La Casati

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  • Nombre de pages288
  • FormatePub
  • ISBN978-2-234-07044-8
  • EAN9782234070448
  • Date de parution27/04/2011
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille325 Ko
  • ÉditeurStock

Résumé

Née en 1881, la plus riche héritière d'Italie est morte en 1957, fouillant les poubelles de Londres. Luisa Amman, dite « La Casati », n'était pas belle, elle était spectaculaire. Brillante, exhibitionniste, fascinante, imprévisible et prenant l'extravagance très au sérieux, elle voulait « faire de sa vie une oeuvre d'art ». Muse de Gabriele d'Annunzio, Serge Diaghilev ou Léon Bakst, amie d'Isadora Duncan, d'Augustus John ou de Man Ray.
quelle curieuse injustice que l'une des femmes les plus portraiturées de l'Histoire, avec la Vierge Marie et Cléopâtre, soit si peu connue du grand public. Pour Camille de Peretti, écrire le roman de la marquise Casati, c'est aussi s'interroger sur la démarche du biographe (empathie ou duel ?), tenter de se mettre à la place d'une autre, la faire parler d'entre les morts, recouper des suppositions.
« Peu importe que la Casati ait ou non habité le Palazzo dei Leoni à Venise. Car c'est moi qui dormirai dans son lit. » Au gré d'allers-retours audacieux entre sa propre histoire et celle de ce personnage hors du commun, l'auteur redonne vie et démesure à cette héroïne oubliée de la première moitié du xxe siècle qui a inspiré les plus grands artistes de son temps.
Née en 1881, la plus riche héritière d'Italie est morte en 1957, fouillant les poubelles de Londres. Luisa Amman, dite « La Casati », n'était pas belle, elle était spectaculaire. Brillante, exhibitionniste, fascinante, imprévisible et prenant l'extravagance très au sérieux, elle voulait « faire de sa vie une oeuvre d'art ». Muse de Gabriele d'Annunzio, Serge Diaghilev ou Léon Bakst, amie d'Isadora Duncan, d'Augustus John ou de Man Ray.
quelle curieuse injustice que l'une des femmes les plus portraiturées de l'Histoire, avec la Vierge Marie et Cléopâtre, soit si peu connue du grand public. Pour Camille de Peretti, écrire le roman de la marquise Casati, c'est aussi s'interroger sur la démarche du biographe (empathie ou duel ?), tenter de se mettre à la place d'une autre, la faire parler d'entre les morts, recouper des suppositions.
« Peu importe que la Casati ait ou non habité le Palazzo dei Leoni à Venise. Car c'est moi qui dormirai dans son lit. » Au gré d'allers-retours audacieux entre sa propre histoire et celle de ce personnage hors du commun, l'auteur redonne vie et démesure à cette héroïne oubliée de la première moitié du xxe siècle qui a inspiré les plus grands artistes de son temps.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

1/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
la casati ou la peretti ??
.Je ne connaissais ni la Marquise de Casati ni Mme de Peretti - non je n'ai pas la télé... mais le prière d'insérer me laissait penser que ce livre était une évocation de la Casati qui me semblait avoir eu une vie interessante donc étant toujours passionnée par ces femmes qui ont inspire des artistes je me suis dit allons-y ! Et voilà : je connais aujourd'hui davantage la vie de cette Peretti, qui à part s'être mariée assez jeune après une courte crise d'anorexie, avoir divorcée et avoir déjà visiblement déjà raconté tout ça dans ces livres antérieurs n'a pas eu une vie folichonne, enfin pas de quoi en faire un livre et surtout RIEN qui ne justifie qu'un éditeur finance ce petit journal intime, car la vie de la Casati n'est qu'un prétexte pour parler de soi, travers ô combien contemporain de nos pseudo-écrivains français ! Surtout qu'ensuite j'ai lu une vraie biographie de la Casati et donc je me suis bien rendue compte que mme de peretti n'a fait qu'insérer quelques anecdotes prises dans ce livre parmi les bribes de sa vie à elle combien plus passionnantes pour les lecteurs n'est-ce pas ! Son mari si beau mais si injuste, et pourtant elle est grande ce qui semble être le summum chez un être humain ! rendez-vous compte, certaines personnes ont snobé la Casati pourtant su grande et encore mieux si mince ! Quels goujats ! Assez de ces "auteurs" nombrilistes, marre des critiques qui les encensent parce qu'ils ont un bon attaché de presse et encore plus marre des éditeurs qui financent tout ça ! Pensez que Peretti est allée en Italie pour visiter une des maisons de la Casati, et qu'à son grand regret elle n'a pas pû y pénétrer et a par conséquent dû se contenter des photos d'Internet !!! et elle n'a même pas honte de l'avouer!!! "Monsieur Stock" y'a plein de gens fabuleux dont j'adorerais parler, mais il me faudrait aller sur leurs traces, par ex écrire sur Alexandra David-Neal donc obligée d'allée au Tibet avec le bouquin d'Isabelle Eberrhart en poche au cas où je serais bloquée quelque part, mais pas ça qui m'empechera d'écrire sa biographie quand même ! et j'ai plein d'autres idées suivre les traces de Kessel - j'ai lu 2 fois sa bio écrite par Druon le top quoi. Quant à l'édition en Livre de Poche de la Casati la couverture est magnifique ! enfin...la reproduction de la peinture de Bodolni. Lisez la vraie bio de La Casati éditée par Assouline, malgré la mauvaise qualité des reproductions des photos et tableaux, en fait la Marquise fut très riche donc put tout se permettre même passer pour belle, et surtout pouvoir payer tous les artistes qui l'ont peinte ce pourquoi elle est la femme la plus peinte après la Vierge et Cléopâtre, elle n'était pas une muse mais une mécène, nuance !
.Je ne connaissais ni la Marquise de Casati ni Mme de Peretti - non je n'ai pas la télé... mais le prière d'insérer me laissait penser que ce livre était une évocation de la Casati qui me semblait avoir eu une vie interessante donc étant toujours passionnée par ces femmes qui ont inspire des artistes je me suis dit allons-y ! Et voilà : je connais aujourd'hui davantage la vie de cette Peretti, qui à part s'être mariée assez jeune après une courte crise d'anorexie, avoir divorcée et avoir déjà visiblement déjà raconté tout ça dans ces livres antérieurs n'a pas eu une vie folichonne, enfin pas de quoi en faire un livre et surtout RIEN qui ne justifie qu'un éditeur finance ce petit journal intime, car la vie de la Casati n'est qu'un prétexte pour parler de soi, travers ô combien contemporain de nos pseudo-écrivains français ! Surtout qu'ensuite j'ai lu une vraie biographie de la Casati et donc je me suis bien rendue compte que mme de peretti n'a fait qu'insérer quelques anecdotes prises dans ce livre parmi les bribes de sa vie à elle combien plus passionnantes pour les lecteurs n'est-ce pas ! Son mari si beau mais si injuste, et pourtant elle est grande ce qui semble être le summum chez un être humain ! rendez-vous compte, certaines personnes ont snobé la Casati pourtant su grande et encore mieux si mince ! Quels goujats ! Assez de ces "auteurs" nombrilistes, marre des critiques qui les encensent parce qu'ils ont un bon attaché de presse et encore plus marre des éditeurs qui financent tout ça ! Pensez que Peretti est allée en Italie pour visiter une des maisons de la Casati, et qu'à son grand regret elle n'a pas pû y pénétrer et a par conséquent dû se contenter des photos d'Internet !!! et elle n'a même pas honte de l'avouer!!! "Monsieur Stock" y'a plein de gens fabuleux dont j'adorerais parler, mais il me faudrait aller sur leurs traces, par ex écrire sur Alexandra David-Neal donc obligée d'allée au Tibet avec le bouquin d'Isabelle Eberrhart en poche au cas où je serais bloquée quelque part, mais pas ça qui m'empechera d'écrire sa biographie quand même ! et j'ai plein d'autres idées suivre les traces de Kessel - j'ai lu 2 fois sa bio écrite par Druon le top quoi. Quant à l'édition en Livre de Poche de la Casati la couverture est magnifique ! enfin...la reproduction de la peinture de Bodolni. Lisez la vraie bio de La Casati éditée par Assouline, malgré la mauvaise qualité des reproductions des photos et tableaux, en fait la Marquise fut très riche donc put tout se permettre même passer pour belle, et surtout pouvoir payer tous les artistes qui l'ont peinte ce pourquoi elle est la femme la plus peinte après la Vierge et Cléopâtre, elle n'était pas une muse mais une mécène, nuance !
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