L'assujetti. traduit de l’allemand par Olivier Mannoni
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- Nombre de pages256
- FormatePub
- ISBN978-2-246-80906-7
- EAN9782246809067
- Date de parution05/02/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille385 Ko
- ÉditeurGrasset
Résumé
Friedrich Ostertag naît dans les années 1960 : il est le fils d'un marchand de jouets de la classe moyenne allemande, fruit de la reconstruction du pays et de la prospérité économique, qui se doit d'éduquer ses enfants. Et de le faire mieux que quiconque. Le petit Friedrich entre à l'école primaire avec un an d'avance. Dès lors commence son calvaire. Il ne comprend rien à rien, est placé dans un internat privé, où les élèves les plus riches font régner une terreur permanente.
C'est là que Friedrich, traité comme un bouc émissaire, développe son seul talent : écrire pour les autres. D'abord des lettres aux parents pour leur soutirer de l'argent, puis, son bac en poche, un mémoire pour son vieux compagnon Von Conti, un fils de bonne famille, parvenu et séducteur. Von Conti devient un grand dirigeant politique, tandis que Friedrich reste son nègre. Licencié par Van Conti, il met fin à ses jours.
Le lecteur est pris dans la trame, souffre avec Friedrich, est impuissant à sortir de sa non-vie. Assujettissement aux autres, à une société cruelle et castratrice. Il y a là la froideur et l'absurdité des ambiances de Kafka, dépeints avec un réalisme étonnant de justesse. Un livre tout à la fois comique, pathétique et tragique, sensible et juste, jusque dans la monstruosité des personnages.
C'est là que Friedrich, traité comme un bouc émissaire, développe son seul talent : écrire pour les autres. D'abord des lettres aux parents pour leur soutirer de l'argent, puis, son bac en poche, un mémoire pour son vieux compagnon Von Conti, un fils de bonne famille, parvenu et séducteur. Von Conti devient un grand dirigeant politique, tandis que Friedrich reste son nègre. Licencié par Van Conti, il met fin à ses jours.
Le lecteur est pris dans la trame, souffre avec Friedrich, est impuissant à sortir de sa non-vie. Assujettissement aux autres, à une société cruelle et castratrice. Il y a là la froideur et l'absurdité des ambiances de Kafka, dépeints avec un réalisme étonnant de justesse. Un livre tout à la fois comique, pathétique et tragique, sensible et juste, jusque dans la monstruosité des personnages.
Friedrich Ostertag naît dans les années 1960 : il est le fils d'un marchand de jouets de la classe moyenne allemande, fruit de la reconstruction du pays et de la prospérité économique, qui se doit d'éduquer ses enfants. Et de le faire mieux que quiconque. Le petit Friedrich entre à l'école primaire avec un an d'avance. Dès lors commence son calvaire. Il ne comprend rien à rien, est placé dans un internat privé, où les élèves les plus riches font régner une terreur permanente.
C'est là que Friedrich, traité comme un bouc émissaire, développe son seul talent : écrire pour les autres. D'abord des lettres aux parents pour leur soutirer de l'argent, puis, son bac en poche, un mémoire pour son vieux compagnon Von Conti, un fils de bonne famille, parvenu et séducteur. Von Conti devient un grand dirigeant politique, tandis que Friedrich reste son nègre. Licencié par Van Conti, il met fin à ses jours.
Le lecteur est pris dans la trame, souffre avec Friedrich, est impuissant à sortir de sa non-vie. Assujettissement aux autres, à une société cruelle et castratrice. Il y a là la froideur et l'absurdité des ambiances de Kafka, dépeints avec un réalisme étonnant de justesse. Un livre tout à la fois comique, pathétique et tragique, sensible et juste, jusque dans la monstruosité des personnages.
C'est là que Friedrich, traité comme un bouc émissaire, développe son seul talent : écrire pour les autres. D'abord des lettres aux parents pour leur soutirer de l'argent, puis, son bac en poche, un mémoire pour son vieux compagnon Von Conti, un fils de bonne famille, parvenu et séducteur. Von Conti devient un grand dirigeant politique, tandis que Friedrich reste son nègre. Licencié par Van Conti, il met fin à ses jours.
Le lecteur est pris dans la trame, souffre avec Friedrich, est impuissant à sortir de sa non-vie. Assujettissement aux autres, à une société cruelle et castratrice. Il y a là la froideur et l'absurdité des ambiances de Kafka, dépeints avec un réalisme étonnant de justesse. Un livre tout à la fois comique, pathétique et tragique, sensible et juste, jusque dans la monstruosité des personnages.