La matière et son éminence grise. Des expériences de mort imminente à l’énigme de la conscience
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- Nombre de pages246
- FormatPDF
- ISBN978-2-336-49970-3
- EAN9782336499703
- Date de parution06/02/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les Expériences de Mort Imminente (EMI) apparaissent classiquement dans le contexte d'une menace vitale et se composent, entre autres, d'une phase transcendante qui bouleverse les valeurs de ceux (les expérienceurs) qui prétendent l'avoir vécue. Si la recherche s'est largement développée dans ce domaine, elle ne peut rendre compte de la phénoménologie si singulière de ces expériences psychiquement intenses.
À partir de cette énigme scientifique, l'auteur questionne les fondements du matérialisme scientifique et les confronte aux paradoxes qu'ils impliquent dans l'appréhension de ce que l'on nomme communément l'esprit.
En toute logique, si tout est matière, alors nos vies subjectives devraient être reléguées au statut d'épiphénomènes sans activité causale, inactivité qui condamne l'auto-détermination du sujet à n'être rien d'autre qu'une illusion. Cet épiphénoménisme, qui incombe au matérialisme réductionniste, demeure inavoué, ceci en dépit des nombreux indices théoriques qui en dévoilent l'existence. Mais la science peut-elle légitimement se départir de ces contradictions en considérant la conscience comme une entité qui transcende la matérialité du corps ? Rien n'est moins sûr, car, pour y parvenir, il lui faudrait franchir les frontières de notre réalité, au risque d'empiéter sur un territoire lui étant fondamentalement interdit et que tant d'expérienceurs ont la conviction d'avoir approché à l'occasion de leur escapade hors du corps, un territoire supposément régi par les lois d'un au-delà, celui du réel.
En toute logique, si tout est matière, alors nos vies subjectives devraient être reléguées au statut d'épiphénomènes sans activité causale, inactivité qui condamne l'auto-détermination du sujet à n'être rien d'autre qu'une illusion. Cet épiphénoménisme, qui incombe au matérialisme réductionniste, demeure inavoué, ceci en dépit des nombreux indices théoriques qui en dévoilent l'existence. Mais la science peut-elle légitimement se départir de ces contradictions en considérant la conscience comme une entité qui transcende la matérialité du corps ? Rien n'est moins sûr, car, pour y parvenir, il lui faudrait franchir les frontières de notre réalité, au risque d'empiéter sur un territoire lui étant fondamentalement interdit et que tant d'expérienceurs ont la conviction d'avoir approché à l'occasion de leur escapade hors du corps, un territoire supposément régi par les lois d'un au-delà, celui du réel.
Les Expériences de Mort Imminente (EMI) apparaissent classiquement dans le contexte d'une menace vitale et se composent, entre autres, d'une phase transcendante qui bouleverse les valeurs de ceux (les expérienceurs) qui prétendent l'avoir vécue. Si la recherche s'est largement développée dans ce domaine, elle ne peut rendre compte de la phénoménologie si singulière de ces expériences psychiquement intenses.
À partir de cette énigme scientifique, l'auteur questionne les fondements du matérialisme scientifique et les confronte aux paradoxes qu'ils impliquent dans l'appréhension de ce que l'on nomme communément l'esprit.
En toute logique, si tout est matière, alors nos vies subjectives devraient être reléguées au statut d'épiphénomènes sans activité causale, inactivité qui condamne l'auto-détermination du sujet à n'être rien d'autre qu'une illusion. Cet épiphénoménisme, qui incombe au matérialisme réductionniste, demeure inavoué, ceci en dépit des nombreux indices théoriques qui en dévoilent l'existence. Mais la science peut-elle légitimement se départir de ces contradictions en considérant la conscience comme une entité qui transcende la matérialité du corps ? Rien n'est moins sûr, car, pour y parvenir, il lui faudrait franchir les frontières de notre réalité, au risque d'empiéter sur un territoire lui étant fondamentalement interdit et que tant d'expérienceurs ont la conviction d'avoir approché à l'occasion de leur escapade hors du corps, un territoire supposément régi par les lois d'un au-delà, celui du réel.
En toute logique, si tout est matière, alors nos vies subjectives devraient être reléguées au statut d'épiphénomènes sans activité causale, inactivité qui condamne l'auto-détermination du sujet à n'être rien d'autre qu'une illusion. Cet épiphénoménisme, qui incombe au matérialisme réductionniste, demeure inavoué, ceci en dépit des nombreux indices théoriques qui en dévoilent l'existence. Mais la science peut-elle légitimement se départir de ces contradictions en considérant la conscience comme une entité qui transcende la matérialité du corps ? Rien n'est moins sûr, car, pour y parvenir, il lui faudrait franchir les frontières de notre réalité, au risque d'empiéter sur un territoire lui étant fondamentalement interdit et que tant d'expérienceurs ont la conviction d'avoir approché à l'occasion de leur escapade hors du corps, un territoire supposément régi par les lois d'un au-delà, celui du réel.