La Mort aux yeux de cristal
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- Nombre de pages120
- FormatEpub fixed layout
- ISBN978-2-331-03819-8
- EAN9782331038198
- Date de parution04/07/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille79 Mo
- ÉditeurGlénat BD
Résumé
Tremblez devant le premier Giallo dessiné !Rome. Radka Sukova est l'égérie d'un très grand styliste français. Réputée pour avoir les plus beaux yeux du monde, elle nourrit les fantasmes et les convoitises. Très à l'aise avec son statut d'icône, elle déchante le jour où elle apprend que son sosie a été assassinée, énucléée, ses yeux remplacés par deux morceaux de cristal taillé. Cette « signature » ne laisse planer aucun doute : la véritable cible, c'était Radka ! L'enquête, confiée au commissaire Cornélia, la mènera sur les traces d'un meurtrier appartenant à une communauté fantastique et obéissant à une mystérieuse entité, noire comme les nuits sans rêves...
Connaissez-vous le « Giallo » ? Ce genre de films d'exploitation italiens auxquels sont associés les noms de Dario Argento ou Mario Bava, nourrit un véritable culte auprès des cinéphiles du monde entier. Un genre à l'identité visuelle et sonore (souvent signée Ennio Morricone) très marquées, dont Lancelot Hamelin et Étienne Oburie, qui signe ici son premier ouvrage, s'emparent avec une maestria qui force le respect.
Dans la grande tradition du Giallo, ils livrent un récit de série B à la frontière du polar, de l'horreur et de l'érotisme où, derrière le masque du divertissement, émergent un vrai propos d'auteur - ici, la critique de la marchandisation du corps féminin - et des idées de mise en scène audacieuses.
Connaissez-vous le « Giallo » ? Ce genre de films d'exploitation italiens auxquels sont associés les noms de Dario Argento ou Mario Bava, nourrit un véritable culte auprès des cinéphiles du monde entier. Un genre à l'identité visuelle et sonore (souvent signée Ennio Morricone) très marquées, dont Lancelot Hamelin et Étienne Oburie, qui signe ici son premier ouvrage, s'emparent avec une maestria qui force le respect.
Dans la grande tradition du Giallo, ils livrent un récit de série B à la frontière du polar, de l'horreur et de l'érotisme où, derrière le masque du divertissement, émergent un vrai propos d'auteur - ici, la critique de la marchandisation du corps féminin - et des idées de mise en scène audacieuses.
Tremblez devant le premier Giallo dessiné !Rome. Radka Sukova est l'égérie d'un très grand styliste français. Réputée pour avoir les plus beaux yeux du monde, elle nourrit les fantasmes et les convoitises. Très à l'aise avec son statut d'icône, elle déchante le jour où elle apprend que son sosie a été assassinée, énucléée, ses yeux remplacés par deux morceaux de cristal taillé. Cette « signature » ne laisse planer aucun doute : la véritable cible, c'était Radka ! L'enquête, confiée au commissaire Cornélia, la mènera sur les traces d'un meurtrier appartenant à une communauté fantastique et obéissant à une mystérieuse entité, noire comme les nuits sans rêves...
Connaissez-vous le « Giallo » ? Ce genre de films d'exploitation italiens auxquels sont associés les noms de Dario Argento ou Mario Bava, nourrit un véritable culte auprès des cinéphiles du monde entier. Un genre à l'identité visuelle et sonore (souvent signée Ennio Morricone) très marquées, dont Lancelot Hamelin et Étienne Oburie, qui signe ici son premier ouvrage, s'emparent avec une maestria qui force le respect.
Dans la grande tradition du Giallo, ils livrent un récit de série B à la frontière du polar, de l'horreur et de l'érotisme où, derrière le masque du divertissement, émergent un vrai propos d'auteur - ici, la critique de la marchandisation du corps féminin - et des idées de mise en scène audacieuses.
Connaissez-vous le « Giallo » ? Ce genre de films d'exploitation italiens auxquels sont associés les noms de Dario Argento ou Mario Bava, nourrit un véritable culte auprès des cinéphiles du monde entier. Un genre à l'identité visuelle et sonore (souvent signée Ennio Morricone) très marquées, dont Lancelot Hamelin et Étienne Oburie, qui signe ici son premier ouvrage, s'emparent avec une maestria qui force le respect.
Dans la grande tradition du Giallo, ils livrent un récit de série B à la frontière du polar, de l'horreur et de l'érotisme où, derrière le masque du divertissement, émergent un vrai propos d'auteur - ici, la critique de la marchandisation du corps féminin - et des idées de mise en scène audacieuses.