La grande muraille de Chine. Histoire et évolution d'un symbole
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages244
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-46055-3
- EAN9782296460553
- Date de parution01/05/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille12 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Pour le monde entier, la Grande Muraille de Chine est un immense mur de pierres, joignant sans interruption le désert de Gobi et la mer de Chine, construit deux siècles avant notre ère pour se protéger des invasions, un grand objet de fierté pour les Chinois. Cet ouvrage retrace son histoire, qui révèle une tout autre image : en terre battue, discontinue, faite pour attaquer plus que pour défendre, détestée depuis toujours par les Chinois comme un symbole d'oppression.
C'est seulement depuis un siècle que certains de leurs dirigeants ont choisi d'en faire un symbole d'identification positive. Ils y ont réussi. Mais au-delà de ces faits peu connus, cet ouvrage s'attache à rechercher pourquoi les Chinois ont bâti une si grande quantité de murailles, tout au long de leur histoire : construire des murs était pour eux une solution familière, un moyen de contrôle, d'abord appliqué aux eaux du fleuve Jaune, puis aux peuples voisins.
Il analyse les avantages et les inconvénients qu'ont eus pour eux tous ces murs et les spécificités de l'organisation sociale qui les a rendus nécessaires. Enfin, l'auteur va à la recherche des autres "Grandes Murailles", électroniques (Internet), végétales, militaires, etc., que l'Etat chinois construit et entretient actuellement et des "petites Grandes Murailles" que les Chinois élèvent encore de nos jours, dans leur vie quotidienne.
Il soutient l'idée selon laquelle il y aurait, chez tous les humains, une propension à bâtir des murs, mais que cette propension serait plus forte que la moyenne chez les Chinois: il ouvre le débat à ce sujet.
C'est seulement depuis un siècle que certains de leurs dirigeants ont choisi d'en faire un symbole d'identification positive. Ils y ont réussi. Mais au-delà de ces faits peu connus, cet ouvrage s'attache à rechercher pourquoi les Chinois ont bâti une si grande quantité de murailles, tout au long de leur histoire : construire des murs était pour eux une solution familière, un moyen de contrôle, d'abord appliqué aux eaux du fleuve Jaune, puis aux peuples voisins.
Il analyse les avantages et les inconvénients qu'ont eus pour eux tous ces murs et les spécificités de l'organisation sociale qui les a rendus nécessaires. Enfin, l'auteur va à la recherche des autres "Grandes Murailles", électroniques (Internet), végétales, militaires, etc., que l'Etat chinois construit et entretient actuellement et des "petites Grandes Murailles" que les Chinois élèvent encore de nos jours, dans leur vie quotidienne.
Il soutient l'idée selon laquelle il y aurait, chez tous les humains, une propension à bâtir des murs, mais que cette propension serait plus forte que la moyenne chez les Chinois: il ouvre le débat à ce sujet.
Pour le monde entier, la Grande Muraille de Chine est un immense mur de pierres, joignant sans interruption le désert de Gobi et la mer de Chine, construit deux siècles avant notre ère pour se protéger des invasions, un grand objet de fierté pour les Chinois. Cet ouvrage retrace son histoire, qui révèle une tout autre image : en terre battue, discontinue, faite pour attaquer plus que pour défendre, détestée depuis toujours par les Chinois comme un symbole d'oppression.
C'est seulement depuis un siècle que certains de leurs dirigeants ont choisi d'en faire un symbole d'identification positive. Ils y ont réussi. Mais au-delà de ces faits peu connus, cet ouvrage s'attache à rechercher pourquoi les Chinois ont bâti une si grande quantité de murailles, tout au long de leur histoire : construire des murs était pour eux une solution familière, un moyen de contrôle, d'abord appliqué aux eaux du fleuve Jaune, puis aux peuples voisins.
Il analyse les avantages et les inconvénients qu'ont eus pour eux tous ces murs et les spécificités de l'organisation sociale qui les a rendus nécessaires. Enfin, l'auteur va à la recherche des autres "Grandes Murailles", électroniques (Internet), végétales, militaires, etc., que l'Etat chinois construit et entretient actuellement et des "petites Grandes Murailles" que les Chinois élèvent encore de nos jours, dans leur vie quotidienne.
Il soutient l'idée selon laquelle il y aurait, chez tous les humains, une propension à bâtir des murs, mais que cette propension serait plus forte que la moyenne chez les Chinois: il ouvre le débat à ce sujet.
C'est seulement depuis un siècle que certains de leurs dirigeants ont choisi d'en faire un symbole d'identification positive. Ils y ont réussi. Mais au-delà de ces faits peu connus, cet ouvrage s'attache à rechercher pourquoi les Chinois ont bâti une si grande quantité de murailles, tout au long de leur histoire : construire des murs était pour eux une solution familière, un moyen de contrôle, d'abord appliqué aux eaux du fleuve Jaune, puis aux peuples voisins.
Il analyse les avantages et les inconvénients qu'ont eus pour eux tous ces murs et les spécificités de l'organisation sociale qui les a rendus nécessaires. Enfin, l'auteur va à la recherche des autres "Grandes Murailles", électroniques (Internet), végétales, militaires, etc., que l'Etat chinois construit et entretient actuellement et des "petites Grandes Murailles" que les Chinois élèvent encore de nos jours, dans leur vie quotidienne.
Il soutient l'idée selon laquelle il y aurait, chez tous les humains, une propension à bâtir des murs, mais que cette propension serait plus forte que la moyenne chez les Chinois: il ouvre le débat à ce sujet.