La bataille de la Somme. L'hécatombe oubliée, 1er juillet - 18 novembre 1916

Par : Marjolaine Boutet, Philippe Nivet

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages272
  • FormatPDF
  • ISBN979-10-210-1850-1
  • EAN9791021018501
  • Date de parution02/05/2016
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurTallandier

Résumé

1er juillet 1916. 400 000 Britanniques et 200 000 Français se lancent à l'assaut de 50 000 Allemands retranchés sur la Somme, de Gommecourt au nord à Fouquescourt au sud. Le bilan est effroyable. 57 470 Britanniques sont mis hors de combat - dont près de 20 000 perdent la vie - pour gagner 7, 8 km2, soit 2, 5 morts et 49 blessés par mètre carré. C'est le jour le plus meurtrier de l'histoire du Royaume-Uni. La percée du front, espérée depuis fin 1914 et défendue par Joffre, semble à portée de main.
Mais les lignes allemandes résistent au bombardement de plus de 3 millions d'obus et aux multiples assauts. Plus britannique que française du fait de Verdun, la bataille se terminera, cinq mois plus tard, le 18 novembre, sans victoire décisive. Philippe Nivet et Marjolaine Boutet soulignent la dimension industrielle de cette bataille, où artillerie, mitrailleuses, aviation, tanks ont joué un rôle déterminant et ont profondément affecté les soldats de toutes nationalités.
Ils montrent également que l'arrière-front n'est pas épargné par les combats, et que les souffrances endurées ont été terribles. Enfin, ils interrogent la place particulière de la bataille dans les mémoires nationales (française, britannique et allemande) depuis un siècle.
1er juillet 1916. 400 000 Britanniques et 200 000 Français se lancent à l'assaut de 50 000 Allemands retranchés sur la Somme, de Gommecourt au nord à Fouquescourt au sud. Le bilan est effroyable. 57 470 Britanniques sont mis hors de combat - dont près de 20 000 perdent la vie - pour gagner 7, 8 km2, soit 2, 5 morts et 49 blessés par mètre carré. C'est le jour le plus meurtrier de l'histoire du Royaume-Uni. La percée du front, espérée depuis fin 1914 et défendue par Joffre, semble à portée de main.
Mais les lignes allemandes résistent au bombardement de plus de 3 millions d'obus et aux multiples assauts. Plus britannique que française du fait de Verdun, la bataille se terminera, cinq mois plus tard, le 18 novembre, sans victoire décisive. Philippe Nivet et Marjolaine Boutet soulignent la dimension industrielle de cette bataille, où artillerie, mitrailleuses, aviation, tanks ont joué un rôle déterminant et ont profondément affecté les soldats de toutes nationalités.
Ils montrent également que l'arrière-front n'est pas épargné par les combats, et que les souffrances endurées ont été terribles. Enfin, ils interrogent la place particulière de la bataille dans les mémoires nationales (française, britannique et allemande) depuis un siècle.