric-Emmanuel Schmitt allait nous mener, allait-il nous montrer que c'était l'échec d'Hitler qui l'avait fait basculé du mauvais côté ? Que avec ou sans échec on ne peut pas changer sa nature profonde ? ou que quoi qu'il arrive, un autre qu'Hitler aurait pris sa place ? Pour le découvrir, je vous invite à lire ce livre ! Ce livre est vraiment déstabilisant. On s'attache vite à l'Adolf Hitler qui réussi, à l'homme qu'il aurait pu être. Cette histoire romancé m'a plus, mais certains passages m'ont laissé sceptique, je n'y croyais pas vraiment. Je me suis en tout cas très attachée à Onze heure trente, qui sors vraiment du lot ! Mais c'est pourtant l'histoire du vrai Hitler qui passionne le plus dans ce livre. En effet, on comprend comment en croyant faire le bien, en se croyant supérieur, Hitler a pu devenir ce qu'il est devenu. Dans ce livre l'auteur essaie de comprendre Hitler (comprendre et non justifier, il le stipule). Mais je dois vous avouer que ce livre m'a fait ressentir toutefois un certain malaise, en effet qui peut vraiment savoir les pensées d'Hitler ? Mais je vous avoue que sans "le journal", ou Eric-Emmanuel Schmitt nous explique pourquoi il a écrit ce livre,je n'aurais pas pu apprécier "La part de l'autre" à sa juste valeur. En effet, il veut nous fait comprendre quelque chose de dérangeant mais de nécessaire : on a tous une part d'Adolf Hitler en nous. On se sent alors terriblement humain. Pour conclure, je ne peux que féliciter Eric-Emmanuel Schmitt qui s'est bien débrouillé avec un sujet aussi dangereux qu'est Hitler.
  • Inattendu
A lire d'urgence!!!!!
Un livre qui raconte deux histoires en même temps dans la vie d’Hitler en tant que peintre, et l’autre en tant que soldat. Les histoires sont racontées d’une telle façon que ça m’a fait rentrer immédiatement dans les deux univers parallèles pendant tout mon parcours tout au long du livre. Très conseillé pour les gens qui sont passionnés comme moi par la deuxième guerre mondiale.
Un livre qui raconte deux histoires en même temps dans la vie d’Hitler en tant que peintre, et l’autre en tant que soldat. Les histoires sont racontées d’une telle façon que ça m’a fait rentrer immédiatement dans les deux univers parallèles pendant tout mon parcours tout au long du livre. Très conseillé pour les gens qui sont passionnés comme moi par la deuxième guerre mondiale.
  • Passionnant
  • XXe siècle
  • Hitler
  • Adolf H
Et si c'était vrai ?
c'est peu dire que ce roman est envoûtant et questionne, bien longtemps après sa lecture. Le dossier final permet d'en comprendre l'écriture. Eric Emmanuel Schmitt revient en effet sur des mois de labeur, entre crainte et exaltation, critiques et encouragements pour un roman qui ne va pas de soi. Comment décrire ce qu'aurait été Hitler s'il avait été valorisé, reconnu à sa juste valeur ? Comment ne pas réduire cette perception de l'homme à cela car, si l' on ne peut occulter l'enfance difficile d'Hitler et les circonstances qui l'ont influencé, on ne peut non plus affirmer que cela aurait changé la face du monde. toutefois je trouve intéressant de se pencher sur le problème et de s'interroger, à la manière d'un philosophe, et si ... Le roman est bien entendu extrêmement documenté et l'on sera peut-être surpris d'y apprendre qu'Hitler avait, dans sa jeunesse, des amis juifs et que cette haine ne lui est venue que bien plus tard, que rien n'avait germé dans son esprit durant son adolescence mais que c'est l'homme qui a fomenté tout ce que l'on sait à des fins purement égoistes. Alors, évidemment on en vient à le plaindre et le lecteur peut se demander s'il doit culpabiliser pour cela. mais Adolf H , son double, est là pour nous rappeler qu'il était avant tout un homme et que c'est en tant que tel qu'il a agi. Ne pas le voir comme un surhomme, ou un être hors norme, peut aider à comprendre l'enchainement d'événements, de circonstances qui l'ont mené à une telle folie. Eric Emmanuel Schmitt s'amuse toutefois à introduire la psychanalyse dans son roman en la personne de Freud mais aussi avec ce médecin qui soigne Hitler par hypnose et se sent par la suite responsable de ce nouveau déchainement de son patient contre l'humanité, persuadé qu'il doit accomplir une grande mission. Adolf H n'est pas pour autant tout blanc et j'avoue avoir été un peu génée dans ma lecture par la proximité des deux profils au départ. Mais c'est que les deux hommes portent en eux les mêmes souffrances et le même égocentrisme. L'un d'eux parviendra à mener un réel travail sur lui-même afin de se débarrasser de ses démons, l'autre les laissera évoluer et faire de lui un être sans coeur, écoeuré, froid. Un vingtième siècle sans Hitler , il fallait l'écrire ! Mais, avec tout le talent d'Eric Emmanuel Schmitt, c'est aussi une belle leçon sur la part de l'autre qui sommeille en nous...
c'est peu dire que ce roman est envoûtant et questionne, bien longtemps après sa lecture. Le dossier final permet d'en comprendre l'écriture. Eric Emmanuel Schmitt revient en effet sur des mois de labeur, entre crainte et exaltation, critiques et encouragements pour un roman qui ne va pas de soi. Comment décrire ce qu'aurait été Hitler s'il avait été valorisé, reconnu à sa juste valeur ? Comment ne pas réduire cette perception de l'homme à cela car, si l' on ne peut occulter l'enfance difficile d'Hitler et les circonstances qui l'ont influencé, on ne peut non plus affirmer que cela aurait changé la face du monde. toutefois je trouve intéressant de se pencher sur le problème et de s'interroger, à la manière d'un philosophe, et si ... Le roman est bien entendu extrêmement documenté et l'on sera peut-être surpris d'y apprendre qu'Hitler avait, dans sa jeunesse, des amis juifs et que cette haine ne lui est venue que bien plus tard, que rien n'avait germé dans son esprit durant son adolescence mais que c'est l'homme qui a fomenté tout ce que l'on sait à des fins purement égoistes. Alors, évidemment on en vient à le plaindre et le lecteur peut se demander s'il doit culpabiliser pour cela. mais Adolf H , son double, est là pour nous rappeler qu'il était avant tout un homme et que c'est en tant que tel qu'il a agi. Ne pas le voir comme un surhomme, ou un être hors norme, peut aider à comprendre l'enchainement d'événements, de circonstances qui l'ont mené à une telle folie. Eric Emmanuel Schmitt s'amuse toutefois à introduire la psychanalyse dans son roman en la personne de Freud mais aussi avec ce médecin qui soigne Hitler par hypnose et se sent par la suite responsable de ce nouveau déchainement de son patient contre l'humanité, persuadé qu'il doit accomplir une grande mission. Adolf H n'est pas pour autant tout blanc et j'avoue avoir été un peu génée dans ma lecture par la proximité des deux profils au départ. Mais c'est que les deux hommes portent en eux les mêmes souffrances et le même égocentrisme. L'un d'eux parviendra à mener un réel travail sur lui-même afin de se débarrasser de ses démons, l'autre les laissera évoluer et faire de lui un être sans coeur, écoeuré, froid. Un vingtième siècle sans Hitler , il fallait l'écrire ! Mais, avec tout le talent d'Eric Emmanuel Schmitt, c'est aussi une belle leçon sur la part de l'autre qui sommeille en nous...
  • XXe siècle
  • Hitler
  • Amour
  • guerre
  • Allemagne
  • identite
  • Solitude
  • nazisme
  • art
  • Adolf H
A lire !
J'avais très envie de lire ce livre en raison des divers avis favorables que j'ai pu voir. Mais aussi car j'apprécie beaucoup les oeuvres de Schmitt. Je n'ai vraiment pas été déçue. J'ai été tenu en haleine du début à la fin du roman! Il ne m'est jamais venue à l'idée d'imaginer Hitler sous un autre angle que celui que nous lui connaissons. Au début de l'histoire, j'ai plus eu tendance à m'attacher au vrai Hitler qu'au faux. J'avais de la pitié pour lui. Puis au fil des pages, la tendance s'est bien sûr inversée. Au final, on comprend un peu mieux pourquoi Hitler a fait ces horribles choses. Enfin comprendre est un bien grand mieux. Mais ça m'a permis quelques éclaircissements à son sujet. Je conseille vivement ce livre et cet auteur !
J'avais très envie de lire ce livre en raison des divers avis favorables que j'ai pu voir. Mais aussi car j'apprécie beaucoup les oeuvres de Schmitt. Je n'ai vraiment pas été déçue. J'ai été tenu en haleine du début à la fin du roman! Il ne m'est jamais venue à l'idée d'imaginer Hitler sous un autre angle que celui que nous lui connaissons. Au début de l'histoire, j'ai plus eu tendance à m'attacher au vrai Hitler qu'au faux. J'avais de la pitié pour lui. Puis au fil des pages, la tendance s'est bien sûr inversée. Au final, on comprend un peu mieux pourquoi Hitler a fait ces horribles choses. Enfin comprendre est un bien grand mieux. Mais ça m'a permis quelques éclaircissements à son sujet. Je conseille vivement ce livre et cet auteur !
Un homme, deux visages
Le roman raconte deux histoires en parallèle: celle d'Adolf Hitler, d'abord, tel que nous le connaissons et puis celle d'Adolf H., sorte de jumeau du premier mais qui aurait choisi la voie du Bien. Eric-Emmanuel SCHMITT est parti de l'idée que si Hitler n'avait pas échoué au concours d'entrée à l'école des beaux-arts il se serait épanoui dans la peinture, changeant ainsi le cours de sa vie et par conséquent le cours de l'Histoire. La partie concernant Hitler est extrêmement bien documentée. On croit tout savoir sur le personnage mais Eric-Emmanuel SCHMITT nous fait découvrir l'intimité d'Hitler, ses psychoses, ses névroses, ses frustrations, ses problèmes sexuels, toutes ses choses qui, accumulées, vont le conduire vers la folie. Dans les passages relatant la vie d'Adolf H., il laisse libre cours à son imagination. On fait la connaissance d'un jeune timide, introverti, passionné par son art et surtout conscient de ses problèmes même si il ne sait pas les expliquer. Il va donc se prendre en main et demander de l'aide. Cette vie romancée m'a beaucoup plû. Avec Adolf H., on étudie aux beaux-arts, on flâne dans la vienne d'après-guerre, on vit la vie de bohême à Paris, on aime, on se marie, on fait des enfants et surtout on évite la deuxième guerre mondiale. Le propos de SCHMITT est de nous montrer l'ambivalence de l'être humain qui a en lui le Bien et le Mal et qui fait ses choix de vie vers l'un ou vers l'autre. Il insiste sur le fait qu'Hitler est un être humain, qu'il fait partie de l'Humanité et que nous devons tous vivre avec l'idée que notre espèce est capable d'engendrer ce genre de personnalité. Son livre fait réfléchir et surtout laisse songeur quant à tout ce qui aurait pû être -et surtout ne pas être- si Hitler avait trouvé en lui la capacité d'assumer ses échecs. Un très beau livre qui marque l'esprit et qui continue à vivre en soi longtemps après que la dernière page se soit tournée.
Le roman raconte deux histoires en parallèle: celle d'Adolf Hitler, d'abord, tel que nous le connaissons et puis celle d'Adolf H., sorte de jumeau du premier mais qui aurait choisi la voie du Bien. Eric-Emmanuel SCHMITT est parti de l'idée que si Hitler n'avait pas échoué au concours d'entrée à l'école des beaux-arts il se serait épanoui dans la peinture, changeant ainsi le cours de sa vie et par conséquent le cours de l'Histoire. La partie concernant Hitler est extrêmement bien documentée. On croit tout savoir sur le personnage mais Eric-Emmanuel SCHMITT nous fait découvrir l'intimité d'Hitler, ses psychoses, ses névroses, ses frustrations, ses problèmes sexuels, toutes ses choses qui, accumulées, vont le conduire vers la folie. Dans les passages relatant la vie d'Adolf H., il laisse libre cours à son imagination. On fait la connaissance d'un jeune timide, introverti, passionné par son art et surtout conscient de ses problèmes même si il ne sait pas les expliquer. Il va donc se prendre en main et demander de l'aide. Cette vie romancée m'a beaucoup plû. Avec Adolf H., on étudie aux beaux-arts, on flâne dans la vienne d'après-guerre, on vit la vie de bohême à Paris, on aime, on se marie, on fait des enfants et surtout on évite la deuxième guerre mondiale. Le propos de SCHMITT est de nous montrer l'ambivalence de l'être humain qui a en lui le Bien et le Mal et qui fait ses choix de vie vers l'un ou vers l'autre. Il insiste sur le fait qu'Hitler est un être humain, qu'il fait partie de l'Humanité et que nous devons tous vivre avec l'idée que notre espèce est capable d'engendrer ce genre de personnalité. Son livre fait réfléchir et surtout laisse songeur quant à tout ce qui aurait pû être -et surtout ne pas être- si Hitler avait trouvé en lui la capacité d'assumer ses échecs. Un très beau livre qui marque l'esprit et qui continue à vivre en soi longtemps après que la dernière page se soit tournée.
Epoustouflant
Hitler, les Nazis, la seconde guerre mondiale... j'en ai lu tellement des livres à ce sujet. Mais je dois dire que "la part de l'autre" m'a fasciné.. je l'ai devoré en même pas une semaine et l'idée de "si jamais" m'a enormement plu.. comme quoi, il faut pas beaucoup pour changer le cours de l'histoire !
Hitler, les Nazis, la seconde guerre mondiale... j'en ai lu tellement des livres à ce sujet. Mais je dois dire que "la part de l'autre" m'a fasciné.. je l'ai devoré en même pas une semaine et l'idée de "si jamais" m'a enormement plu.. comme quoi, il faut pas beaucoup pour changer le cours de l'histoire !
  • Inattendu
  • Bouleversant
  • Intriguant
Eric-Emmanuel Schmitt
Le moins qu'on puisse dire d'Eric Emmanuel Schmitt, est qu'il est l'un des auteurs francophones les plus appréciés et les plus lus. Dramaturge, auteur de plusieurs romans et nouvelles, comédien et réalisateur, cet homme aux talents nombreux est lauréat de plusieurs dizaines de prix depuis 1993, pour ses nombreuses œuvres. De plus, ses pièces de théâtre sont encore jouées dans une cinquantaine de pays et ses livres sont traduits en 48 langues. Ses œuvres font également l'objet de plusieurs études analytiques dans les collèges et les lycées. Allons voir de plus près qui est Eric Emmanuel Schmitt, son histoire, ses débuts dans la littérature et ses livres les plus lus.

Son histoire

Eric est né le 28 mars 1960 à Sainte-Foy-lès-Lyon dans le Rhône, d'une mère championne en course à pied et d'un père champion en boxe. Il ne suivra pas la voie de ses parents, puisqu'il intègre les classes préparatoires littéraires pour les grandes écoles. Il poursuit ses études à l'Ecole normale supérieure et devient, ainsi, agrégé de philosophie en 1983. Il commença d'abord par enseigner au lycée Saint-Cyr (lycée militaire), dans le cadre de son service militaire, puis à l'Université de Besançon et au lycée de Cherbourg. Jusqu'en 1994, il enseigna à l'université de Chambéry, avant que son succès d'auteur ne le pousse à arrêter l'enseignement à l'Université. Il est de nationalité franco-belge depuis 2008, l'année durant laquelle il a obtenu la naturalisation belge après s'être installé à Bruxelles en 2002. En 2012, il y est élu à l'académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Suite à son succès, il devient membre du jury de l'Académie Goncourt en 2016.

Ses débuts dans la littérature

C'est grâce à « La Nuit de Valognes », pièce de théâtre publiée en 1991, que notre auteur se fera connaître comme dramaturge. Mais ce n'est qu'au bout de sa deuxième œuvre « Le Visiteur » que sa réputation dépassera les frontières de la France. Il a su mettre le théâtre au service de la philosophie et a continué à se pencher, à travers ses écrits, sur la condition humaine et pas que. Il remet sur la table les questions les plus existentielles, mais aussi les plus communes et celles qui donnent le plus à réfléchir. Il pousse ses lecteurs à s'identifier dans ses personnages, à vivre les situations qu'il imagine, à réfléchir aux questions qu'il se pose et auxquelles nous cherchons tous, intimement, une réponse. Il met à nu et présente au public, de la manière la plus simple mais aussi la plus philosophique qui soit, ses pensées, ses croyances et ses doutes. Vous saurez, ainsi, que bien qu'Eric ne soit pas qu'un dramaturge mais également un romancier et nouvelliste hors pair, toutefois, c'est bien le théâtre qui l'a immergé dans le monde de la littérature et l'a fait connaître au monde entier.

Eric Emmanuel Schmitt, ses meilleurs livres

La réputation d'Eric Emmanuel Schmitt n'est pas à refaire et ses œuvres ont toujours été appréciées par le public, l'objet d'études et de critiques, mais aussi de commentaires. Si cela pouvait témoigner d'une chose, ce serait la profondeur de ses pensées et de ses écrits. Il fait partie du top 10 des romanciers qui ont le plus vendu en France, en 2006, 2008, 2009, 2010 et en 2012
  • Le Visiteur, est sans doute la pièce théâtrale la plus connue d'Eric Emmanuel Schmitt puisqu'elle lui a valu son franc succès. Publiée en 1993, l'auteur y confronte le docteur Sigmund Freud, athée, à Dieu.
  • Oscar et la Dame Rose est l'un de ses romans, publié en 2002. Oscar est un jeune enfant âgé de 10 ans, atteint d'un cancer. Ce roman présentera les 12 lettres qu'il écrira à Dieu les 12 jours d'hospitalisation durant lesquelles une vieille dame lui rendra visite bénévolement.
  • La Part de l'Autre est un autre roman publié en 2001. Dans cette œuvre, Eric Emmanuel Schmitt se livre à l'uchronie et tente de réécrire l'Histoire. Histoire où Adolf Hitler n'a pas été recalé au concours des Beaux-arts à Vienne et n'a jamais rejoint le parti nazi.
  • Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran est un récit autobiographique fictif, publié par l'auteur en 2001. Momo, le personnage principal et enfant juif âgé de 11 ans, rencontre monsieur Ibrahim, un vieil épicier musulman. Ces deux nouveaux amis se donnent aux conversations les plus ordinaires, mais aussi les plus singulières.
  • Ne citer que les œuvres littéraires d'Eric Emmanuel Schmitt, c'est ignorer son rêve d'enfant et son désir de devenir acteur. Il est d'abord réalisateur et réalise l'adaptation cinématographique de ses deux œuvres Odette Toulemonde et Oscar et la dame rose, en 2006 et 2009, respectivement. Il poursuit sa carrière comme comédien et interprète plusieurs rôles.
La rivale
Eric-Emmanuel Schmitt
Poche
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