L'Escalier dans le cinéma d'Alfred Hitchcock. Une dynamique de l'effroi

Par : Lydie Decobert

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  • Nombre de pages248
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-19328-4
  • EAN9782296193284
  • Date de parution01/03/2008
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille9 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un plan demeuré célèbre cadre en plongée la spirale d'un escalier avec juste une main blanche glissant le long de la rampe le locataire noctambule serait-il l'étrangleur des femmes blondes ? The Lodger (1926), considéré par Hitchcock comme son premier film, donne le coup d'envoi d'une utilisation de l'escalier comme une dynamique de l'effroi ! Ce livre convie à reconsidérer une obsédante figure " l'escalier " est-il réductible à un moyen de transport vers des extrémités non sécurisées ? Déployé dans l'espace filmique, où chacun des degrés rythme le rapprochement d'un moment redouté, n'est-il qu'un instrument de mesure du temps ? Le réalisateur pulvérise le symbole universel de la progression et de la régression au terme de voluptueuses montées, de Blackmail à Frenzy, sexualité et crime fusionnent tandis que l'accès à la connaissance ne se réalise qu'en descente.
La structure en marches est investie d'une telle puissance qu'elle prend l'aspect d'une véritable machinerie (Vertigo), à moins que son arrêt brutal ne nous plonge dans un univers de démence (Psycho) ; le trajet vers l'effroi passerait-il par la suspension ?
Un plan demeuré célèbre cadre en plongée la spirale d'un escalier avec juste une main blanche glissant le long de la rampe le locataire noctambule serait-il l'étrangleur des femmes blondes ? The Lodger (1926), considéré par Hitchcock comme son premier film, donne le coup d'envoi d'une utilisation de l'escalier comme une dynamique de l'effroi ! Ce livre convie à reconsidérer une obsédante figure " l'escalier " est-il réductible à un moyen de transport vers des extrémités non sécurisées ? Déployé dans l'espace filmique, où chacun des degrés rythme le rapprochement d'un moment redouté, n'est-il qu'un instrument de mesure du temps ? Le réalisateur pulvérise le symbole universel de la progression et de la régression au terme de voluptueuses montées, de Blackmail à Frenzy, sexualité et crime fusionnent tandis que l'accès à la connaissance ne se réalise qu'en descente.
La structure en marches est investie d'une telle puissance qu'elle prend l'aspect d'une véritable machinerie (Vertigo), à moins que son arrêt brutal ne nous plonge dans un univers de démence (Psycho) ; le trajet vers l'effroi passerait-il par la suspension ?